Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Happy Birthdead

1561975440.jpg

1657711.jpg-r_1920_1080-f_jpg-q_x-xxyxx.jpg

C’est une journée qui commence mal pour notre pote Tree (Jessica Rothe). Après une soirée plus qu’arrosée, elle s’est réveillée dans la chambre de Carter (Israel Broussard), un garçon qu’elle n’avait jamais vu auparavant. C’est avec une belle gueule de bois qu’elle entame ce Lundi 18 Février et il se trouve que c’est aussi son anniversaire ! En tout cas, c’est une journée qui restera gravée dans sa mémoire car le soir-même, elle trouvera la mort. L’histoire aurait pu s'arrêter là mais elle va se réveiller convaincue d’avoir fait un cauchemar. Les premiers doutes surgissent quand certains détails se reproduisent, une étrange impression de déjà-vu. Tree en aura la certitude quand elle meurt de nouveau et se réveille le matin du Lundi 18 Février dans la chambre de Carter !

10.jpg

Plutôt que de nous proposer un énième slasher, c’est bien aussi de faire preuve d’originalité. Happy birthdead joue ainsi la carte de la nouveauté en adoptant un scénario malin ; une héroïne qui ressuscite et revit la même journée. A partir de ce pitch, le film s’oriente clairement davantage vers la comédie que l’épouvante. Dommage que cette propension à mourir ne donne pas l’occasion à plus de dérision un peu à l’image de Scream à l’époque de sa sortie. Avec cette idée plutôt intéressante, le film de Christopher Landon (Oui c’est bien le fils de Charles Ingalls alias Michael Landon !) réussit à se distinguer sans pour autant nous offrir un grand divertissement. Jetez-y un œil quand vous aurez du temps libre par exemple au moment où vous ressusciterez !

Les commentaires sont fermés.