Avida
Chaque jour la porte s’ouvre pour notre Pote (Gustave de Kervern), lui qui est sourd et muet doit s’occuper des chiens en les faisant notamment jouer avec des poupées. Oui mais voilà que son patron meurt et il finit par s’échapper avant de se retrouver dans un zoo où il fait la connaissance de ses 2 collègues. Le trio finit par mettre au point un plan machiavélique qui consiste à enlever un chien appartenant à une certaine Avida (Velvet) qu’ils échangeront contre une petite rançon de 100 000 euros !
Je savais que ce film ne serait pas comme les autres et c’est cette singularité qui m’attirait. Après Aaltra, voilà donc la seconde collaboration de Gustave de Kervern & Benoît Delépine et si j’ai apprécié leur première œuvre je ne peux pas en dire autant de celui-ci. Avida, on aime ou on déteste comme le prouve les quelques spectateurs qui ont quitté précipitamment la salle ; pour ma part c’était un peu trop spécial. On retrouve quelques éléments issus de l’univers grolandais mais dans l’ensemble on a à faire à un véritable ovni cinématographique.