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Bruce Willis

  • Glass

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    On lui a donné de nombreux surnoms mais notre pote David Dunn (Bruce Willis) a une préférence pour le Superviseur ! Ce justicier fait beaucoup parler de lui à Philadelphie et c’est avec l’aide de son fils Joseph (Spencer Treat Clark) qu’il tente de venir en aide à ceux qui en ont besoin. Dernièrement, David s’est mis en tête d'enquêter sur la disparition de 4 jeunes femmes et cela va le mener directement jusqu’aux crocs de La Bête (James McAvoy). A ce stade, il ignore encore que l’homme qui se dresse devant lui possède 24 personnalités différentes et c’est un combat acharné qui a lieu. Il n’y aura pas de vainqueur car ils seront tous deux appréhendés par le Docteur Ellie Staple (Sarah Paulson) et conduit dans un hôpital psychiatrique où se trouve une vieille connaissance.

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    M. Night Shyamalan vient clore sa trilogie entamée en 2000 avec Incassable et poursuivi avec Split en réunissant rien moins que Bruce Willis, Samuel L. Jackson et bien sur le schizophrène James McAvoy. L’heure de la confrontation finale est arrivée pour ces 3 monstres, au sens propre comme au sens figuré, pour un film qui tient ses promesses. On est aussi bien séduit par la réflexion soulevée du statut de super-héros que par des scènes d’action qui brillent par leur réalisme. Même si le scénario passe par quelques facilités (Elijah Price malgré son intellect supérieur est resté enfermé 19 ans… pourquoi pas) et qu’on sent qu’on est davantage dans la continuité de l’histoire de Kevin Crumb, rien ne peut venir briser la Glass !



    Il faut le voir pour : Continuer à lire des comics parce que les super-héros, ça existe !

  • Sin City : J'ai tué pour elle

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    Roarke (Powers Boothe) est un homme dangereux, tout Sin City n’est pas sans ignorer cela. C’est loin d’effrayer notre pote Johnny (Joseph Gordon-Levitt) qui a justement des comptes à régler avec lui d’autant plus qu’il partage un lien très particulier avec le sénateur. Alors lorsqu’il le défie au Poker et le ridiculise ; il peut s’attendre à ce que Roarke ne le laisse pas s’en tirer à si bon compte. De son coté, Dwight McCarthy  (Josh Brolin) s’est mis dans une drôle de situation après avoir retrouvé la belle mais vénéneuse Ava Lord (Eva Green). Seul, il n’ira pas bien loin c’est pourquoi il décide de faire appel à un poids lourd : Marv (Mickey Rourke) s’ennuyait ce soir et va pouvoir se défouler un peu.

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    Il aura donc fallu patienter 9 ans avant que la paire Rodriguez / Miller fasse à nouveau parler la poudre avec un épisode un peu décevant. Bon visuellement on retrouve l’esthétisme révolutionnaire avec les quelques couleurs qui se fondent dans cet univers noir et blanc qui font toujours leur effet. C’est au niveau des personnages que la magie de Sin City : J'ai tué pour elle opère moins avec des visages connus qui ne semblent être là que pour enrichir une distribution pléthorique (Hartigan / Gail). Les nouveaux venus ne se montrent pas tous très intéressants à l’image de Johnny ou Manute dont le potentiel ne sera jamais réellement exploité. Bon film mais après une telle attente on tendait déjà l’autre joue pour une nouvelle claque, il faudra se contenter d’une petite tape.

     

    Il faut le voir pour : Tenter votre chance aux machines à sous, ça a l’air facile !

     

    En savoir plus sur Sin city ?

  • Sin city : j'ai tué pour elle

    Il y a 9 ans, Robert Rodriguez nous mettait une petite claque en adaptant l'oeuvre culte de Frank Miller et on aura bientot droit à la suite avec Sin city : j'ai tué pour elle dans lequel on retrouvera Mickey Rourke, Jessica Alba ou encore Bruce Willis sans oublier l'arrivée d'Eva Green qui a déjà fait parler d'elle aux Etats-Unis !

