Captivity
A la télévision, à la une des magazines ou encore à l’arrière des bus, vous ne pouvez pas la manquer ; Jennifer Tree (Elisha Cuthbert) est partout ! Elle est le mannequin en vogue actuellement et sa carrière est en plein épanouissement mais cela n’a pas que des bons cotés. Alors qu’elle s’était trainée à une soirée de charité, elle est droguée par un inconnu et à son réveil, elle se retrouve cloitrée dans une pièce mais très rapidement, son calvaire va commencer. Son ravisseur lui réserve des sévices que l’on n’oserait meme pas imaginer mais heureusement elle rencontre Gary (Daniel Gilles) qui a lui aussi été enlevé. A eux deux, ils arriveront peut-etre à s’échapper de cet enfer.
Dans la famille film d’épouvante sans idées, avec quelques scènes gores ; je demande le petit dernier. Bonne pioche avec Captivity qui reprend sans vergognes la notion de huis clos d’un Cube ou d’un Saw selon vos références et qui surfe sur la vague de violence qui submerge en ce moment le cinéma américain. Quant à notre pote Elisha Cuthbert, elle a troqué son rôle de jeune fille pris dans les emmerdes dans la série 24 pour … un rôle de jeune femme pris dans les emmerdes au cinéma. Belle progression pour une comédienne qui n’a pas du avoir trop de mal à retenir ses quelques lignes de dialogue débitées entre 2 évanouissements. A éviter sauf si on veut retient captif évidemment !
Il faut le voir pour : Ne jamais apprendre aux femmes à armer un fusil !