Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Michel Blanc

  • Les nouvelles aventures d’Aladin

    star 02.5.jpg

    AFF1 (2).jpg

    Parce qu’il faut bien gagner sa vie, notre pote Sam (Kev Adams) joue les Père Noël dans les grands magasins et se retrouve ainsi à raconter une histoire aux enfants. Son choix se porte sur l’histoire d’Aladin (Kev Adams) et il nous ramène jusqu’au 11ème siècle à Bagdad où ce voleur et son compère Khalid (William Lebghil) ont le loisir de dépouiller toux ceux qu’ils croisent. C’est en tentant de vendre un élixir miracle qu’Aladin va faire une rencontre inoubliable ; une jeune femme à la beauté renversante. Il l’ignore encore mais il s’agit de la Princesse Shallia (Vanessa Guide) qui s’est de nouveau enfuie du palais où complote le machiavélique Vizir (Jean-Paul Rouve).

    01.jpg

    Adapter le conte d’Aladin n’est pas sans risques surtout quand le cinéma français s’en charge avec en tête d’affiche notre pote Kev Adams. Fidèle à lui-même, il retrouve son complice de la série Soda William Lebghil et il y a aussi tout un tas de guest-stars et à certains moments cette comédie m’a fait penser à l’adaptation d’Alain Chabat d’Astérix. Humour absurde, anachronismes et références populaires ; il y a quand même de bonnes idées qui m’ont décroché des sourires. Le souci c’est ce que le reste du temps on a des gags répétitifs finissant à terme par devenir bien lourds. On évitera de s’attarder sur les quelques effets spéciaux du tapis volant pour se quitter en bons termes, Les nouvelles aventures d’Aladin c’est un divertissement familial sans envergure et qui n’a rien pour vendre du rêve bleu !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter avec les "Je suis ton père" !

  • Thérèse - Le Père Noël est une ordure

    02.jpg

     

    Thérèse : C'est fin, c'est très fin, ça se mange sans faim.

  • Les souvenirs

    star 02.jpg

    AFF.jpg

    Alors que notre pote Romain (Mathieu Spinosi) vient de perdre son grand-père, il apprend que sa Grand-mère (Annie Cordy) a eu un petit accident qui l’a conduit à l’hôpital. C’est son Père (Michel Blanc) qui lui a annoncé la nouvelle et qui se montre très inquiet pour sa mère au point de prendre la décision de l’envoyer en maison de retraite. Dès qu’il le peut, Romain va lui rendre visite jusqu’au jour où elle disparait sans en informer quiconque. Il faudra attendre que le jeune homme reçoive une carte postale pour découvrir que sa grand-mère est partie dans la région de son enfant à Étretat en Normandie.

    01.jpg

    Voilà donc le second roman de David Foenkinos à être adapté sur le grand écran et c’est notre pote Jean-Paul Rouve qui s’en charge. Avec les présences d’Annie Cordy, Chantal Lauby et Michel Blanc ; on se disait que ce casting de qualité ne pouvait pas nous décevoir hélas Les souvenirs est d’une terrible indigence. En cause d’abord un rythme incroyablement ronronnant, des personnages sans relief et des situations comiques souvent poussives (clin d’œil à William Lebghil pas très dépaysé par rapport à son rôle dans la série Soda). Tout cela fait que ce film se montre creux particulièrement en termes d’émotions et il ne risque pas de rester très longtemps dans nos mémoires.

     

    Il faut le voir pour : Acheter des Twix la prochaine fois que vous irez à la station-service et en profiter pour demander quelques conseils.

  • Les recettes du bonheur

    star 03.jpg

    01.jpg

    Une famille indienne qui débarque dans le petit village de Saint-Antonin-Noble-Val, ça ne passe pas inaperçu ! Ils décident même de s’y installer afin d’ouvrir un restaurant où notre pote Hassan (Manish Dayal) pourra dévoiler tous ses talents. Depuis qu’il est tout petit, il s’est épris de passion pour la cuisine et tout ce qu’il a appris il le doit à sa mère. Ouvrir un restaurant indien dans un village français est déjà risqué mais quand en plus en face se trouve le Saule pleureur, un établissement auréolé d’une étoile au Guide Michelin, ça parait être un pari insensé. Une guerre des restaurants ne tardera pas à être déclaré et c’est Mme Mallory (Helen Mirren) qui va lancer les premières hostilités.

