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Les séances de 2013-2014

  • Antboy

    cinéma, film, comédie, aventure, fantastique, Antboy,  	Oscar Dietz, Nicolas Bro, Samuel Ting Graf, Ask Hasselbalch, Amalie Kruse Jensen, Cecilie Alstrup Tarp, Laerke Winther Andersen, Marcuz Jess Petersen, Elsebeth Steentoft

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    Connaissez-vous Pelle Nøhrmann (Oscar Dietz) ? Probablement pas puisque ce petit garçon peu sur de lui est totalement invisible auprès de ses camarades de classe. Un jour, sa vie va changer puisqu’en se cachant dans les buissons de la propriété de Mme Gæmelkrå (Elsebeth Steentoft), il se fait piquer par une fourmi. Ce n’est que quelques temps plus tard qu’il comprend que cette fourmi n’est pas ordinaire et c’est ainsi que Pelle se découvre une grande force et la capacité d’adhérer aux murs. C’est avec l’aide de son nouveau pote d’enfance Willem (Samuel Ting Graf) qu’il prend conscience qu’il dispose d’incroyables pouvoirs qui ne donnent pas forcément de grandes responsabilités mais donnent naissance à un héros que tout le monde acclamera : Antboy !

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    Toute ressemblance avec un super-héros issu de l’écurie Marvel n’est peut-être pas fortuite ! Comment effectivement ne pas penser au Ant-man, membre des prestigieux Avengers. Evidemment, il s’agit ici d’un petit film danois et budget limité oblige même si le costume sauve un peu les apparences, quand vient l’heure de l’action ça devient flagrant. L’un des rares combats auquel vous assisterez confrontera notre héros à son nounours sinon la réalisation détourne ce manque de moyens par quelques subterfuges. Même si le petit Oscar Dietz a une bouille adorable, Antboy ne pourra amuser que les enfants qui trouveront avec Antboy un amusement suffisant pour faire passer le temps mais rien de plus.

  • Mobile home

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    Après une tentative de vie en couple avec Sylvie (Anne-Pascale Clairembourg), notre pote Simon (Arthur Dupont) est retourné vivre chez ses parents dans la campagne belge. Il y retrouve son pote d’enfance Julien (Guillaume Gouix) qui vit avec son père Luc (Jean-Paul Bonnaire), malade et dont il doit s’occuper régulièrement. Les deux garçons, sur un coup de tête, décident de tout plaquer pour s’acheter un mobile home et ainsi partir à l’aventure dans toute l’Europe. A eux Moscou, le Groenland ou encore les plages paradisiaques de Sardaigne mais leur voyage va tourner court puisque leur véhicule va tomber en panne. Avant de repartir, il leur faudra donc travailler pour payer les réparations et il y en a pour 3000 € !

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    Road-trip annoncé avec nos potes Arthur Dupont & Guillaume Gouix mais oubliez tout de suite la perspective de découvrir de splendides paysages car il n’y aura pas beaucoup de routes parcourues à bord de ce Mobile home. Il n’y a pas forcément besoin d’aller bien loin pour se découvrir et les 2 personnages sympathiques que sont ici Simon & Julien vont en faire l’expérience. Le duo fait preuve d’une belle entente, il est juste regrettable que cette sensation de sur-place du premier long-métrage de François Pirot soit aussi prégnante. Un petit film discret et qui a toutes les chances de le rester mais avec lequel on passe tout de même un agréable moment.

  • Tokusou Sentai Dekaranger the Movie: Full Blast Action

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    Quand une menace surgit, les policiers de l’espace se tiennent sur leurs gardes. Banban AKaza, Houji Tomasu, Sen'ichi Enari, Yousuke Itou, Tekkan Aira, Marika Reimon & Koume Kodou  (Ryuuji Sainei, Tsuyoshi Hayashi, Tomokazu Yoshida, Ayumi Kinoshita & Mika Kikuchi) forment en effet les Dekarangers de la Terre et ont fort à faire avec l’arrivée sur leur planète des Arugo Seijin. Sur les ordres de Doggie (Hideaki Kusaka), ils partent ainsi enquêter auprès de leurs nombreux contacts extraterrestres et c’est ce qui conduira Banban à faire la connaissance de Marigold Utahime (Chiharu Niiyama). Cette femme se trouve être elle aussi un membre des Dekarangers mais est originaire de la planète Leslie où  elle a assisté impuissante à la transformation de son peuple en robots à cause d’une poudre mystérieuse.