    Date de sortie : 17 Septembre 2014.


  • G.I.Joe : Conspiration

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    Les G.I. Joe n’existent plus. C’est par cette déclaration officielle que le Président des Etats-Unis (Jonathan Pryce) a annoncé cette nouvelle qui a bouleversé le monde entier. Cette unité de super soldats aurait en effet trahi les siens en assassinant le Président pakistanais et orchestrant le vol d’ogives nucléaires. En fait, la réalité est bien plus inquiétante car celui qui prétend être le Président des Etats-Unis est en fait un imposteur ; il s’agit de Zartan (Arnold Vosloo), l’un des hommes de main du Cobra Commander (Luke Bracey). Ils pensaient avoir anéanti les G.I.Joe mais Lady Jaye, Roadblock, & Flint (Adrianne Palicki, Dwayne Johnson & D.J. Cotrona) sont parvenus à s’en tirer et organisent la contre-attaque.

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    Attendu initialement pour l’été 2012, il aura fallu presque 1 année supplémentaire pour découvrir les nouvelles aventures des personnages d’Hasbro. Un retard qui serait justifié pour mettre en valeur la participation de Channing Tatum et au vu du film je crois qu’on s’est bien foutu de nous ! Avec G.I.Joe : Conspiration, il y a un sentiment immense de gâchis ; Bruce Willis joue juste les guest-stars de 10 minutes et puis quelle idée de se priver d’un personnage comme Duke alors qu’à coté un gars comme Flint ne sert à rien. Bien sur le casting ne fait pas tout mais la réalisation de Jon M. Chu, jusque là cantonné à des films de danse, manque cruellement de punch et on a plus vite fait de retourner chercher nos figurines pour réellement s’amuser.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre qu’on peut en planquer des armes dans une maison !

  • Die Hard : Belle journée pour mourir

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    Bien que cela fasse des années qu’ils ne se parlent plus, dès qu’il a retrouvé la trace de Jack (Jai Courtney), notre pote John McClane (Bruce Willis) a sauté dans un avion pour la Russie. Son fils est retenu prisonnier après avoir assassiné un homme dans une boite de nuit mais derrière ce banal fait-divers se cache en fait un plan minutieusement préparé. Jack a fait tout cela pour se retrouver après d’un autre prisonnier ; Yuri Komorov (Sebastian Koch) qui détient une information capitale concernant le ministre Chagarin (Sergey Kolesnikov). Bien sur, John ignore tout de cette histoire et va se retrouver une nouvelle fois embarqué dans de nouvelles aventures qui le conduiront jusqu’aux portes de Tchernobyl.

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    Pas de vacances pour John McClane et malgré les 57 printemps de Bruce Willis, il y a toujours un certain émoi chez les fans de revoir ce héros légendaire. Sur le papier, la réalisation de Die Hard : Belle journée pour mourir confiée à John Moore (Max Payne) n’était vraiment pas fait pour nous rassurer et il s’en est fallu d’un rien qu’on plonge la saga dans le navet. On ne peut pas dire non plus qu’il s’en tire bien heureusement le spectacle est assuré avec une monstrueuse course-poursuite (de laquelle McClane ressort de 2 tonneaux sans la moindre égratignure) mais ça ne suit pas derrière et ce n’est pas le frêle Jai Courtney qui va rattraper le coup. Parce que c’est John McClane, on se sent presque obligé d’aller le voir mais on préférera vite l’oublier. Yipee-Ki … oui mais non là l’enthousiasme n’y est pas !

     

    Il faut le voir pour : Laisser votre chauffeur de taxi chanter !


    En savoir plus sur Piège de cristal (Die Hard) ?


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    En savoir plus sur Die Hard 4 - Retour en enfer ?