    01.jpg

    La gourmandise aura certainement convaincu beaucoup d’entre nous à jeter un œil à cette comédie mijotée par Lasse Hallström. L’histoire est un prolongement du titre français à savoir que c’est construit autour de bons sentiments, de personnages attachants qui fait que Les recettes du bonheur s’impose vite comme un feel-good movie. Même si on se laisse enchanter par le doux parfum des épices, qu’on s’amuse avec le facétieux Om Puri et que nos papilles sont mises à rude épreuve il est dommage que tout soit aussi convenu. D’ailleurs, l’indigestion guette lors des dernières minutes car la conclusion s’éternise mais en faisant preuve d’indulgence ça reste un film sympathique.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à faire une bonne omelette si vous voulez devenir un grand chef !

  • Demi-sœur

    star 01.jpg

    aff.jpg

    Handicapée mentale, notre pote Nénette (Josiane Balasko) ne peut pas vivre seule et jusqu’à présent, elle habitait avec sa mère. Hélas, cette dernière vient de mourir et on n’a pas d’autres choix que d’envoyer Nénette dans une maison de retraite dont elle s’échappera à la première occasion. Il faut dire qu’ils voulaient lui retirer sa tortue Totoche et puis elle a une autre idée en tête : se rendre à Angers pour retrouver son père. En effet, en fouillant dans les affaires de sa mère, elle a trouvé une trace de cet homme mais elle arrive trop tard puisque celui-ci n’est également plus de ce monde. Ne reste plus que son fils Paul (Michel Blanc) qui est donc le demi-frère de Nénette qu’elle n’a pas l’intention de quitter.

    01.jpg

    C’est prendre un sacré risque de vouloir incarner un personnage handicapé mentalement ; soit on livre une prestation époustouflante soit on est proche du ridicule. Josiane Balasko s’implique grandement dans Demi-sœur (logique vu qu’elle en signe aussi la réalisation) mais son film est vraiment "Too much". Son interprétation de Nénette devient vite insupportable mais en plus de ça, on n’est pas épargné par la caricature que ce soit au niveau des personnages (Ah ces rockers !) ou des situations. Seul point positif dirons-nous la participation de Michel Blanc qui ne peut toutefois pas sauver cette comédie destinée à sombrer et pas qu’à moitié !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter les sucrettes dans le café !

  • Josette & Pierre - Le père Noël est une ordure

    01.jpgJosette : Hey monsieur Pierre ! Y’a un monsieur très malpoli qui a téléphoné, il voulait enculer Thérèse !
    Pierre : Oui mais c'est un ami !
    Josette : Ah bah ca va alors.

  • L’exercice de l’Etat

    aff.jpg

    C’est un fait-divers désastreux ; un bus scolaire a quitté accidentellement la route et le bilan est lourd puisqu’on dénombre déjà 9 morts tandis que les autres enfants sont dans un état grave. Bertrand Saint-Jean (Olivier Gourmet), Ministre des transports n’a pas tardé à réagir mais c’est une toute autre actualité qui va lui causer des soucis. Alors qu’il venait de réaffirmer à la radio qu’il ne procéderait en aucun cas à une privatisation des gares ferroviaires, un de ses collègues dévoile que le gouvernement travaillerait au contraire à ce projet. C’est le branle-bas de combat à Matignon et un démenti officiel est rapidement publié mais l’affaire va rapidement se compliquer.

    01.jpg

    On s’attendait à une radiographie du gouvernement français mais L’exercice de l’Etat se focalise essentiellement sur le personnage de Bertrand Saint-Jean, Ministre soucieux de son image mais qui devra certainement renoncer à ses principes s’il veut conserver son poste au gouvernement. Difficile de ne pas apprécier la belle prestation d’Olivier Gourmet appuyé par les impeccables Michel Blanc, Zabou Breitman ou Laurent Stocker. Description des arcanes du pouvoir français, le film de Pierre Schoeller est certes passionnant mais manque de peps au point qu’on a parfois l’impression de découvrir un très bon téléfilm du dimanche après-midi plutôt qu’une véritable œuvre de cinéma.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir les coulisses du pouvoir politique.

