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Eva Green

  • White bird

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    Alors que notre pote Kat Connors (Shailene Woodley) allait bientôt célébrer ses 18 ans, sa mère Eve (Eva Green) a soudainement disparu. Au début, elle pensait qu’il ne s’agissait que d’un malentendu et que son père Brock (Christopher Meloni) dramatisait la situation mais il a bien fallu qu’elle se rende à l’évidence. Dans le même temps, ce départ ne surprend pas vraiment Kat puisqu’entre ses parents s’était immiscé une certaine indifférence et ce couple avait finit par dépérir. Reste à savoir pourquoi Eve est réellement partie. Certains disent qu’elle avait un amant et qu’elle aurait tout quitté pour refaire sa vie ailleurs.

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    Notre pote Gregg Araki continue son petit bonhomme de chemin et se charge de l’adaptation sur grand écran du roman de Laura Kasischke. Le point de départ est donc la disparition mystérieuse de la mère incarnée par Eva Green et ses répercussions. S’en suit alors un manège incessant entre passé et présent où se dévoilent au compte-gouttes les indices conduisant à cette conclusion. L’intérêt de White bird réside dans la personnalité de l’héroïne, jeune femme loin d’être traumatisée par la disparition de sa mère jusqu’au jour où éclate la vérité. Si le dénouement réserve une petite surprise, c’est loin d’être suffisant pour emballer le spectateur et finalement on se retrouve avec un film assez insipide.

     

    Il faut le voir pour : Remplacer votre frigo !

  • Sin City : J'ai tué pour elle

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    Roarke (Powers Boothe) est un homme dangereux, tout Sin City n’est pas sans ignorer cela. C’est loin d’effrayer notre pote Johnny (Joseph Gordon-Levitt) qui a justement des comptes à régler avec lui d’autant plus qu’il partage un lien très particulier avec le sénateur. Alors lorsqu’il le défie au Poker et le ridiculise ; il peut s’attendre à ce que Roarke ne le laisse pas s’en tirer à si bon compte. De son coté, Dwight McCarthy  (Josh Brolin) s’est mis dans une drôle de situation après avoir retrouvé la belle mais vénéneuse Ava Lord (Eva Green). Seul, il n’ira pas bien loin c’est pourquoi il décide de faire appel à un poids lourd : Marv (Mickey Rourke) s’ennuyait ce soir et va pouvoir se défouler un peu.

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    Il aura donc fallu patienter 9 ans avant que la paire Rodriguez / Miller fasse à nouveau parler la poudre avec un épisode un peu décevant. Bon visuellement on retrouve l’esthétisme révolutionnaire avec les quelques couleurs qui se fondent dans cet univers noir et blanc qui font toujours leur effet. C’est au niveau des personnages que la magie de Sin City : J'ai tué pour elle opère moins avec des visages connus qui ne semblent être là que pour enrichir une distribution pléthorique (Hartigan / Gail). Les nouveaux venus ne se montrent pas tous très intéressants à l’image de Johnny ou Manute dont le potentiel ne sera jamais réellement exploité. Bon film mais après une telle attente on tendait déjà l’autre joue pour une nouvelle claque, il faudra se contenter d’une petite tape.

     

    Il faut le voir pour : Tenter votre chance aux machines à sous, ça a l’air facile !

     

    En savoir plus sur Sin city ?

  • The salvation

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    1871. Cela fait 7 ans que notre pote John (Mads Mikkelsen) et son frère Peter (Mikael Persbrandt) ont quitté le Danemark pour s’installer aux Etats-Unis où ils espèrent y trouver une vie meilleure. En quittant son pays, John a également laissé derrière lui sa femme Marie (Nanna Øland Fabricius) et leur fils Kresten (Toke Lars Bjarke) mais aujourd’hui l’heure des retrouvailles est arrivé. Le bonheur de cette famille réunie sera de courte durée puisque le trajet en diligence va se terminer de manière sanglante. Parmi les victimes se trouvait notamment le frère de Delarue (Jeffrey Dean Morgan) qui entend bien mettre la main sur l’homme responsable de cette exécution.

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    Voilà un western qui a de la gueule avec son casting hétéroclite où l’on retrouve Mads Mikkelsen, Jeffrey Dean Morgan, Eva Green et même notre cher Eric Cantona. Tout ce beau monde est réuni autour d’un scénario centré sur la vengeance et avec en toile de fonds les prémices de la Révolution industrielle à travers les découvertes des gisements de pétrole aux Etats-Unis. Le film de Kristian Levring se montre peu bavard à l’image du personnage de Madelaine, The salvation préfère en effet laisser les cliquetis des éperons ou les détonations des fusils faire leurs effets. A défaut de parvenir à nous surprendre, c’est efficace et on peut difficilement bouder son plaisir.

     

    Il faut le voir pour : Utiliser vos bottes pour planquer votre argent mais ne le dites à personne !

