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jacky nercessian

  • Au nom du fils

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    Chrétienne jusqu’au bout des doigts, notre pote Elisabeth (Astrid Whettnall) ne s’attend pas à la difficile épreuve que le Seigneur lui a réservé. Cette animatrice chez Radio Espoir Chrétien vient en effet de perdre son mari à la suite de ce qui semble être un accident de chasse. Le plus dur est encore à venir puisque son fils Jean-Charles (Zacharie Chasseriaud) âgé de seulement 13 ans va lui avouer qu’il est amoureux et pas de n’importe qui, du vicaire Achille (Achille Ridolfi) que sa famille avait accueilli sous leur toit pendant plusieurs mois. Le plus terrible c’est qu’à la suite de cet aveu, l’adolescent s’est suicidé en laissant derrière lui une mère meurtrie mais qui entend bien faire éclater la vérité sur cette histoire.

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    Pour les fervents catholiques, la pilule risque de ne pas passer avec ce film belge bien barré de Vincent Lannoo (à qui l’on doit déjà le déjà décalé Vampires) où la mère de famille qu’est Astrid Whettnall, jusqu’alors plutôt discrète, va se muer en ange vengeresse. Le scénario d’Au nom du fils ne fais pas dans la nuance, on y évoque la pédophilie au sein de l’Eglise catholique comme si cela était une évidence et on découvre aussi des unités commandos prêts à dégommer des talibans. Second degré obligatoire donc pour entrer dans le délire de cette comédie très spéciale pas assez rythmé et qui met malheureusement trop de temps pour lancer la machine. Amusant mais sans plus.

     

    Il faut le voir pour : Jésus, c’est un super gars !

  • Adèle Blanc-sec

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    Partie en expédition pour l'Égypte, Adèle Blanc-Sec (Louise Bourgoin) a trouvé ce qu'elle recherchait : la momie d'un ancien médecin. En effet, elle a l'intention de le faire revivre afin qu'il puisse guérir Agathe (Laure de Clermont-Tonnerre), sœur d'Adèle inanimée depuis un dramatique accident. Alors qu'elle est de retour à Paris, les journaux font leurs choux gras sur un évènement insensé : un ptérodactyle règne sur la capitale ! Pour l'heure, Adèle ne pense qu'à une chose ; trouver le professeur Espérandieu (Jacky Nercessian) car lui seul est capable de réanimer la momie mais tout ne va pas se passer aussi facilement que l'espérait notre héroïne.

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    Adaptation de la célèbre bande-dessinée de Tardi, Luc Besson quitte pour un temps le monde des Minimoys pour signer un film comme lui seul sait les faire. Ceci, n'étant pas forcément un compliment ! A vouloir faire d'Adèle Blanc-sec un film grand public, le réalisateur use et abuse de la niaiserie caractéristique de son cinéma rendant parfois le film réellement insupportable. On évitera de s'attarder sur des personnages secondaires caricaturés au possible (malgré le talent des maquilleurs pour transformer Gilles Lellouche & Mathieu Almaric). Le ponpon revenant à cette momie réincarnée frisant le ridicule et puis cette fin ouverte qui annonce forcément un 2nd volet ; une chose est sure, Besson sait rentabiliser ses projets.

     

    Il faut le voir pour : Porter un casque la prochaine fois que vous allez jouer au tennis.