  • Looper

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    En 2074, le voyage dans le temps est devenu possible mais fut aussi immédiatement déclaré comme illégal compte tenu des menaces qu’il peut engendrer. Seules les mafias utilisent ses machines lorsqu’ils veulent se débarrasser de quelqu’un de gênant ; ils l’expédient 30 ans en arrière et c’est un looper qui est chargé de l’exécution. C’est justement le lot quotidien de notre pote Joe (Joseph-Gordon Levitt), un job qui lui permet de s’offrir pas de mal de bon temps mais il arrive un moment où un looper se retrouve face à lui-même. On appelle cela "Boucler sa boucle" et à partir de ce moment-là, il ne lui reste donc plus que 30 ans à vivre et c’est ce que le destin réserve à Joe.

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    Un scénario alléchant, le plaisir de revoir notre pote Bruce " Yipee-Ki-Yay" Willis et un nouveau monde futuriste qui s’ouvre à nous ; il y a avait effectivement de quoi nous donner l’eau à la bouche. Si le résultat final est plutôt convaincant, il y a quand même quelques zones d’ombre pour ne pas dire d’incohérences dans le scénario. Difficile de croire que seule la mafia puisse profiter de cette technologie aussi pointue qu’est le voyage dans le temps … Looper prend aussi le parti de ne pas s’abandonner dans un flot d’action, intention louable mais à double tranchant puisque vient un petit creux au milieu du film. Un univers riche qui ne demande qu’à être davantage exploré dans une éventuelle suite ?

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de vous mettre des gouttes dans les yeux !

  • Expendables 2 : Unité spéciale

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    A peine de retour d’une mission au Tibet, notre pote Barney Ross (Sylvester Stallone) et son équipe repartent déjà pour une nouvelle mission. Ils doivent retrouver un coffre échoué en Chine et seront accompagnés pour l’occasion de Maggie Chan (Yu Nan) mais ils ne sont pas les seuls sur le coup. Un certain Vilain (Jean-Claude Van Damme) fait son apparition et ira jusqu’à exécuter un des équipiers de Barney qui n’aura désormais qu’un but : le traquer, le trouver, le tuer ! Entretemps, ils apprennent ce que contenait le coffre : un plan indiquant l’emplacement de 5 tonnes de Plutonium. Vilain a bien l’intention de les vendre au plus offrant quitter à bouleverser à jamais l’équilibre de l’ordre du monde.

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    C’était déjà une belle prouesse de réunir cette belle brochette bodybuildée et Expendables 2 : Unité spéciale fait encore mieux. Les nouveaux venus sont le Vilain Jean-Claude Van Damme et le Loup solitaire Chuck Norris sans oublier Willis & Schwarzenegger qui mettent un peu plus la main à la pate dans cet épisode. Après une scène d’entrée tonitruante, se dévoile ensuite un scénario expéditif puisque l’essentiel étant de voir en action nos héros et de ce point de vue là, le spectacle est au rendez-vous. Le plaisir de revoir tout ce beau monde l’emporte une fois encore et efface quelques déceptions comme les rôles mineurs de Jet Li et de Yu Nan mais ça vaut évidemment un Coup de cœur Ciné2909 très musclé !

     

    Il faut le voir pour : Ne pas manquer le retour de Schwarzie !


    En savoir plus sur Expendables : Unité spéciale ?

  • Lady Vegas - Les mémoires d’une joueuse

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    Ce n’est vraiment plus possible ! Notre pote Beth (Rebecca Hall) a pris la décision de tirer un trait sur son job de strip-teaseuse et va profiter de l’occasion pour se rendre à Las Vegas. Sur place, elle part à la recherche d’un boulot et va être recommandée auprès de Dink (Bruce Willis), un parieur sportif. Basket universitaire ou professionnel, football américain ou courses de chevaux ; s’il y a possibilité de miser de l’argent il ne dira pas non. C’est une expérience extrêmement enrichissante pour Beth d’autant plus que son patron ne la laisse pas indifférente et l’histoire aurait pu être belle s’il n’y avait pas eu Tulip (Catherine Zeta-Jones), la femme de Dink !