  • Sin city : j'ai tué pour elle

    Il y a 9 ans, Robert Rodriguez nous mettait une petite claque en adaptant l'oeuvre culte de Frank Miller et on aura bientot droit à la suite avec Sin city : j'ai tué pour elle dans lequel on retrouvera Mickey Rourke, Jessica Alba ou encore Bruce Willis sans oublier l'arrivée d'Eva Green qui a déjà fait parler d'elle aux Etats-Unis !

    Date de sortie : 17 Septembre 2014.


  • 300 : La naissance d’un empire

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    Guerrier  impitoyable et fin stratège, la réputation de notre pote Thémistocle (Sullivan Stapleton) s’est notamment construite après la splendide bataille qu’il a menée à Marathon. Darius (Yigal Naor), Roi des Perses fut alors abattu d’une flèche mais son fils allait reprendre sa succession poussé par la perfide Artémise (Eva Green) ; c’est ainsi que commence la légende du Dieu-Roi Xerxès (Rodrigo Santoro) ! C’est toute la Grèce qui est désormais menacée et Thémistocle va de nouveau se battre et tente de rallier à sa cause les Spartiates. Il apprend alors que Leonidas accompagné de 300 guerriers sont partis se battre aux Thermopyles et les athéniens seront donc livrés à eux-mêmes pour mener la Bataille de Salamine.

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    Le premier épisode n’était pas un trésor de subtilités, soyez rassurés ce nouvel épisode respecte la tradition. S’il est toujours présent à la Production et au scénario (toujours inspiré de l’œuvre de Frank Miller), Zack Snyder a délaissé la réalisation au profit du méconnu Noam Murro qui s’en tire parfaitement bien. Les scènes d’action débordent de violence, ce sont des hectolitres d’hémoglobine qui sont versées et puis on abuse du slow motion. 300 : La naissance d’un empire bénéficie aussi d’un scénario plutôt habile en s’inscrivant dans la continuité du précédent film. A noter aussi que pour une fois, les femmes ont leur mot à dire et Eva Green semble vraiment s’éclater dans le rôle d’Artémise. Bourrin à souhait et moins excessif en patriotisme, une belle récréation !

     

    Il faut le voir pour : Se faire un bon petit grec !

  • Dark Shadows

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    1972 à Collinsport dans le Maine. Notre pote Vicky Winters (Bella Heathcote) vient tout juste d’arriver, elle a été engagée par la famille Collins afin de devenir la nouvelle préceptrice du petit David (Gulliver McGrath). Si leur demeure apparait majestueuse, il manque clairement d’entretien mais il faut dire que la famille n’a plus son prestige d’antan. En voyant cela, certains pourraient se retourner dans leur tombe et c’est notamment le cas de Barnabas Collins (Johnny Depp), un vampire qui se retrouve libéré après 196 ans de sommeil. Sa malédiction il la doit à Angelique Bouchard (Eva Green), une sorcière qui n’a pas supporté d’être rejeté par l’homme qu’elle aimait et non seulement il va devoir apprendre à notre époque mais aussi aider ses descendants à redorer leur blason.

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    Une sorcière, un vampire et même un loup-garou ; notre pote Tim Burton ne risquait pas de se sentir dépaysé en adaptant la série homonyme des années 1960. Embarqué dans cette nouvelle aventure, il compte une fois encore sur Johnny Depp grimé en suceur de sang associé à une Eva Green plus femme fatale que jamais. Un cocktail fantastique et morbide assez alléchant au départ  mais l’intrigue fait vite du sur-place et certains personnages comme Elizabeth & Carolyn apparaissent clairement sous-exploités. A défaut de réussir à nous émerveiller, Dark Shadows parvient tout simplement à nous amuser pendant 1H50 mais ne fera pas date dans la filmographie de ce réalisateur à l’imaginaire fantasmagorique.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir la marque de Méphisto !

  • Perfect sense

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    Trouvera-t-elle un jour un homme qu’elle pourra sincèrement aimer ? C’est la sempiternelle question que se pose notre pote Susan (Eva Green). Cette épidémiologiste n’a pourtant pas à chercher bien loin car elle va faire la connaissance de Michael (Ewan McGregor) qui travaille au restaurant situé juste en bas de chez elle. Si un nouveau couple se forme, il y a actuellement un curieux phénomène qui frappe le monde entier ; certaines personnes perdent soudainement leur odorat. Jusqu’à présent on est incapable de trouver une explication à cela et ce mal ne va cesser d’évoluer car après l’odorat, ce sont le goût et ensuite l’ouïe des Hommes qui sont affectés.

