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DVD - Page 37

  • Ricky Bobby : roi du circuit

     

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    Si t’es pas premier, t’es dernier !! Voilà ce que n’a cessé d’entendre notre pote Ricky Bobby (Will Ferrell) depuis sa plus tendre enfance et c’est d’ailleurs grâce à cela qu’il va devenir une véritable vedette. Mécanicien dans les courses de Nascar, il va être propulsé sur le devant de la scène quand il prend le volant de la voiture de son équipe. Laissant tous les concurrents sur place, il devient la nouvelle coqueluche des foules jusqu’à l’arrivée d’un français Jean Girard (Sacha Baron Cohen) qui va mettre un peu de piment dans la compétition. Ce nouveau venu parvient à battre Ricky à son propre jeu et devient ainsi la nouvelle star mais notre héros n’a pas dit son dernier mot !

     

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    Ce film risque de passer relativement inaperçu chez nous puisque le thème principal est le Nascar ; course automobile prestigieuse chez nos potes américains mais qu’i n’a pas la même reconnaissance ici. A cela s’ajoute le fait que Ricky Bobby : roi du circuit n’a rien de vraiment intéressant à proposer avec le sempiternel schéma du héros déchu qui effectue un sensationnel come-back. Quelques bons moments d’humour qui vous arracheront des sourires grâce au personnage français incarné par Sacha Baron Cohen (le Borat !) mais vraiment rien de transcendant. Pas étonnant donc de voir ce film débarquer directement en DVD !

  • Last Kiss

     

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    La trentaine est un cap difficile à passer pour de nombreuses personnes. Pour notre pote Michael (Zach Braff), c’est même devenu problématique puisque sa vie semble déjà écrite à l’avance ce qui ne semble pas vraiment le ravir. Accompagnée de la belle Jenna (Jacinda Barrett), ce jeune couple attend un enfant mais concernant le mariage, il faudra encore patienter. Autour d’eux, les couples ne cessent de se séparer et Michael lui-même commence à se poser des questions sur ce qui l’attend, un passage à vide durant lequel il fait la connaissance de Kim (Rachel Bilson). Va-t-il pouvoir résister à cette tentation qui s’offre à lui ?

     

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    Bon, autant vous le dire tout de suite, je ne me suis pas vraiment senti concerné par ce film puisqu’il traite essentiellement de la vie de couple, des questions d’engagement et tout le tralala. L’amour est-il éternel ? On pourrait en douter après avoir vu Last Kiss qui nous déballe des couples en crise après quelques mois ou des années d’une relation heureuse. Cette vision pessimiste (ou réaliste ?) de l’amour reste l’atout de ce film mais les acteurs manquent de présence pour nous convaincre d’autant que certains personnages sont peu approfondis. Divertissant pour une petite soirée entre couples !

  • Les fils de l'homme

     

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    En l’an 2027, l’humanité vit ses heures les plus sombres à tel point que la mort du plus jeune homme sur Terre est vécue comme un véritable désastre. En effet, une épidémie s’est abattue privant les femmes de la joie de tomber enceinte et donc les enfants ont peu à peu disparus de la planète. Notre pote Théo (Clive Owen) n’a pas été épargné par ce fléau mais il va être le témoin privilégié d’un miracle. Julian (Julianne Moore) qui fut sa compagne a fait appel à lui après 20 ans sans nouvelles, elle lui confie le destin de Kee (Claire-Hope Ashitey), une femme réfugiée tombée enceinte et porteuse d’un nouvel espoir.

     

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    On m’avait dit du grand bien de ce film et évidemment cela donne envie de le découvrir avec notamment un scénario plutôt intéressant avec rien moins que la fin de l’humanité. Contrairement à bon nombre de films qui se déroule dans le futur, Les fils de l’homme ne fait pas dans la surenchère au niveau des évolutions technologiques mais privilégie surtout la décadence d’une humanité perdue et désespérée. Malgré une histoire intéressante, je dois dire que je me suis pas mal ennuyé ! Seule chose que je retiendrais, l’une des dernières scènes où l’on suit Théo traversant un champ de bataille grâce à une caméra embarqué, effets garantis !

