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  • Iron Man 2

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    6 mois ont passé depuis que le milliardaire Tony Stark (Robert Downey Jr.) a révélé au monde entier qu'il était Iron Man. Depuis cet évènement, l'armure attire de nombreuses convoitises et notamment celle de l'armée américaine qui voudrait en faire sa puissance de feu. Tony n'a évidemment pas l'intention de laisser une telle technologie entre de mauvaises mains arguant qu'il est le seul à posséder un tel pouvoir contribuant à maintenir le monde en paix. Seulement quand un mystérieux personnage du nom de Ivan Vanko (Mickey Rourke) prouve devant le monde entier ébahi tout le contraire, c'est la catastrophe.

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    Enorme succès au box-office, il n'est pas surprenant de voir débarquer Iron Man 2 qui s'inscrit dans la continuité de son prédécesseur. Même équipe en dehors de Terrence Howard remplacé par Don Cheadle et arrivée remarquée de Scarlett Johansson & Mickey Rourke pour un épisode très réussi. Favreau ne se contente pas d'un déluge d'effets spéciaux mais tisse une très bonne histoire en puisant dans la mythologie du héros de Marvel. Quelques fausses notes toutefois dans le jeu (le gardien de prison de Monaco, affreux !), une Black widow qui se fait trop discrète et un Justin Hammer un peu trop excentrique mais ça n'empêchera pas tête de fer d'avoir le Coup de cœur Ciné2909. Enfin une dernière chose pour les fans, restez après le générique de fin, un autre héros arrive sur le grand écran.

     

    Il faut le voir pour : Avoir la réponse à une question essentielle ; comment Iron Man fait-il pour aller aux toilettes ?

     

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  • The invention of lying

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    Le mensonge, voilà un terme que nous connaissons parfaitement dans notre société moderne mais dans l'histoire qui va suivre, cette notion n'existe pas. Effectivement, notre pote Mark (Ricky Gervais) vit dans un monde où les gens ne disent que la vérité ce qui est parfois blessant. Notre héros en fait d'ailleurs les frais chaque jour, il vient d'être traité de gros au nez difforme par la charmante Jennifer (Jennifer Garner) et apprend qu'il va bientôt être renvoyé. Le pire c'est qu'il n'a même plus d'argent pour payer son loyer jusqu'au moment où il parvient à faire une chose inouïe : dire des choses qui ne sont pas vraies !

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    Une très bonne idée de départ qui rappellera un peu le principe de Yes Man mais au bout d'une demi-heure le film se perd un peu. Entendre la pure vérité permet ainsi d'assister à des scènes vraiment marrantes mais vient un temps où cela ne parait plus aussi spontané et naturel qu'au début. Sans vous mentir, The invention of lying est une bonne surprise et sans être la comédie de l'année mérite le coup d'œil histoire de se détendre et puis ça nous amène à nous questionner sur une chose ; pourrait-on réellement vivre sans le mensonge ?

     

    Il faut le voir pour : Revendre votre maison, un manoir vous attend !

  • Mammuth

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    L'heure de la retraite a enfin sonné pour Serge (Gérard Depardieu) après 10 ans passés à dans une usine d'équarrissage de cochon. Après une grande fête d'adieu et un cadeau inoubliable, il doit cependant se pencher sur un autre problème : sa pension retraite. Serge a bourlingué et fait de nombreux boulots et pour obtenir une pension maximum, on lui demande de fournir des justificatifs sur ses précédents emplois. Poussé par sa femme, il n'a d'autres choix que de sortir du garage sa vieille moto, une Munch Mammuth et partir sur les routes retrouver ses anciens employeurs. Une virée qui va réveiller chez lui un douloureux souvenir.

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    Le duo Benoit Délépine / Gustave Kervern est de retour mais cette fois avec un géant du cinéma français puisque c'est Gérard Depardieu himself qui devient leur héros. L'esprit du Groland plane toujours et cela donne des scènes parfois insensées paradoxalement, Mammuth est certainement le film le plus abordable pour le grand public. Quel plaisir également de retrouver l'immense Depardieu dans un de ses plus meilleurs rôles, on se marre du début jusqu'à la fin -à condition d'apprécier l'humour si particulier du duo Délépine / Kervern- et vous auriez tort de vous priver de cette excellente comédie !

     

    Il faut le voir pour : Que les voleurs de téléphone portable fassent bien attention... enfin si on les retrouve !

  • Kick-Ass

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    A première vue Dave Lizewski (Aaron Johnson) a tout d'un adolescent américain ordinaire ; il cherche désespérément le succès auprès des filles et se goinfre de comics. C'est au cours d'une discussion banale avec ses 2 potes d'enfance qu'il a une idée fulgurante : devenir un super-héros ! Ne vous y trompez pas, Dave n'a aucun pouvoir et n'a pour ainsi dire rien d'un héros mais lorsqu'il enfile son costume, il se sent devenir quelqu'un d'autre. Sa première intervention aurait pu lui être fatale - il se fait méchamment poignardé puis renversé par une voiture- mais cela n'a en rien entaché son sens de la justice et il officiera sous le nom de Kick-Ass !

