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Dante 01

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Au fin fonds de l’espace se dresse cet immense bâtiment, un centre de détention où sont retenus des criminels souffrant de pathologie mentale. Non loin de là, une planète hostile appelée Dante mais également connue pour être l’antichambre de l’enfer. Le docteur Elisa (Linh Dan Pham) vient d’arriver sur ce vaisseau en compagnie d’un nouveau patient bien étrange que l’on a surnommé Saint-Georges (Lambert Wilson). Elle est venue dans un seul but, expérimenter son nouveau programme à base de nanotechnologie et pour cela ; les prisonniers se révèlent être de merveilleux cobayes. On découvre que Saint-Georges n’est vraiment pas un homme ordinaire.

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Première réalisation pour Marc Caro, un nom qui ne vous dit surement pourtant, ce jeune homme a collaboré avec Jean-Pierre Jeunet sur des œuvres comme Delicatessen & La cité des enfants perdus. S’engouffrant dans le domaine de la science-fiction où le cinéma français peine à trouver sa place ; Dante 01 nous propulse et nous largue dans l’espace avec une histoire complexe où Saint-Georges serait nul autre que le messie. Sur quelques passages, la réalisation se permet une certaine folie mais dans l’ensemble ; il faut dire qu’il n’y a rien de vraiment révolutionnaire sur la forme. Le film peine à nous accrocher malgré des gueules du cinéma comme Dominique Pinon, François Levantal ou encore les beaux yeux de Linh Dan Pham.

 

Il faut le voir pour : Croire encore à la mode Barthez.

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