  • Et soudain, tout le monde me manque

    aff.jpg

    A 60 ans, notre pote Eli Dhrey (Michel Blanc) s’apprête à devenir père pour la 3ème fois ; une nouvelle déconcertante pour ses 2 filles que sont Justine & Dominique (Mélanie Laurent & Florence Loiret-Caille). En effet, on ne peut pas dire qu’Eli soit le père parfait ; aujourd’hui encore il semble ne pas avoir la tête sur les épaules. Son passe-temps favori est d’aller jouer au golf avec les ex-petits-amis de Justine sans que celle-ci soit au courant de tout ce manège. Elle a bien d’autres choses en tête notamment après sa rencontre avec Sami (Guillaume Gouix) mais leur histoire va tourner court lorsque le jeune homme va faire la connaissance …d’Eli.

    01.jpg

    Dès les premières minutes, on est prévenu qu’on est devant une comédie à l’humour décalé parfaitement incarné par le personnage d’Eli. Le problème c’est que cet aspect finit par prendre le pas sur le plan émotionnel du film tant au niveau de la romance entre Justine & Sami que dans la relation conflictuelle entre la fille et son père. Outre Mélanie Laurent & Michel Blanc, c’est aussi l’occasion de découvrir la comédienne Florence Loiret-Caille dans un registre plus léger que ses précédents rôles. L’univers proposé par Et soudain, tout le monde me manque avait sans aucun doute possible son charme mais on éprouve toutefois des difficultés à y pénétrer.

     

    Il faut le voir pour : Faire une radiographie de votre frigidaire !

  • Une petite zone de turbulences

    aff.jpg

    Après avoir consulté son médecin, Jean-Pierre (Michel Blanc) devrait être rassuré et pourtant c'est tout le contraire ! Dans son dos, il a repéré quelque chose, un simple bouton pour le docteur mais lui est persuadé qu'il est atteint d'un grave cancer qui ne lui reste que quelques jours à vivre. Tout cela le travaille et pour ne rien arranger, il apprend que sa fille Cathie (Mélanie Doutey) va se marier avec Philippe (Gilles Lellouche), un futur beau-fils qu'il ne peut pas supporter. Ajoutons à cela le fait que sa femme le trompe dans son dos et vous comprendrez pourquoi Jean-Pierre traverse actuellement une petite zone de turbulences.

    01.jpg

    Voilà une excellente comédie qui va forcément vous dérider car avec Une petite zone de turbulences, vous allez passer votre temps à rire. Adapté d'un roman de Mark Haddon, le film d'Alfred Lot se distingue surtout par des dialogues savoureux (écrits par Michel Blanc himself) et surtout qui font mouche ! Le reste repose sur la formidable entente de cette famille formidable et tellement ordinaire qu'on aimerait devenir un des leurs. C'est la comédie du moment, ça va forcément vous changer les idées et il n'en faut pas plus pour décrocher un Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Limiter votre consommation d'alcool en ne buvant que des petites bouteilles.

  • Embrassez qui vous voudrez

    aff.jpg

    Les vacances approchent mais c’est un véritable calvaire pour Véro & Jérôme (Karin Viard & Denis Podalydès) qui doivent faire face à des problèmes d’argent. Pour sauver les apparences, Véro tient absolument à réserver dans le même hôtel que leurs amis Elizabeth & Bertrand (Charlotte Rampling & Jacques Dutronc). A l’arrivée, Jérôme a accepté de partir au Touquet mais pour le bien de sa famille il a du réserver dans un camping ce qui ne va pas manquer d’énerver sa femme. Pendant ce temps à l’hôtel d’Elizabeth, un autre couple entre en crise ; Lulu (Carole Bouquet) ne supporte plus la jalousie maladive de Jean-Pierre (Michel Blanc).

    01.jpg

    L’amour et ses petites contrariétés, voilà le thème abordé par ce film choral au casting prestigieux. Michel Blanc y présente différents couples aux situations vivotantes. Entre les époux pour qui apparemment tout va bien, ceux qui doivent affronter des difficultés financières ou encore le couple où le mari jaloux rend la vie de sa femme insupportable ; la notion d’amour en prend un coup ! Malgré la multitude de personnages, Embrassez qui vous voudrez réussit à toujours garder l’attention du spectateur bien que cela passe par des rôles secondaires plus ou moins importants. Une comédie parfaitement maitrisée.