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    Bon je ne sais pas ce qu’il en est de la série mais la première réaction que j’ai eu devant Tokusou Sentai Dekaranger the Movie: Full Blast Action c’est que le jeu d’acteurs est quand même bien catastrophique. Evidemment, le Sentai n’est pas réputé pour abriter de grands comédiens mais là on atteint quand même des sommets et puis si ça ne suffisait pas, voilà qu’un Doggie plus vrai que nature fait son apparition. En ce qui concerne le reste, il n’y a pas grand-chose à dire du film issu de la 28ème incarnation des Super Sentai ; la réalisation est celle d’un épisode de série télévisée et bien sur pas de surprises concernant l’histoire. Quand on est fan, il suffit parfois de pas grand-chose pour se faire plaisir !

  • Hyakujuu Sentai Gaoranger vs. Super Sentai

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    La Terre court de nouveau un grand danger mais soyez rassurés, les Gaorangers sont là pour nous protéger ! Tsuetsue (Rei Saito), Yabaiba et leurs sbires viennent semer le désordre mais veulent surtout réveiller un monstre du nom de Rakushasa et ils parviendront à leurs fins. Lorsqu’ils se retrouvent face aux Gaorangers, ils parviennent à neutraliser Gaku, Kai & Sōtarō  (Kei Horie,Takeru Shibaki, Kazuyoshi Sakai) en leur ôtant courage et volonté de se battre. Kakeru (Noboru Kaneko) alias GaoRed se retrouve alors seul face aux ennemis pendant que Sae (Mio Takeuchi) autrement dit GaoWhite part se mettre à l’abri avec ses potes d’enfance. La situation s’avère compliquée mais ils vont recevoir une aide providentielle.

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    Hyakujuu Sentai Gaoranger vs. Super Sentai c’est l’occasion de marquer le 25ème anniversaire des Super Sentai. Là non plus ce n’est pas vraiment un film puisqu’il s’agit en fait d’un long épisode entrecoupé de scènes best-of des précédentes séries de Sentai. Pour nous occidentaux qui n’avons pas forcément eu le privilège de connaitre les Denziman, Kakuranger et j’en passe ; c’est l’occasion d’avoir un échantillon du bonheur procuré par ces héros costumés au fil de ces années. On retrouve ainsi des personnages phares comme Big One ou Red Falcon issus de ces différentes incarnations formant une Dream Sentai. Coté scénario, c’est la grande surprise … non je plaisante on a toujours un méchant de service (avec quand même plein d’autres pas beaux à tabasser) qi meurt et devient géant, du classique quoi.

     

    En savoir plus sur Hyakujuu Sentai Gaoranger - The fire mountain roars ?

  • Hyakujuu Sentai Gaoranger: The fire mountain roars

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    C’est une nouvelle victoire pour nos potes d’enfance que sont Kakeru Shishi, Gaku Washio, Kai Samezu, Sōtarō Ushigome, Sae Taiga, Shirogane (Noboru Kaneko, Kei Horie,Takeru Shibaki, Kazuyoshi Sakai, Mio Takeuchi, Tetsuji Tamayama). A peine profitent-ils de ce petit temps mort qu’ils se retrouvent aspirés dans un vortex qui va les conduire dans une autre dimension. Ils découvrent alors un nouveau monde où 3 Orgs ; Zeus, Hadès & Poséidon se sont imposés par la force et ont réduit en esclavage la population. Un groupe de résistants s’est toutefois formé, ils sont emmenés par Kaito (Mikio Osawa) et ils s’apprêtent à lancer une nouvelle offensive afin de libérer la Princesse Iriya (Yasue Satō) qui est restée incognito parmi les esclaves.

