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La séance de rattrapage

  • Happy Birthdead

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    C’est une journée qui commence mal pour notre pote Tree (Jessica Rothe). Après une soirée plus qu’arrosée, elle s’est réveillée dans la chambre de Carter (Israel Broussard), un garçon qu’elle n’avait jamais vu auparavant. C’est avec une belle gueule de bois qu’elle entame ce Lundi 18 Février et il se trouve que c’est aussi son anniversaire ! En tout cas, c’est une journée qui restera gravée dans sa mémoire car le soir-même, elle trouvera la mort. L’histoire aurait pu s'arrêter là mais elle va se réveiller convaincue d’avoir fait un cauchemar. Les premiers doutes surgissent quand certains détails se reproduisent, une étrange impression de déjà-vu. Tree en aura la certitude quand elle meurt de nouveau et se réveille le matin du Lundi 18 Février dans la chambre de Carter !

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    Plutôt que de nous proposer un énième slasher, c’est bien aussi de faire preuve d’originalité. Happy birthdead joue ainsi la carte de la nouveauté en adoptant un scénario malin ; une héroïne qui ressuscite et revit la même journée. A partir de ce pitch, le film s’oriente clairement davantage vers la comédie que l’épouvante. Dommage que cette propension à mourir ne donne pas l’occasion à plus de dérision un peu à l’image de Scream à l’époque de sa sortie. Avec cette idée plutôt intéressante, le film de Christopher Landon (Oui c’est bien le fils de Charles Ingalls alias Michael Landon !) réussit à se distinguer sans pour autant nous offrir un grand divertissement. Jetez-y un œil quand vous aurez du temps libre par exemple au moment où vous ressusciterez !

  • La tour Montparnasse infernale

    cinéma, film, comédie, La tour Montparnasse infernale, charles nemes, Eric Judor, Ramzy Bedia, Marina Foïs, Serge Riaboukine, Michel Puterflam, Bô Gaultier de Kermoal, Peter Semler, Edgar Givry

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    Le week-end est là et la Tour Montparnasse se vide mais alors que la nuit s'est installée, notre pote Stéphanie (Marina Foïs) attend la visite de son oncle. Une importante réunion doit en effet avoir lieu mais elle sera brutalement interrompue par un groupe d'hommes armés menés par machin ou plutôt Michel (Serge Raboukine). Leur but est d'obtenir un code qui leur permettrait d'ouvrir un coffre renfermant pas moins de 50 millions de francs. Un plan bien pensé qui n'avait cependant pas prévu l'intervention d'Eric & Ramzy (Eric Judor & Ramy Bedia), 2 laveurs de vitres aussi imprévisibles qu'ils sont stupides.

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    Après avoir connu le succès avec leurs spectacles puis à la télévision, nos potes Eric & Ramzy se lancent dans l'aventure du cinéma. En toute logique, c'est avec une comédie qu'ils viennent faire les zigotos avec l'humour qu'on leur connaît (et que tout le monde n'apprécie pas forcément) avec ce mélange de Piège de cristal et de La tour infernale. Ce film de Charles Nemes repose entièrement sur ce duo intenable capable de prendre en otage une main ou encore de revisiter le combat Bruce Lee / Kareem Abdul-Jabbar. Si La tour Montparnasse infernale n'a rien de franchement irrésistible, il y a quand même des passages marrants ainsi que quelques dialogues qui restent dans les mémoires ; rien de plus qu'un petit amusement.

  • Parallels

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    Cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas eu de nouvelles de son père aussi ce fut une surprise pour notre pote Ronan Carver (Mark Hapka) de recevoir un message de sa part. Il lui a ainsi demandé de revenir dans la maison familiale où il va retrouver sa sœur Beatrix (Jessica Rothe). Elle aussi a eu le même message mais n'a pas vu son père et le mystère s'épaissit lorsqu'ils découvrent un sac à dos où ils y trouvent un drôle d'objet. Accompagné d'un de leurs voisins Harold (Eric Jungmann), ils partent à la recherche de leur père ce qui va les conduire jusqu'à cet immeuble qui recèle un secret puisqu'il serait le portail vers des terres alternatives !

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    Le multivers ou les terres alternatives en voilà un sujet passionnant proposé par Parallels du moins c'est vrai sur le papier. C'est bien beau de vouloir nous proposer différentes versions de notre réalité encore faut-il avoir les moyens de ses ambitions ce qui n'est évidemment pas le cas ici. Déjà en termes de découvertes ça se limite à 2 univers et encore cela se déroule de manière très sommaire et puis l'intrigue est aussi excitante qu'un rendez-vous chez mon podologue. En fait le film développe peu de choses en dehors de notre ennui devant l'écran et on espère simplement pour le bien de tous que ce film n'existe pas dans d'autres réalités !