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    Encore une adaptation de comics s'exclameront certains d'entre vous pourtant Kick-Ass échappe aux circuits habituels. Œuvre indépendante que l'on doit à la collaboration de Mark Millar & John Romita Jr., la bataille pour l'adaptation au cinéma fut éprouvante mais le buzz sur Internet a eu son effet. Hommage à la culture comics, le réalisateur a fait du bon boulot et joue la carte du fun sans édulcorer certaines scènes assez violentes. Pas la grosse claque promise mais un très bon film qui se voit décerner le Coup de cœur Ciné2909 et celui-là vous ne l'avez pas vu venir, hein !

     

    Il faut le voir pour : Demander à votre fille si elle ne préfère avoir comme cadeaux des couteaux plutôt que des poupées.


    Découvrez le film Dans la peau du héros !


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  • Camping 2

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    En plein milieu de l'été et alors qu'ils étaient sur le point de partir en vacances, Jean-Pierre (Richard Anconina) tombe de haut. Sa compagne Valérie (Marilyne Canto) a décidé de mettre un frein à leur relation, une énorme déception qu'il va tenter d'oublier en emmenant sa fille dans un camping, le Camping des flots bleus. Il suffira ensuite d'un simple coup de fil pour qu'il fasse la connaissance de Patrick Chirac (Franck Dubosc) et de toute sa bande et dès lors ils ne se quitteront plus ! Jean-Pierre confie naïvement ses problèmes de couple à Patrick ce qui deviendra vite un secret de polichinelle mais ça marque aussi le début d'une grande amitié.

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    Le cinéma de Fabien Onteniente est loin de plaire à tout le monde et je fais parti de ceux qui apprécient ses films divertissants et surtout qu'on revoit avec grand plaisir. Après un joli succès, l'équipe de Camping est donc de retour au grand complet si ce n'est que Richard Anconina s'est substitué à Gérard Lanvin. Pas beaucoup de surprises malheureusement avec Camping 2 mais si on ne boude pas son plaisir de replanter sa tente aux flots bleus. Ceux qui avaient aimé le premier épisode ne seront pas dépaysés, pour les autres c'est un bon moyen de se détendre un peu en attendant les grandes vacances.


    Il faut le voir pour : Stopper votre abonnement chez Meetic et refaire la carrosserie de votre voiture


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  • La comtesse

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    Dès son plus jeune âge, la comtesse Elizabeth Bathory (Julie Delpy) a connu la rigueur que lui imposait son illustre rang. Son influence est d'autant plus grande après la disparition de son mari et elle se permet même une liaison avec le jeune Istvan Thurzo (Daniel Brühl) ; une relation qui fait énormément parler dans leur entourage. D'ailleurs le père d'Istvan, Gyorgy (William Hurt) fait tout pour mettre à mal leur amour et réussit en faisant croire à Elizabeth que son jeune amant s'est déjà lassé d'elle. Bouleversée, la souveraine se replie sur elle-même et dans sa quête de la jeunesse éternelle va commettre des atrocités inimaginables.

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    A première vue, rien ne semble distinguer La comtesse des nombreux autres biopics historiques qu'on nous a déjà servis et contre toute attente, Julie Delpy surprend de manière fort agréable. Le film donne d'emblée le ton avec ses 5 premières minutes qui aurait pu faire le sujet d'un film entier pour certains cinéastes. Surtout le plus intéressant reste ce personnage égocentrique et omnipotent qu'est Elizabeth Bathory, on est loin des figures attachantes qui nous sont habituellement présentées. Bref, on adore la détester ! Un film passionnant et mené de main de maitre par Julie Delpy.

     

    Il faut le voir pour : Trouver la solution miracle pour effacer vos rides !

  • Le chasseur de primes

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    Obsédée par son métier de journaliste, Nicole Hurley (Jennifer Aniston) perd parfois le sens des priorités. Cela lui a d'ailleurs déjà couté son mariage avec Milo (Gérard Butler), une séparation qui a été particulièrement douloureuse aussi bien pour l'un que pour l'autre. Depuis le divorce, Milo s'est fait viré de la police et s'est lancé dans le métier atypique de chasseur de primes. C'est alors qu'il a l'agréable surprise de découvrir que son ex-femme est actuellement recherchée pour ne pas s'être rendu à son procès. Au vu de leurs relations passées, Milo va se faire un plaisir de l'arrêter mais il ignore qu'elle est impliquée dans une grave affaire de meurtre.