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    Hyakujuu Sentai Gaoranger représente la 25ème génération des séries Super Sentai et leurs particularités c’est qu’ils représentent tous des animaux sauvages tels que le lion flamboyant, l’élégante tigresse ou encore le requin déferlant. Marrant aussi de voir ces héros s’adresser aux spectateurs à la manière de Dora. Avec 27 minutes au compteur, difficile de considérer ce Hyakujuu Sentai Gaoranger: The fire mountain roars comme un film mais plutôt tout au plus comme un épisode spécial (qui fut d’ailleurs diffusé au Japon avec le film de Kamen Rider Agito : Project G4). Dommage d’ailleurs car la découverte de ce nouveau monde riche aurait pu être mieux développé d’autant plus que les 3 méchants de service sont quand même des divinités ! L’ensemble est donc trop précipité et n’intéressera vraiment que les véritables fans de la série japonaise.

  • La raíz del mal

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    Dans ce petit village agricole qui ne connait que la tranquillité, tout le monde s’active pour les préparatifs de la prochaine fête. Pour notre pote Ara (Eva Puerta), ce sera peut-être l’occasion de lui trouver un mari, du moins c’est ce qu’espère sa mère. Ce beau programme va être soudainement bouleversé car l’inquiétude grandit auprès de tout le monde ; le grand-père Murelo (Juan G. Boned) et sa petite-fille n’ont plus donné signe de vie depuis des heures. Le cauchemar prend réellement forme lorsqu’on découvre le corps atrocement mutilé du vieil homme et ils ne sont pas au bout de leur peine. Des monstres viennent attaquer le village et Ara voit notamment son père (Salvador Llós) mourir sous ses yeux tandis que sa mère & Elean (Victoria Roldán & María Castillo) sont enlevées.

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    Voilà un film espagnol qui ne vous laissera pas insensible mais pas forcément dans le bon sens du terme. Il faut déjà dire que devant la réalisation d’Adrián Cardona, on sent vite la patte amateur et ça ne fait que se confirmer au film du temps qui passe. L’accent est mis sur le gore avec des corps déchiquetés, de l’hémoglobine qui gicle dans tous les sens mais tout ça est tellement grotesque que ça provoque plus de rires que d’effroi. L’histoire et le jeu d’acteurs ne vont pas non plus relever le niveau sans oublier ce monstre ridicule qui va dévoiler un atout final assez … improbable disons sans oublier ce héros à la hache mis en valeur par des effets spéciaux digne d’un dessin animé. Vous l’aurez compris, La raíz del mal est un beau navet à offrir à vos pires ennemis !

  • Légendes vivantes

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    Le couple Veronica Corningstone / Ron Burgundy (Christina Applegate / Will Ferrell) avait tout pour être heureux. Unis par l’amour, ils étaient aussi les vedettes d’un journal télévisé de WBC jusqu’au jour où le big boss Mack Tannen (Harrison Ford) a décidé de confier les rênes de l’information exclusivement à Veronica. Six mois plus tard, le couple n’y a pas survécu et c’est un Ron Burgundy dépressif que retrouve Freddie Shapp (Dylan Baker), lui qui est venu lui proposer un incroyable projet. Global News Network sera la première chaine à proposer des informations 24H/24, une idée folle à l’époque mais qui va changer à jamais le paysage de l’information télévisée. Le journaliste déchu accepte le défi mais pas avec n’importe qui !

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    Ce n’est pas forcément une comédie très connue mais Présentateur vedette : la légende de Ron Burgundy était un joli petit délire signé Will Ferrell accompagné de sa fidèle bande. On ne peut que se réjouir de retrouver ses potes d’enfance presque 10 ans après les avoir quitté car l’humour est toujours aussi absurde avec un Steve Carrell revenu d’entre les morts ou encore un bébé requin nourri au biberon. Avec ça vous avez un casting 5 étoiles puisque viennent participer à la fête entre autres Kristen Wig, Meagan Good sans oublier une incroyable bataille de journalistes avec une pléthore de guests prestigieux dont notre Marion Cotillard. Légendes vivantes c’est un délire comme on les aime c’est un beau Coup de cœur Ciné2909, on en redemande et il n’y a qu’un mot à dire : Whammy !