  • Mad Max : Au-delà du Dôme du tonnerre

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    Il a tout perdu ! Notre pote Max (Mel Gibson) vient de se faire attaquer et surtout voler son véhicule avec tout ce qu'il possédait sans ça, sa survie risque d’être bien plus difficile. Heureusement, il se trouve près de Trocpolis où il aura l'occasion de se refaire en offrant ses services. C'est ainsi qu'il est présenté auprès d'Entity (Tina Turner) qui va lui confier une mission de la plus haute importance. Max devra se débarrasser d'une montagne de muscles nommée Bombe (Paul Larsson) et pour cela, il devra participer à un combat dans l'impitoyable Dôme du tonnerre. Les règles sont simples ; il n'y en a pas et seul le vainqueur se verra le droit de sortir du dôme.

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    4 ans après le second opus, George Miller rempile pour de nouvelles aventures de notre pote Max le survivant. Direction Trocpolis où on est quand même surpris d'y trouver Tina Turner. Ce volet offre en fait un sentiment mitigé ; si on retrouve dans la première partie ce monde post-apocalyptique qui nous fascine (le combat dans le Dôme du tonnerre frise toutefois aujourd'hui le ridicule), on a ensuite une autre pour le moins étonnante. Passé ce moment de circonspection, on se console avec cette poursuite finale où l'on retrouve l'extravagance du réalisateur. Mad Max : Au-delà du Dôme du tonnerre apporte donc une amère déception ; après avoir goûté à l'excellence de Mad Max 2 : Le défi il est difficile de se contenter de cet épisode ronronnant.

  • Mad Max

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    La Terre dans un futur proche. Les routes sont devenues de véritables terrains de guerre et les délits ne cessent d'augmenter. Pour endiguer ce phénomène, les forces de Police se sont équipés en conséquence mais ce n'est pas toujours suffisant. Sur la route, notre pote Max Rockatansky (Mel Gibson) fait la loi avec son partenaire Jim Goose (Steve Bisley) mais ils vont avoir affaire à Toecutter (Hugh Keays-Byrne) et sa bande de motards. S'ils parviennent dans un premier temps à arrêter un des membres de ce gang Johnny the Boy (Tim Burns) malheureusement celui-ci retrouve rapidement la liberté. Les choses ne vont pas en rester là puisque Goose va tomber dans un guet-apens, un drame qui va marquer Max.

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    Détail qui a tout de même son importance, la vision de ce film se fait en 2015 après avoir vu le reboot au cinéma, c'est vous dire le fossé qu'il peut y avoir. On ne peut pas le nier Mad Max a vieilli et pas forcément de la meilleure des façons. C'est avec un petit sourire en coin qu'on découvre cette bande de renégats qui ne sont rien moins que d'ordinaires motards. Il y a tout de même du positif dans ce galop d'essai de George Miller ; l'ambiance fin du monde (bon les bagnoles de flic jaunes et les combinaisons en cuir ça le fait moyen) et des scènes d'action qui font toujours leur effet (et qui devait être révolutionnaire à l'époque de la sortie du film en 1979). Indispensable pour enrichir sa culture ciné moins pour le reste.

  • L'attaque de la Moussaka géante

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    C'est une nouvelle dispute qui anime le dîner de notre pote Aris (Eugene Dimitriou) et le repas qui lui est servi ne semble pas vraiment l'enchanter. Il échappe à la surveillance de ses parents pour apporter son assiette de Moussaka à un chien mais un événement inattendu se produit alors. Cela peut paraître improbable mais c'est bel et bien une soucoupe volante qui fait son apparition dans le ciel d'Athènes. Un rayon surgit et frappe l'assiette, l'improbable se produit alors : la Moussaka devient géante et se met à se déplacer ! Très vite, la nouvelle parcourt le monde entier et surtout le nombre de victimes ne cesse d'augmenter.

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    Allons droit au but ; la Grèce se résume à ses grands philosophes et à L'attaque de la Moussaka géante ! Ce film de Panos H. Koutras sorti en 2001 est une petite merveille de kitsch avec ces chercheurs homo en blouses roses, des transsexuels en guise de héros et bien sur cette spécialité culinaire devenue menace planétaire. Avec une telle idée de génie en guise de scénario, une réalisation inspirée et des effets spéciaux à faire pâlir Hollywood ; on sait bien sur à quoi s'attendre et on est vraiment pas déçu par le résultat. Un classique parmi les nanars, il faudra quand même que je pense un jour à le voir en étant sobre mais ça ce n'est pas gagné !

  • Planète Hulk

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    Les Illuminati ont fait leur choix : Hulk est bien trop dangereux est c'est pourquoi ils ont pris une décision difficile en l'exilant sur une lointaine planète. Bien entendu, le géant de jade n'accepte pas cette sentence et va sans le vouloir dévier la trajectoire de sa navette spatiale. Il atterrit ainsi sur la planète Sakaar où il est rapidement capturé puis traité comme un esclave. Il n'est pas le seul dans ce cas, il se retrouve en compagnie d'Elloe, Miek, Korg, Hiroim & Laven qui deviendront ses nouveaux compagnons d'arme. Ils sont en effet conduit vers le Colisée où une série de combats va avoir lieu sous les yeux du Roi rouge ; pour survivre ils devront en sortir victorieux !

