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La légende de Beowulf

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En des temps légendaires, au Danemark. Le roi Hrothgar (Anthony Hopkins) festoyait gaiement avec tous ses hommes, l’hydromel coulait à flot et la nourriture ne manquait pas lorsque la catastrophe est arrivée. Le monstre nommé Grendel (Crispin Glover) a fait irruption dans cette salle perturbé par le bruit incessant et tua tous ceux qui se sont mis en travers de son chemin jusqu’à ce qu’il se retrouve devant le roi. Sans que l’on sache pourquoi, il fut épargné mais cette menace doit être neutralisée et c’est pourquoi le monarque fit appel au guerrier Beowulf (Ray Winstone) dont les exploits traversent les frontières.

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La performance capture est un procédé d’animation qui permet de capter tous les faits et gestes, notamment les expressions du visage pour les modéliser en images numériques. Si vous avez déjà vu Le pôle express, vous savez de quoi je parle et c’est d’ailleurs le même réalisateur que l’on retrouve en la personne de Robert Zemeckis. A part cette particularité technique qui permet des plans uniques et donc des scènes d’action plus impressionnantes, La légende de Beowulf n’a pas vraiment de quoi nous laisser un grand souvenir. L’histoire puise dans la mythologie anglo-saxonne mais on s’en lasse rapidement tout comme des exploits technologiques qui ne justifient pas de payer 9 euros pour voir le film.

 

Il faut le voir pour : Toujours se mettre à poil pour combattre les monstres.

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