Robert Angier & Alfred Borden (Hugh Jackman & Christian Bale) étaient 2 véritables potes d’enfance, ils travaillaient ensemble pour un spectacle de magie jusqu’au jour de cette tragédie. Lors d’une de leurs représentations, Julia (Piper Perabo) l’assistante mais aussi la femme de Robert meurt noyée par accident. Pour Robert, le seul responsable est son ancien compagnon et dès lors, leur amitié n’est que de l’histoire ancienne et chacun va monter son propre numéro de magie. Ils n’auront de cesse de démontrer que l’un est meilleur que l’autre et tous les moyens sont bons pour parvenir à ses fins ! C’est Alfred qui se fait d’abord remarquer en mettant en scène un spectacle fabuleux : l’homme transporté !

Que l’on soit petit ou grand, on reste toujours aussi pantois devant un bon tour de magie et c’est un thème rarement développé au cinéma pour éveiller notre curiosité. Christopher Nolan s’engouffre donc avec Le Prestige, un excellent long métrage qui laissera planer le mystère jusqu’aux derniers moments. Au niveau réalisation, on a droit à une histoire croisée par les écrits des 2 personnages principaux donnant au film un certain suspense. Servi par les 2 excellents comédiens que sont Hugh Jackman & Christian Bale ainsi que la présence un peu potiche de Scarlett Johansson, on est agréablement envouté par ce tour de passe-passe.

Salut à tous, je m’appelle Sara (Izabella Miko).

Je viens d’arriver à New York en provenance de Chicago pour intégrer la grande école d’art de Juilliard. Depuis que je suis toute petite, je rêve de devenir ballerine peut-être à cause de celle que j’avais sur ma table de chevet qui sait !

Ma mère m’a toujours soutenu malheureusement, elle n’est plus là pour me voir danser sur scène et c’est ce que je regrette le plus. Pour moi et surtout pour elle, je dois donc tout faire pour atteindre mes objectifs et devenir la première ballerine.

En arrivant ici, j’ai fait de super rencontres à commencer par Zoé (Aubrey Dollar), une apprentie comédienne complètement délurée et par ailleurs ma colocataire. Et puis il y a surtout Miles (Columbus Short)…

En Résumé : Inutile de vous dire que si vous appréciez la danse, les histoires à l’eau de rose et surtout les films préfabriqués, vous allez vous en mettre plein la panse !! Save the last dance 2 fait parti de ces suites sans imagination mais qui trouvent un financement grâce à l’immensité du marché du DVD abreuvant ainsi le public de films insipides à l’intérêt limité. Au-delà de 16 ans, je vois mal comment vous pourriez apprécier ce film tant l’impression de déjà vu est grand mais vous me direz que je l’ai bien vu ! Et oui, ce n’est pas toujours facile de tenir un blog sur le cinéma !!

1185, Balian (Orlando Bloom) est un forgeron dont la vie semble désormais vouée au désespoir. Un grand malheur vient en effet de le frapper puisque sa compagne de toujours vient de mettre fin à ses jours suite à la disparition de leur fils. Il reçoit la visite impromptue d’une troupe avec à sa tête un certain Godefroy d’Ibelin (Lliam Neeson) qui se révèle être son père et qui lui demande de le suivre pour en faire son héritier. Après quelques hésitations, ils partent vers Jérusalem, fief du roi Beaudoin IV (Edward Norton) mais leur route sera semée d’embûches et les choses ne se dérouleront donc pas comme ils l’avaient espéré.

Fresque historique mettant en scène le roi Beaudoin IV et son entourage face aux troupes de Saladin, Kingdom of Heaven est un film d’action comme on les aime. Le héros est incarné par Orlando Bloom que vous connaissez pour son interprétation du très classe Légolas dans la trilogie du Seigneur des anneaux mais qui manque ici de caractère. Il peine vraiment à s’imposer parmi la pléiade de personnages comme Guy de Lusignan ou Tiberias interprété par le génial Jeremy Irons sans oublier Edward Norton présent sans être visible. Ridley Scott nous gratifie donc d’un film plutôt musclé et assez violent au niveau des combats (cela pourrait vraiment choquer les plus sensibles d’entre vous) mais tout cela sert à renforcer le caractère spectaculaire de la chose.

Découvre le film Dans la peau du héros ! 