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    Humez l’odeur du pop-corn, écoutez les conversations pas si discrètes de vos voisins et mangez du regard le duo Eva Green / Ewan McGregor ; Perfect sense a pour ambition de vous faire redécouvrir vos sens. Dans son postulat de départ, ce film de David MacKenzie pourrait bien vous rappeler le Blindness de Fernando Meirelles, mêmes effets et mêmes conséquences sur une humanité complètement déboussolée. On serait aussi tenté de dire qu’on retrouve une pincée de Contagion avec une paranoïa édulcorée par la romance de Susan & Michael. Un film qui sent donc un peu le réchauffé avec un thème déjà exploré malgré tout on se laisse entrainer dans ce scénario catastrophe et qui sait prémonitoire …

     

    Il faut le voir pour : Préparer votre stock de gras et de farine !

  • A la croisée des mondes : la boussole d’or

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    Il existe dans l’univers une infinité de mondes parallèlement à notre réalité. Dans celui de notre histoire, l’âme des hommes est détachée de son hôte et se voit personnifié par un animal qui l’accompagne dans chacun de ses déplacements. Au collège Jordan, on retrouve la jeune Lyra Belacqua (Dakota Blue Richards) ; une orpheline qui n’a pas connu ses parents et qui a soif d’aventures. Alors que son oncle Lord Asriel (Daniel Craig) est parti en expédition pour une mission de la plus haute importance ; elle est sollicitée par Marisa Coulter (Nicole Kidman) pour l’accompagner. Avant de partir, elle se voit confier une boussole d’or ; un instrument ancestral qui permet de lire la vérité et que seule Lyra pourra utiliser.

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    Depuis le succès que l’on connait à la saga Harry Potter, nos petites têtes blondes ont eu droit à bon nombre d’adaptations de romans de qualité parfois inégale. Ce film souffle entre le chaud et le froid ; l’histoire parait passionnante mais niveau réalisation on est un peu déçu par le manque d’action. Il n’empêche qu’A la croisée des mondes : la boussole d’or sort tout de même le grand jeu avec au casting Daniel Craig, Nicole Kidman ou encore Eva Green bien que ceux-ci soient relégués qu’à des rôles secondaires. Une bonne sortie pour les enfants mais ils ont tellement l’embarras du choix en cette période que vous pourrez très bien faire l’impasse sur celui-ci sans compter qu’on est un peu frustré par le dénouement.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de donner du whisky aux ours blancs.

  • Kingdom of heaven

     

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    1185, Balian (Orlando Bloom) est un forgeron dont la vie semble désormais vouée au désespoir. Un grand malheur vient en effet de le frapper puisque sa compagne de toujours vient de mettre fin à ses jours suite à la disparition de leur fils. Il reçoit la visite impromptue d’une troupe avec à sa tête un certain Godefroy d’Ibelin (Lliam Neeson) qui se révèle être son père et qui lui demande de le suivre pour en faire son héritier. Après quelques hésitations, ils partent vers Jérusalem, fief du roi Beaudoin IV (Edward Norton) mais leur route sera semée d’embûches et les choses ne se dérouleront donc pas comme ils l’avaient espéré.

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    Fresque historique mettant en scène le roi Beaudoin IV et son entourage face aux troupes de Saladin, Kingdom of Heaven est un film d’action comme on les aime. Le héros est incarné par Orlando Bloom que vous connaissez pour son interprétation du très classe Légolas dans la trilogie du Seigneur des anneaux mais qui manque ici de caractère. Il peine vraiment à s’imposer parmi la pléiade de personnages comme Guy de Lusignan ou Tiberias interprété par le génial Jeremy Irons sans oublier Edward Norton présent sans être visible. Ridley Scott nous gratifie donc d’un film plutôt musclé et assez violent au niveau des combats (cela pourrait vraiment choquer les plus sensibles d’entre vous) mais tout cela sert à renforcer le caractère spectaculaire de la chose.

     

    Découvre le film Dans la peau du héros ! 

  • Casino royale

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    C’est désormais officiel, l’agent secret britannique James Bond (Daniel Craig) a obtenu le statut 00. De nouvelles missions s’ouvrent à lui et le MI6 va d’ailleurs l’utiliser dans la lutte contre le terrorisme impliquant notamment Le Chiffre (Mads Mikkelsen), banquier privé qui jongle avec les millions. C’est dans une partie de Poker que nos 2 potes vont s’affronter et Bond a bien l’intention de mettre fin à ses agissements avec l’aide de la charmante Vesper Lynd (Eva Green).

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    L’agent 007 est de retour !! On nous avait promis du changement et des aventures plus explosives et vous en aurez pour votre argent avec 1 James Bond plus en forme que jamais. Si l’on retrouve bien certains éléments propres à l’espion, les grands fans regretteront certainement l’absence de gadgets qui faisaient sa réputation. Casino Royale c’est avant tout un bon film d’action avec un héros encore fragile et se laissant parfois emporter par contre pourquoi Caterina Murino est-elle si peu exploitée ? Un personnage aussi belle qu’anecdotique !