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    Ouvrons les paris, ce film de Stephen Frears ne va pas bénéficier d’une très grosse cote dans les salles obscures. On se disait pourtant qu’en réunissant Rebecca Hall, Catherine Zeta-Jones, Bruce Willis & Joshua Jackson ; le réalisateur de Tamara Drewe allait nous concocter un truc sympa mais les promesses s’envolent vite en fumée. Le thème du pari sportif aurait pu nous emballer mais c’est incompréhensible pour les néophytes et ça ne cherche même pas à faciliter les choses aux spectateurs aussi ne faut-il pas s’étonner qu’on lâche l’affaire rapidement. Le scénario d’une vaine platitude n’aidera pas non plus Lady Vegas - Les mémoires d’une joueuse à rafler la mise.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de jouer au Pousse pièces.

  • Moonrise Kingdom

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    C’est la panique sur l’ile de New Penzance et notamment au Camp Ivanhoe où un scout manque à l’appel. Notre pote Sam (Jared Gilman) s’est en effet fait la belle en laissant derrière lui une lettre où il explique qu’il ne se sent pas à sa place et qu’il préfère quitter les scouts. Responsable de cette troupe, le Chef Ward (Edward Norton) prévient immédiatement les autorités et notamment le Capitaine Sharp (Bruce Willis) pour retrouver sa trace mais ce ne sera pas facile car Sam est un scout de premier ordre. D’ailleurs, on retrouve celui-ci à l’autre bout de l’ile car sa fuite était en fait un rendez-vous planifié de longue date avec Suzy (Kara Hayward).

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    Il est difficile de rester insensible face au cinéma de notre pote Wes Anderson qui nous avait déjà offert une drôle de virée A bord du Darjeeling Limited. Une fois encore, il nous embarque dans une histoire assez incroyable mettant en scène 2 adolescents marginaux et qui n’ont peur de rien ! Décalé et totalement imprévisible, Moonrise Kingdom a néanmoins toutes les chances une fois de plus de diviser le public. L’esprit du film fait un peu penser à ce que nous offre le cinéma des Frères Cohen ; des situations burlesques portées par des personnages toujours plus atypiques. Emporté dans un véritable voyage, on appréciera essentiellement la fraicheur qu’apporte le film dans le paysage cinématographique américain.

     

    Il faut le voir pour : Vous procurer un porte-voix pour communiquer en famille !

  • Sans issue

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    Les vacances ont débuté sous de mauvais auspices pour notre pote Will Shaw (Henry Cavill) ; à peine arrivé en Espagne, il apprend que sa valise est restée bloquée aux États-Unis. Il se réjouissait pourtant à la perspective de retrouver sa famille mais un coup de fil professionnel va l’obliger à écourter son séjour ce qui ne semble pas plaire à son père Martin (Bruce Willis). L’ambiance est électrique sur le bateau familial et Will décide d’aller se calmer en ville mais à son retour, il découvre un voilier vide et vraisemblablement il s’est passé quelque chose de grave. Après avoir sollicité l’aide de la police locale qui va s’avérer inutile, son père vient à sa rescousse avec une révélation de taille : il n’est pas attaché culturel mais un agent d’une branche de la CIA !

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    Il nous avait étonné avec son JCVD, Mabrouk El Mechri signe cette fois Sans issue, un thriller au fort accent hispanique mais le résultat final est loin de combler nos espérances. S’il y a un certain plaisir à revoir Sigourney Weaver, son rôle est insipide tout comme la participation de Bruce Willis, reste alors Henry Cavill et sa belle gueule mais qui ne possède pas le charisme nécessaire pour porter sur ses épaules ce film d’action comme c’était déjà le cas avec Les immortels. Les scènes se succèdent sans conviction faisant au passage une petite visite guidée de Madrid mais devant un spectacle aussi soporifique, le spectateur sera plus tenté de trouver l’issue de secours de la salle !

     

    Il faut le voir pour : Lâcher votre portable quand vous êtes en famille ou sinon on s’en occupera pour vous !