  • Prête-moi ta main

    Bonjour,

     

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    medium_02.120.jpgJe m’appelle Louis Costa (Alain Chabat), j’ai 43 ans, je suis célibataire et je suis très heureux ! Enfin, ce n’est pas l’avis de ma famille à savoir ma mère et mes 5 sœurs !

     

    On s’était tous réunis pour un repas de famille et c’est là que les ennuis ont commencé puisqu’elles ont décidées à l’unanimité du G7 de me caser. J’ai eu droit à un défilé de leurs amies célibataires mais j’étais bien moi en tant que célibataire et je compte bien le rester.

     

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    J’ai trouvé un plan imparable : inventer une fausse relation qui se terminerait mal et qui leur fera oublier tout idée de mariage !

     

     

     

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  • Je vais bien ne t'en fais pas

    Lili (Mélanie Laurent) 

     

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    medium_01.467.jpgA l’heure où tu liras cette lettre, tu seras rentrée de Barcelone et je me doute que mon absence à la maison doit te perturber.

     

    Le con qui nous sert de Père (Kad Merad) et moi on s’est violemment disputé et j’en ai eu ma claque de tout ça, de cette maison et de sa vie aseptisée. Je suis parti pour me ressourcer un peu et faire le point.

     

    medium_02.119.jpgEn ce moment, je suis à Rouen. La ville est plutôt cool, je vis de petits boulots et j’ai même le temps de jouer de la guitare. Il faut que je te laisse ; je vais bien ne t’en fais pas.

     

    Je t’embrasse fort, maman aussi

     

    Loic ( ?????)

     

    En Résumé : Les critiques étaient plutôt enthousiastes envers ce film mais c’est essentiellement pour pouvoir admirer la belle Mélanie Laurent que je me suis rendu dans les salles obscures. Ce fut une très belle découverte car Je vais bien, ne t’en fais pas est une perle d’émotions sublimée par des personnages on ne peut plus humains. En cela, les prestations de Mélanie Laurent mais aussi Kad Merad sont vraiment touchantes et le dénouement tragique vous arrachera certainement quelques larmes. Un grand film qui mérite largement sa place dans votre DVDthèque, le coup de cœur 2006 de Ciné2909 !

  • John Tucker doit mourir

    Salut à toutes,

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    medium_01.466.jpgJe m’appelle Kate (Brittany Snow) et je vais tuer John Tucker (Jesse Metcalfe) !! Reprenons l’histoire du début ; en fait j’ai toujours été une fille comment dire… invisible. J’avais beau être là, personne ne me voyait.

     

    Maintenant que je suis au lycée, rien n’a changé jusqu’au jour où j’ai découvert que le garçon le plus populaire du bahut, John Tucker se permettait de sortir avec plusieurs filles en même temps.

     

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    Cela ne me concerne pas directement mais c’est à ce moment là que j’ai fait la connaissance de Carrie, Heather & Beth (Arielle Kebbel, Ashanti & Sophia Bush). On a décidé de s’unir et de faire payer à John ce qu’il leur a fait subir !

     

     

    En Résumé : Il est clair qu’il s’agit là d’un film pour les jeunes ce qui explique un scénario léger, l’absence totale d’originalité et un humour pas toujours drole. Pour pallier à tous ces défauts, on a engagé 2-3 comédiens en devenir (notamment Jesse Metcalfe vu dans Desperate Housewives) histoire de profiter de leur notoriété actuelle pour promouvoir un film vu et archi-vu. Bref, John Tucker doit mourir sent le réchauffé à plein nez et n’intéressera qu’un public restreint à savoir les moins de 18 ans (et encore…).

     

    En sa voir plus sur John Tucker doit mourir ?

  • Seven Swords

     

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    Durant le 17ème siècle, dans la chine occidentale un décret de l’empereur a interdit toute pratique des arts martiaux. Profitant de cette loi, le général Ravage (Honqlei Sun) et ses troupes en profitent pour exterminer toux ceux qui croisent leur route. Le clan Tienti a eu vent d’une prochaine attaque de Ravage au sein village et c’est pourquoi on a décidé de chercher de l’aide en envoyant deux des habitants. Celui-ci ne tarde pas à arriver avec les 7 lames du mont Céleste, la résistance peur s’organiser !