Difficile de trouver un beau cadeau de noël et pourtant notre pote Billy Peltzer (Zach Galligan) peut dire qu’il a eu une très belle surprise. Il vient en effet d’avoir un Mogwaï, un étrange animal que son père a trouvé dans une petite boutique mais avec lequel il va falloir faire preuve de vigilance. En effet, il ne doit pas être exposé à la lumière, ne pas être mouillé et ne pas manger après minuit car les conséquences pourraient être désastreuses. C’est ainsi qu’il a adopté Guizmo et tout se passe bien jusqu’au jour où accidentellement il renverse de l’eau sur celui-ci et se retrouve avec plusieurs mogwaïs, le pire reste à venir.

Voilà un film qui a accompagné mon enfance et que je ne me lasse pas de voir et revoir la faute à Guizmo, cet animal à la bouille irrésistible. Joe Dante a trouvé une merveilleuse idée en conciliant film d’épouvante et humour avec des monstres plus attendrissants qu’effrayants ce qui permet à Gremlins de séduire un public familial. Malgré le poids des années, la magie subsiste et Guizmo restera dans la mémoire de nombre de cinéphiles. Le film donnera une suite avec Gremlins 2, la nouvelle génération et l’on entend fréquemment des rumeurs sur le retour au cinéma de ces monstres poilus, rêve ou réalité ?

La scène à ne pas louper : Quand Guizmo se prend pour Michael Schumacher dans sa belle Ferrari.

Pour notre Léo (Titoff), un seul mot d’ordre dans la vie : faire la fête. Chaque jour que Dieu fait, il profite des plaisirs de la vie ; sorties en boite, alcool, drogues, femmes rien n’échappe à ce bon vivant. Mais toutes les bonnes choses semblent avoir une fin ; il commence par accumuler les dettes et surtout sa petite-amie Alyzée (Marion Cotillard) le quitte après 5 ans de vie commune. Le pire est à venir, Léo est victime d’un accident de la route duquel il va garder d’importantes séquelles : il devient tétraplégique. Immobilisé sur son lit, il est vite en proie à une profonde dépression malgré la présence de sa famille et de ses potes d’enfance ; il a perdu le gout de vivre.

Voilà encore un film tiré d’une histoire vraie en l’occurrence le destin de Bruno de Stabenrath qui a fait l’objet du livre Cavalcade. Si d’emblée, on sait que l’on va avoir droit à un film dramatique, je suis resté assez perplexe devant la réalisation de Steve Suissa. D’une part parce que le coté extravagant voire perverti du personnage de Léo n’a pas été très développé et d’autre part parce que sa “renaissance” elle aussi se résume en une vingtaine de minutes à tout casser. Quant à la prestation de Titoff dont on aurait pu douter, elle reste tout ce qu’il y a de plus raisonnable sans pour autant être exceptionnel. En conclusion, on a là un film assez anodin au final.

 
Jean-Claude : Je sais pas ce qui me retient de te casser la gueule tiens !
Popeye : La trouille, nan ?
Jean-Claude : Ouais, ça doit être ça. Allez on rentre !

Max Burdett (Pierce Brosnan) a une méthode infaillible pour s’enrichir : voler ! Pour commettre ses méfaits, il a trouvé la complice idéale Lola Cirillo (Salma Hayek), une magnifique jeune femme dont il ne tardera pas à tomber amoureux. Néanmoins, ce duo a à leurs trousses le FBI et notamment Stan Lloyd (Woody Harrelson) qui veut absolument être celui qui leur passera les menottes. Il faut dire que depuis que le couple agit, il a la mauvaise habitude de faire tourner en bourrique les autorités et prend un malin plaisir à jouer avec les nerfs de Stan. D’ailleurs, notre pote Stan est sur le point de les coincer, il les a repérés aux Bahamas !

Dans un décor somptueux, voici un film plaisant à la Ocean’s eleven avec comme vedettes le couple Brosnan/Hayek qui s’efface vite devant celui formé par Brosnan/Harrelson et je trouve cela dommage de ne pas avoir plus exploité le personnage de Lola. D’ailleurs celle-ci va jusqu’à faire du bricolage pour passer le temps alors que tout le monde sait parfaitement qu’une femme ne sait pas planter un clou ! Coup d’éclat est un bon divertissement avec un scénario certes basique mais qui vous offrira un peu de vacances si vous n’avez pas eu l’occasion d’en prendre.

Découvre le film Dans la peau du héros !