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  • Miraï, ma petite sœur

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    Alors qu’il s’amuse avec ses trains miniatures, le petit garçon qu’est Kun attend avec impatience le retour de ses parents. Lorsque ceux-ci passent le pas de la porte, ils ne sont pas seuls puisque la petite Miraï est née ! La vie de cette famille va être de nouveau chamboulée d’autant plus que le père, un architecte à l’imagination débordante a accepté de rester travailler à domicile pour que son épouse puisse reprendre une activité professionnelle. Pendant ce temps, Kun accepte mal l’idée d’avoir une petite sœur ; il se rend bien compte qu’il n’a plus l’attention de ses parents et fait tout pour l’attirer. Un jour, après s'être fâché contre eux, il fait une rencontre extraordinaire dans le jardin de sa maison. Un homme avec une queue de chien se présente à lui et il se trouve qu’il lui est très familier !

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    Après avoir confronté Le garçon et la bête, le réalisateur japonais Mamoru Hosoda est de retour avec un thème plus traditionnel - la famille - non sans nous réserver des surprises. Si l’histoire tourne autour du personnage de Kun et de sa relation avec cette nouvelle petite sœur, on a droit à différentes incursions vers le fantastique à travers des rencontres extraordinaires. A l’image de cette maison à l’architecture atypique, on peut parfois se sentir déstabilisé face à ces scènes qui nous font voyager à travers le temps et l’espace comme celle se déroulant à la gare. Autant Miraï, ma petite sœur brille par le réalisme de ses personnages autant cela s’évapore à cause de ce récit beaucoup trop morcelé d’où un petit sentiment de déception quand s’achève le film.



    Il faut le voir pour : Arrêter de traiter votre mère de Démon !

  • Mia et le lion blanc

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    Depuis qu’ils ont quitté l’Angleterre pour s’installer dans cette ferme animalière en Afrique du Sud, notre pote Mia (Daniah De Villiers) déprime. La jeune fille regrette en effet d’avoir quitté tous ses amis et ses parents Alice & John Owen (Mélanie Laurent & Langley Kirkwood) se rendent bien compte qu’elle traverse un moment difficile. Tout va changer lorsqu’un bébé lion entre dans la famille; Charlie va progressivement s’attacher à Mia et réciproquement. Les années passent, Mia semble désormais bien plus épanouie avec le lion blanc à ses côtés mais celui-ci grandit vite. Il n’est plus possible de le garder à l’intérieur de la maison et il faut garder à l’esprit qu’il reste un animal sauvage qui peut s’avérer extrêmement dangereux.

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    Derrière la simplicité de son titre associée à une bande-annonce assez convenue, je dois dire que je n’attendais rien de spécial de Mia et le lion blanc. La surprise ne fut que plus agréable de découvrir une histoire bien plus intéressante qu’il n’y paraissait d’autant que la relation entre Mia et Charlie est on ne peut plus authentique. Il faut en effet savoir que le tournage s’est étalé sur 3 ans et sur ce même laps de temps la jeune actrice Daniah De Villiers aura grandi aux côtés de ce lion. Ajoutez à cela que le réalisateur Gilles de Maistre donne aussi l’occasion de sensibiliser le public face aux fermes de lions et leurs pratiques révoltantes. Une belle découverte idéale pour une sortie en famille !



    Il faut le voir pour : Faire les magasins avec votre lion, il y aura moins de foule !

  • Le retour de Mary Poppins

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    Il s’en est passé du temps mais la maison qui se trouve au 17, allée des Cerisiers est toujours la propriété des Banks... peut-être plus pour très longtemps. En effet, notre pote Michael (Ben Whishaw) doit faire face à d’importantes dettes qu’il a bien du mal à rembourser malgré le soutien indéfectible de sa sœur Jane (Emily Mortimer). Le temps lui est compté d’autant plus que la banque désormais dirigée par William Weatherall Wilkins (Colin Firth) ne va pas lui faire de cadeaux. C’est ce moment précis que la famille voir revenir une vieille connaissance ; l’ancienne nounou Mary Poppins (Emily Blunt). Annabel, John & Georgie (Pixie Davis, Nathanael Saleh & Joel Dawnson), les enfants de Michael, vont découvrir un sacré personnage et vivre d’incroyables aventures !

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    C’est en 1964 que Mary Poppins est apparu au cinéma dans un film devenu depuis le temps un classique qui a émerveillé tous les enfants. Plus d’un demi-siècle plus tard, la nounou reprend donc du service avec bien sur un nouveau casting même si les nostalgiques pourront revoir avec plaisir certains visages bien familiers. Si le film de notre pote Rob Marshall n’est pas un remake, on pourrait le croire tant il est semblable à l’original au niveau de sa construction. Évidemment, il ne fallait pas que cela se voit trop ; on a donc remplacé le ramoneur par un allumeur de réverbères ou encore le célèbre Supercalifragilisticexpialidocious par le Luminomagifantastique et le tour est joué ! Si on peut lui reprocher l’absence totale de prises de risques, Le retour de Mary Poppins n’en reste pas moins une agréable comédie musicale bien que certains considèreront que Julie Andrews est irremplaçable.




    Il faut le voir pour : Oublier la douche et installer une baignoire dans votre salle de bain !

