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Norway of life

 

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Seul dans cet immense bus, notre pote d’enfance Andréas (Trond Fausa Aurvag) ne sait rien de sa destination et quand il pose le pied ce n’est guère plus réjouissant ! Débarqué dans un endroit totalement désert, il n’est accueilli que par une simple banderole lui souhaitant la bienvenue avant qu’un illustre inconnu le prenne en charge en le conduisant en ville. Dès lors, on lui confie un appartement et un travail sans plus d’explications et voilà comment Andréas devient comptable en un simple claquement de doigts. Petit à petit, il s’aperçoit que cette existence apparemment parfaite le prive en réalité de certains plaisirs qu’il aimerait bien retrouver. 

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Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas vu un tel ovni au cinéma et l’effet de surprise passé, Norway of life reste assez déconcertant du début jusqu’à la dernière minute. Le sujet en lui-même est déjà étonnant mais en plus de cela, la réalisation de Jens Lien dégage une certaine froideur illustrant de manière idéale le thème du film. Ainsi, la quasi-absence de dialogue démontre l’inexistence ou du moins la rigidité des relations entre les différents protagonistes. Quelques bonnes idées qui parviennent à faire oublier l’aspect un peu trop austère du film.

  

Il faut le voir pour : Redécouvrir les joies de la vie de tous les jours !

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