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28 semaines plus tard

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Ils avaient réussi à échapper au virus en se réfugiant dans cette petite ferme mais les infectés les ont retrouvé. Pris par la peur, notre pote Don (Robert Carlyle) a même du se résoudre à abandonner Alice (Catherine McCormick), sa femme au milieu de ces créatures. 28 semaines plus tard, la menace s’est éteinte et le dernier infecté a été neutralisé depuis quelques mois ; La Grande-Bretagne se reconstruit doucement. Après une période de quarantaine, les frontières ont été réouvertes et c’est l’occasion pour Don de revoir ses enfants qui étaient en Espagne durant cette catastrophe. Tout semble revenir dans l’ordre mais la menace est-elle vraiment éteinte ?

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Rythmé et diaboliquement efficace, ce nouvel opus confié au peu expérimenté Juan Carlos Fresnadillo possède des atouts non négligeables. On est subjugué par les scènes vives, la violence sans concessions loin des codes du genre entretenus à Hollywood et le personnage de Don génialement humain. Danny Boyle ne m’avait pas vraiment marqué avec le premier épisode, 28 semaines plus tard se révèle un tantinet plus sympa surtout parce qu’il révèle un réalisateur au potentiel intéressant. Il faudra le surveiller de près car il pourrait dans un proche avenir nous offrir de grands films.

 

Il faut le voir pour : Apprendre à dégommer des contaminés avec un hélicoptère.

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