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    Dans la vie des acteurs, il y a des films qu'ils acceptent de tourner seulement pour rester à flot évitant ainsi de tomber dans le précipice de l'anonymat. Le chasseur de primes est tout à fait ce genre de films, une bouée pour les carrières en dents de scie de Jennifer Aniston & Gérard Butler. On touche donc le fond avec cette comédie peu inspirée qui montre vite ses limites et ce n'est pas l'enquête superficielle qui va venir sauver les meubles. Un film à voir uniquement si vous êtes dans l'état d'esprit de faire une bonne œuvre pour les pauvres personnes qui se sont impliquées au sein de ce navet.


    Il faut le voir pour : Se renseigner pour savoir si vos ex ne seraient pas recherchées par hasard ...

  • Adèle Blanc-sec

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    Partie en expédition pour l'Égypte, Adèle Blanc-Sec (Louise Bourgoin) a trouvé ce qu'elle recherchait : la momie d'un ancien médecin. En effet, elle a l'intention de le faire revivre afin qu'il puisse guérir Agathe (Laure de Clermont-Tonnerre), sœur d'Adèle inanimée depuis un dramatique accident. Alors qu'elle est de retour à Paris, les journaux font leurs choux gras sur un évènement insensé : un ptérodactyle règne sur la capitale ! Pour l'heure, Adèle ne pense qu'à une chose ; trouver le professeur Espérandieu (Jacky Nercessian) car lui seul est capable de réanimer la momie mais tout ne va pas se passer aussi facilement que l'espérait notre héroïne.

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    Adaptation de la célèbre bande-dessinée de Tardi, Luc Besson quitte pour un temps le monde des Minimoys pour signer un film comme lui seul sait les faire. Ceci, n'étant pas forcément un compliment ! A vouloir faire d'Adèle Blanc-sec un film grand public, le réalisateur use et abuse de la niaiserie caractéristique de son cinéma rendant parfois le film réellement insupportable. On évitera de s'attarder sur des personnages secondaires caricaturés au possible (malgré le talent des maquilleurs pour transformer Gilles Lellouche & Mathieu Almaric). Le ponpon revenant à cette momie réincarnée frisant le ridicule et puis cette fin ouverte qui annonce forcément un 2nd volet ; une chose est sure, Besson sait rentabiliser ses projets.

     

    Il faut le voir pour : Porter un casque la prochaine fois que vous allez jouer au tennis.

  • My own love song

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    Jane (Renée Zellwegger) était autrefois chanteuse mais depuis son accident de la route il y a 7 ans, sa vie a été totalement brisée. Non seulement elle a perdu l'homme qu'elle aimait et avec qui elle avait donné naissance à Devon (Chandler Frantz) mais elle a également perdu l'usage de ses jambes. C'est à cette même époque qu'elle a fait la connaissance de Joey (Forest Whitaker) qui a vécu lui aussi un drame familial qui lui a fait perdre l'esprit. Dans l'incapacité d'élever son fils, sa garde a été confiée à une nouvelle famille et les seules nouvelles qu'elle a de lui se résument à des lettres. Joey apprend que Devon a invité sa mère à sa communion et il décide ainsi de l'y conduire sans lui révéler son intention.

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    Attendu au tournant après le plébiscite de La môme, Olivier Dahan surprend avec ce road-movie parfois très étrange. My own love song s'attarde sur des personnages blessés par la vie avec tout d'abord une femme handicapée qui semble avoir abandonnée toute raison de vivre et un illuminé qui voit des anges. Si la prestation de Renée Zellwegger reste convaincante voire émouvante, celle de Whitaker laisse plus perplexe nous laissant parfois une amère impression de surenchère. C'est donc l'ennui qui prime sur l'émotion et la rencontre sur leur route de personnages tout aussi décalés n'arrange pas l'affaire pour ce film qui se fera vite oublier.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir comment s'enfuir d'un restaurant sans payer l'addition avec discrétion ... enfin presque !

  • Ajami

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    Le quartier d'Ajami en Israël est en état de choc. Un adolescent de 15 ans est mort, victime innocente tombé sous des coups de feu. En fait la cible était Omar (Shakir Kabaha), jeune homme dont le seul tort est d'avoir un oncle qui a provoqué un clan qui rackettait les commerces pour offrir leur protection. Pour obtenir la paix, Omar et sa famille n'ont pas d'autres choix que de demander un accord à l'amiable moyennant une forte somme d'argent. Il ne leur reste plus désormais qu'à réunir l'argent et pour cela Omar fait tout son possible mais il est encore loin du compte et vient à envisager de vendre de la drogue.

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    Dès ses premières minutes, Ajami se révèle d'une grande intensité mais ce n'est que lorsque la première histoire se termine que l'on se rend véritablement compte qu'il s'agit là d'un film choral. D'autres récits viennent donc se greffer à la trame principale présentant de nouveaux personnages mais qui auront eux aussi un rôle d'importance. Le film nous met face au pénible quotidien des israéliens pris entre la corruption, les clivages religieux ou encore les tensions avec la frontière palestinienne. Accrocheur du début à la fin, voilà une excellente découverte pour les amateurs de cinéma !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre qu'une pomme peut se révéler très utile en soirée !