     

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    Quand on voit le nom de Tsui Hark à la réalisation, on se dit déjà que c’est un gage de qualité même si son expérience aux Etats-Unis n’a pas tenu toutes ses promesses. Dans la plus pure tradition des Wu-xia-pian (Terme qui désigne les films de sabre du cinéma chinois), Seven Swords nous offre son lot d’action et de combats impressionnants par leur chorégraphie. Le tout est donc un agréable divertissement assez long quand même (2h25) et pas aussi marquant que les précédents films du réalisateur hongkongais.

  • la maison des 1000 morts

     

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    Quand nos potes d’enfance Jerry, Bill, Mary & Denise (Chris Hardwick, Rainn Wilson, Jennifer Jostyn & Erin Daniels) se sont arrêtés dans cette station service, ils n’imaginaient pas découvrir un lieu aussi insolite. Véritable musée des horreurs, les 4 jeunes veulent aller plus loin et profiter de ce voyage pour visiter l’attraction locale : l’arbre du Docteur Satan. Sur les conseils du Capitaine Spaulding (Sid Haig), ils reprennent donc leur route sans se douter qu’ils se dirigent droit vers leur mort. En effet, tombés en panne, ils sont recueillis par une famille des plus étranges !

     

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    Les films d’horreur et d’épouvante ne m’ont jamais vraiment intéressé dans la mesure où j’estime qu’il est bien difficile d’apporter quelque idée originale à ce qui a déjà été fait. Beaucoup de films jouent la surenchère sur le coté gore ou une sono puissante destinée à faire sursauter les spectateurs. Je vous rassure ce n’est pas le cas de La maison des 1000 morts qui nous propose une histoire assez banale mais dont le réalisateur Rob Zombie parvient à nous plonger dans un univers déjanté. Mis en bouche par Devil’s rejects, je m’étais promis de jeter un œil à ce premier opus sympathique sans être exceptionnel !

  • Les vagues invisibles

     

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    Notre pote Kyoji (Tadanobu Asano) n’est pas un type très fréquentable et pour cause, il est un tueur à gages ! Son dernier contrat portait sur une femme avec laquelle il entretenait une relation intime et suite à cela il a été dans l’obligation de fuir la Thaïlande pour se rendre à Hong Kong. Durant son voyage, il va faire la connaissance de Noi (Gang Hye-Jung) avec qui il parvient à se changer les idées mais arrivé à destination, ils doivent se séparer. A ce moment là, les ennuis recommencent pour Kyoji quand sa chambre d’hôtel est cambriolée.

     

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    Difficile de rester éveillé devant ce film tant il est lent et ennuyeux !! Habitué par le peu du cinéma thaïlandais entrevus en France à voir des films bourrés d’action et d’explosions, avec Les vagues invisibles on tient le parfait contre-pied. Bien sur, il en faut pour tous les gouts mais je me suis particulièrement ennuyé devant ce long-métrage qui manque de rythme, d’action bref de vie ! Je ne sais pas trop ce qui pourrait vous convaincre d’y jeter un œil si ce n’est qu’il est idéal pour entamer votre sieste dominicale.

  • Malena

     

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    Pendant que toute l’Italie s’apprête à lancer les hostilités pour ce qui sera la Seconde Guerre Mondiale, le sang  notre jeune pote Renato Amoroso (Giuseppe Sulfaro) ne fait qu’un tour quand il aperçoit la sublime Malena Scordia (Monica Bellucci). Quand on la voit, on peut comprendre sa réaction car partout où Malena passe, elle attire forcément le regard des hommes ce qui n’est pas vraiment du gout des autres jeunes femmes. Sous le charme, Renato se contente de l’observer dans l’ombre mais se tient prêt à agir pour aider son tout premier amour.

     

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    Inutile de jouer les hypocrites, si j’ai décidé de voir ce film qui date du début des années 2000 c’est avant tout pour pouvoir admirer la toujours très belle Monica Bellucci. Bien entendu, Malena ne se contente pas de nous offrir en peinture la belle italienne mais nous permet de découvrir les premiers émois d’un jeune homme. Agréable à suivre bien que servi par une réalisation des plus classiques, c’est avant tout un film à voir pour les fans de la comédienne mais en dehors de ça, rien de bien mémorable !