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    Adaptation du comic-book The incredible Hulk et plus précisément de l'arc narratif développé entre les numéros 92 & 106. On a ainsi l'occasion de voir évoluer notre géant vert préféré dans un nouvel environnement et pour cause, il est expédié à l'autre bout de la galaxie ! Hulk aimant s'exprimer à travers ses poings, il a ici l'opportunité de se lâcher à travers une arène de combat rappelant les jeux du cirque de l'époque romaine. On appréciera d'ailleurs les quelques clins d’œil glissés dans la goule où l'on peut notamment reconnaître Gamora ou encore Adam Warlock. Planète Hulk est une adaptation plutôt réussie mais aussi tronquée puisque le film d'animation ne reprend pas l'intégralité de l'histoire originale.

  • 30 Nights of Paranormal Activity with the Devil Inside the Girl with the Dragon Tattoo

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    La vie de notre pote Dana (Kathryn Fiore) a été marquée par un crime horrible commis par son propre père. Ce dernier a en effet été reconnu coupable pour avoir tué et mangé les acteurs du film The artist (et même le chien Huggy !) et il a depuis été interné dans un institut spécialisé situé en Italie. Pas facile de se reconstruire et pourtant Dana est aujourd’hui heureuse, elle vit avec Aaron (Flip Schultz) qu’elle a rencontré dans l’émission du Bachelor et avec qui elle élève Liz (Olivia Alexander) et ils ont eu ensemble un fils. Cette famille vient de s’installer dans une maison et pas n’importe laquelle celle où a grandit Dana.

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    Pourquoi s’embêter à écrire un scénario quand on peut si facilement reprendre les succès au box-office et les décliner en parodies ? Ça fait même longtemps qu’elles ne font même plus preuve de la moindre créativité et ici ça se remarque jusqu'à ce titre à rallonge. 30 Nights of Paranormal Activity with the Devil Inside the Girl with the Dragon Tattoo est donc dans la même veine que ses prédécesseurs à savoir une bouillie infâme où patauge des sosies du pauvre issus de films comme The artist, The dark knight rises ou la saga Paranormal activity. Le plus triste dans tout ça c'est qu'on a toutes les chances d'en avoir encore d'autres comme ça pour de nombreuses années ...

  • L'homme homard venu de Mars

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    Notre pote J.P. Sheldrake (Tony Curtis) est riche seulement ce producteur risque aussi d’être condamné pour fraude fiscale. Une des solutions qui s'offrent à lui serait alors de sortit un film qui se transformerait en gouffre financier autrement dit un bide ! Hasard ou coïncidence, au même moment le réalisateur amateur Stevie Horowitz (Dean Jacobson) souhaiterait lui présenter son film : L'homme homard venu de Mars. Sheldrake va ainsi découvrir une incroyable histoire où des extraterrestres débarqueraient sur Terre pour tenter de voler notre oxygène. Il semblerait bien que le navet qu'il attendait s'offre à lui.

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    En voilà titre pour le moins explicite : L'homme homard venu de Mars sorti en 1989 n'est pas là pour être pris au sérieux. Un second degré qu'on retrouve tout au long du film que ce soit à travers ses effets spéciaux, ses personnages misogynes, les homards croisés avec des chauves-souris ou encore ses incroyables costumes. Il y aura plus d'une occasion de sourire devant cet univers totalement délirant où on peut quand même s'étonner d'y voir les participations de nos potes Tony Curtis & Patrick Macnee. Petit regret pas de traces de ces fameux lapins de Neptune, peut-être dans une suite ou un reboot ? Un film qui a toute sa place parmi les nanars !

  • Street Fighter II - Le film

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    L'organisation criminelle Shadaloo est plus puissante que jamais ; son influence s'étend sur le monde entier et ils l'ont encore prouvé. Un ministre vient d’être assassiné à Londres par Cammy White, agent du MI6 qui a subi un lavage de cerveau. Shadaloo recrute en effet les meilleurs combattants de la planète pour les transformer en terroristes et le Commandeur Vega semble s'intéresser de près à un certain Ryu. Ce dernier possède en effet une grande force qui lui a d'ailleurs permis de vaincre le champion Sagat. Pendant ce temps, l'agent d'Interpol Chun-Li prend la direction des États-Unis afin de collaborer avec Guile avec l'objectif de neutraliser l'organisation de Vega et ses acolytes.

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    Retour en 1994, le célèbre jeu vidéo de Capcom se décline avec une adaptation live avec l'unique JCVD mais il y a aussi ce film d'animation plus intéressant. A première vue, on a droit à des graphismes agréables si ce n'est qu'on déplore rapidement cette tendance à faire de chaque héros des armoires à glace. Le fan service est quant à lui bien assuré à travers différents combats le plus souvent sans intérêt mais qui permettent de faire apparaître tous les personnages de l'univers de Super Street Fighter II (même notre pote Akuma). Loin de se montrer éclatant, Street Fighter II - Le film fait tout de même l'affaire pour se détendre entre deux parties de console mais si vous ne faites pas partie des fans du jeu l’intérêt s'en trouve vite amoindri.