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Titoff

  • Cavalcade

    Salut,

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    f88e59b60db4dc121b62de65edb1f355.jpgJe m’appelle Léo (Titoff) et je me demande ce que je peux bien foutre dans ce lit d’hôpital. J’étais ce qu’on appelle un mec fêtard, je sortais, buvais, couchais avec plein de filles canons bref, je profitais de la vie quoi !

     

    Et puis les choses ont commencé à dégénérer, je devais de l’argent, ma copine Alyzée (Marion Cotillard) m’a quitté comme un moins que rien ; j’étais bien sonné. Le destin s’est acharné sur moi, j’ai eu un accident de voiture et me voilà allongé dans ce foutu hosto complètement immobilisé.

     

    08fa254f0ca2dfe380ac97a2bdaf6533.jpgAujourd’hui, je suis coincé en fauteuil roulant en pleine rééducation et parfois je me demande encore si je ferais pas mieux d’en finir une bonne fois pour toute. Alyzée m’a complètement oublié et j’ignore ce qui pourrait bien me redonner l’envie de vivre…

     

    En Résumé : Drame tiré d’une histoire vraie, celle de Bruno de Stabenrath ; Cavalcade laisse une impression mitigée non pas par la performance sans grande envergure de Tittoff mais plutôt par son histoire parfois pas assez développé. Le film aurait gagné à être approfondi dans la description du héros mais également dans son retour à la vie. Par contre, on peut dire que le casting féminin a été soigné puisque ce veinard de Titoff se retrouver entouré des magnifiques Marion Cotillard, Bérénice Béjo, Mylène Jampanoi ou encore Estelle Lefébure.

  • Cavalcade

     

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    Pour notre Léo (Titoff), un seul mot d’ordre dans la vie : faire la fête. Chaque jour que Dieu fait, il profite des plaisirs de la vie ; sorties en boite, alcool, drogues, femmes rien n’échappe à ce bon vivant. Mais toutes les bonnes choses semblent avoir une fin ; il commence par accumuler les dettes et surtout sa petite-amie Alyzée (Marion Cotillard) le quitte après 5 ans de vie commune. Le pire est à venir, Léo est victime d’un accident de la route duquel il va garder d’importantes séquelles : il devient tétraplégique. Immobilisé sur son lit, il est vite en proie à une profonde dépression malgré la présence de sa famille et de ses potes d’enfance ; il a perdu le gout de vivre.

     

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    Voilà encore un film tiré d’une histoire vraie en l’occurrence le destin de Bruno de Stabenrath qui a fait l’objet du livre Cavalcade. Si d’emblée, on sait que l’on va avoir droit à un film dramatique, je suis resté assez perplexe devant la réalisation de Steve Suissa. D’une part parce que le coté extravagant voire perverti du personnage de Léo n’a pas été très développé et d’autre part parce que sa “renaissance” elle aussi se résume en une vingtaine de minutes à tout casser. Quant à la prestation de Titoff dont on aurait pu douter, elle reste tout ce qu’il y a de plus raisonnable sans pour autant être exceptionnel. En conclusion, on a là un film assez anodin au final.

  • Gomez vs Tavares

     

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    Cela fait déjà quelques temps que Carlos Gomez (Stomy Bugsy) se comporte de façon étrange et cela n’a pas échappé à son entourage proche à commencer par son équipier et pote d’enfance Maxime Tavares (Titoff). Ce dernier aimerait pouvoir l’aider d’autant plus qu’il sort avec sa sœur Gina (Noémie Lenoir) et qu’il aimerait lui annoncer la nouvelle avec douceur. Les choses se compliquent encore un peu plus quand à la mort de son oncle, Maxime apprend qu’il n’est pas l’orphelin qu’il croyait être. Voilà plus de 30 ans en réalité que son père Jacques (Jean Benguigui) était incarcéré en prison ; ce n’est que le début des ennuis !

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    Un retour que l’on attendait pas vraiment mais comme les idées originales se font extrêmement rares, on fait appel au recyclage d’autant plus que la protection de l’environnement est dans l’air du temps. Début à la Fast & Furious (ou à la Taxi tout dépend de vos références), une suite qui ne relève pas le niveau ; on se demande encore comment ce film a réussi à trouver des financiers pour lancer ce projet. On ne va pas tourner autour du pot pour dire que Gomez Vs Tavares n’aura pas un parcours en salles bien glorieux. Si encore on peut s’habituer à l’histoire étriquée, on est vite assommé par l’humour aussi développé que la chevelure de notre Fabien Barthez national.

     

    Il faut le voir pour : Se rendre compte qu’ils chantent n’importe quoi en prison !