  • Welcome to New York

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    M. Devereaux (Gérard Depardieu) est un homme puissant à la tête d’une importante institution financière et beaucoup lui prédisait un grand rôle à jouer à l’avenir. Il pourrait ainsi prochainement devenir le nouveau Président de la République Française mais sa carrière va soudainement basculer. Alors qu’il s’apprêtait à rejoindre la France, il est arrêté par les policiers de New York et est accusé du viol d’une employée de l’hôtel où il a séjourné. Un scandale retentissant qui ne tarde pas à faire le tour du monde et ce d’autant plus que cet homme politique a déjà derrière lui une réputation sulfureuse.

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    Aux dires d’Abel Ferrara, sa volonté était de retracer l’affaire DSK telle qu’elle a été perçue aux yeux des américains. Au bout de 10 minutes devant Welcome to New York, on comprend vite que soit le réalisateur espagnol nous prend pour des imbéciles soit il considère les américains comme de vrais abrutis. Jeu d’acteur d’un film érotique, dialogues d’une pauvreté affligeante, des scènes totalement inutiles et qui s’étirent en longueur ; ce film est une vraie calamité qui ne fait que surfer sur le scandale et le buzz provoqué par l’annonce du projet.  Parfois, on regrette d’avoir gâché son temps devant un film et celui-ci fait indéniablement partie de la liste.

  • La légende de Superplus Maximus

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    Il est beau, il est grand et il est le plus puissant des guerriers. Voici comment est dressé le portrait de Superplus Maximus (Will Sasso) dans la légende … mais ceci n’est qu’une légende ! En réalité, c’est un guerrier gauche au ventre bedonnant et qui mène la guerre avec sa chope de bière à la main. Malgré tout son beau-père lui confie la mission d’aller récupérer Orlando (Gary Lundy) en Grèce et de le ramener fissa à la maison. Seulement, sur le chemin du retour, Superplus s’aperçoit qu’Orlando n’a rien trouvé de mieux que de ramener Hélène (Sophie Monk) qui n’est autre que la femme d’Eroticus (Khary Payton). Lorsque ce dernier se rendra compte de ce qu’il s’est passé, la guerre risque d’éclater.

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    En matière de parodie de 300, on avait déjà eu la malchance d’avoir le désastreux Spartatouille. C’est donc avec une énorme méfiance qu’on jette un œil sur La légende de Superplus Maximus, un film issu de la franchise National Lampoon. Bon, on ne peut pas dire que l’humour soit beaucoup plus évolué d’autant qu’ici il se concentre davantage en-dessous de la ceinture. Disons juste que cette comédie est un poil plus supportable que la bouillie du duo Jason Friedberg & Aaron Seltzer ce qui n’était pas non plus un grand exploit à accomplir. Amis du bon gout vous vous serez déjà enfuis, pour ceux qui raffolent des parodies en manque d’originalité vous en aurez pour votre argent enfin je serais vous j’en profiterais plutôt pour faire des économies !

  • Les choristes

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    C’est le 15 Janvier 1919 que notre pote Clément Mathieu (Gérard Jugnot) a franchi pour la première fois les grilles du Fond de l’étang. C’est dans cette école qu’il va prendre ses nouvelles fonctions de surveillant mais ça ne sera pas de tout repos car il va avoir affaire à des élèves très agités. Si le Directeur Rachin (François Berléand) prône les vertus de l’action / réaction en envoyant les éléments perturbateurs au cachot, Clément va lui s’essayer à une méthode plus douce. Il parvient ainsi à fédérer ses élèves autour de sa passion : la musique ! Qui aurait cru qu’une chorale aurait pu se former avec ses jeunes garçons et comment deviner que le jeune Pierre Morhange (Jean-Baptiste Maunier) avait une voix aussi mélodieuse.

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    "Vois sur ton chemin, gamin oublié égaré donne leur la main pour les mener vers d’autres lendemains" Il fallait certainement être sourd en 2004, époque de la sortie en salles pour ne pas avoir entendu cette chanson qui venait couronner la première réalisation de Christophe Barratier et remake du film La cage aux rossignols. Les choristes nous ramène à la vie de l’après-guerre à travers le quotidien de cette école qui a su réveiller de jolis souvenirs chez des millions de spectateurs. Une nostalgie associée à une galerie de personnages tous plus attachants les uns que les autres ce qui nous donne un beau moment d’émotion qu’on le découvre pour la première fois ou qu’on le revoit.