  • Aquaman

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    Il est né de l’union d’Atlanna (Nicole Kidman) et de Thomas Curry (Temuera Morrison) mais notre pote Arthur (Jason Momoa) aura grandi sans sa mère. Celle-ci n’est pas humaine, elle est Atlante et son peuple va venir réclamer son retour ; pour protéger l’homme qu’elle aime et son fils elle a accepté de les quitter. 33 ans plus tard, Mera (Amber Heard), Princesse de Xebel se présente devant celui que l’on surnomme désormais Aquaman, afin qu’il l’accompagne pour revendiquer le trône d’Atlantis. En effet, le royaume sous-marin est sur le point de tomber entre les mains d’Orm (Patrick Wilson) qui est aussi le demi-frère d’Arthur. Il a d’ailleurs déjà lancé une première offensive en rejetant de la mer tous les détritus abandonnés par les humains.

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    Il est sorti de l’eau pour aller prêter main forte à ses collègues de la Justice League et voilà qu’Aquaman se dévoile un peu plus dans son propre film. Muscles saillants, on retrouve notre pote Jason Momoa qui s’éclate à frapper tout ce qui bouge entre 2 bières. Même s’il permet au spectateur de voyager, le scénario n’en reste pas moins très basique ponctué ici et là de quelques notes d’humour qui tombent souvent à l’eau et donc dispensables. Mieux vaut aussi apprécier les effets spéciaux car vous allez vous y noyer jusqu’à cette bataille finale qui devient vite illisible. En dehors du passage en Sicile, cette adaptation n’a rien de vraiment mémorable et l’univers DC au cinéma n’en finit plus de décevoir

    Il faut le voir pour : Surveiller vos poissons dans l’aquarium !

  • Spider-Man : New Generation

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    Quelque chose semble avoir changé dans le corps (et non ce n’est pas la puberté !) de notre pote Miles Morales. Il a acquis de drôles de pouvoirs qui ne sont pas sans rappeler ceux du héros Spider-Man ! Tout comme lui, c’est une piqûre d’araignée qui est à l’origine de cela et c’est en voulant la retrouver qu’il tombe justement sur le tisseur en plein combat. Malheureusement, cela se termine sur une tragédie mais notre pote Miles va avoir une sacrée surprise en se retrouvant face à Peter Parker ! Ce dernier se cachant derrière le masque de Spider-man va pouvoir lui apprendre toutes les ficelles (oui on aurait pu dire les toiles) du métier. Les surprises ne s'arrêtent pas là pour que le jeune homme puisque Peter n’est pas le seul à avoir fait le voyage dans cette dimension...

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    Puisqu’ils ne pouvaient pas faire de film live du tisseur de Marvel, les studios Sony en ont fait un film d’animation ! Il faut le reconnaître, on ne l’attendait pas vraiment et c’est d’autant plus une grande surprise que de découvrir ce Spider-Man : New Generation. On retrouve le désormais familier Peter Parker même si c’est sa version alternative Miles Morales crée en 2011 dans Ultimate Spider-Man qui est la véritable vedette ici. On est aussi bien conquis par le graphisme que par le dynamisme qui s’en dégage avec l’apparition de ces onomatopées rappelant les comic books d’origine. On a aussi pensé aux fans de la première heure en glissant de nombreux clins d'œil que ce soit sur les précédents long-métrages ou la mythique série télévisée. C’est bien sur un Coup de cœur Ciné2909, pouvait-il en être autrement ?

     

     Il faut le voir pour : Tester le coup de l’épaule !

  • Astérix - Le secret de la potion magique

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    C’est une catastrophe, Panoramix s’est blessé alors qu’il cueillait du gui ! Rien de grave cependant il a une jambe immobilisée et cet incident lui a fait prendre conscience qu’il n’était pas éternel. Pour le bien du village, il faudrait qu’il puisse ainsi transmettre le secret de sa fameuse potion magique et veut donc trouver son successeur mais c’est un choix à ne pas prendre à la légère car la formule pourrait tomber entre de mauvaises mains. En parlant justement de ça, Sulfurix a été informé de cette succession et lui qui fut autrefois chassé du conseil des druides a une idée derrière la tête. Pendant ce temps, Astérix & Obélix vont accompagner Panoramix dans ses recherches et un invité inattendu va se joindre à eux.

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    Astérix - Le domaine des Dieux avait acté l’arrivée d’Alexandre Astier dans l’univers des irréductibles gaulois, une formule qui a fait ses preuves et reprise ici. Les images de synthèse font toujours autant de merveilles, les romains continuent de se faire martyriser et tout cela avec une bonne dose d’humour qui séduira les enfants de tout âge. Astérix - Le secret de la potion magique s’offre même le luxe de nous proposer un scénario original donnant encore un peu plus d'intérêt à ces aventures ! A noter enfin un petit changement pour nos oreilles puisque Roger Carel cède sa place de doubleur d’Astérix à Christian Clavier qui avait incarné le héros dans les premières versions live.


    Il faut le voir pour : Apprendre qu’on ne peut pas s’improviser Druide, même quand on est poissonnier !

     

    En savoir plus sur Astérix - Le domaine des Dieux ?