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richard anconina

  • Stars 80

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    Potes d’enfance, Vincent & Antoine (Richard Anconina & Patrick Timsit) travaillent aussi ensemble mais les nombreuses affaires qu’ils ont monté n’ont jamais rencontré un grand succès. Une situation qui est loin de satisfaire leur banquier qui les somme de régler leurs dettes et c’est là que Vincent a une idée lumineuse : organiser une tournée avec les stars des années 1980. Hier soir encore, ils réécoutaient non sans plaisir les vieux 45 tours avec des tubes comme Femme libérée, Voyage voyage ou encore Banana split qui n’ont pas pris une ride alors pourquoi le public ne serait-il pas au rendez-vous ? Le duo a du mal à convaincre mais ne se décourage pas pour autant et va aller solliciter directement la participation de ces anciennes vedettes.

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    Stars 80 séduira avant tout une certaine génération de spectateurs. Celles et ceux qui ont connu ces nombreux artistes prendront grand plaisir à réécouter les nombreux hits qui ont abreuvé le Top 50 et qui composent cette comédie écrasée par son concept. S’inspirant de l’histoire vraie des producteurs Hugues Gentelet & Olivier Kaefer, on est tenté de croire également que le film arrive un peu tard. Il suffit aujourd’hui d’allumer sa télévision pour trouver une émission sur cette période dorée, une vague nostalgique dont on est abreuvée en permanence et dans laquelle on n’a pas forcément envie de s’y replonger dans les salles obscures. Ajouté à ça un semblant de scénario qui ne fait pas illusion très longtemps et un jeu très grossier, le seul plaisir reste donc de revoir les idoles de notre jeunesse mais on se sent vieux après ça !

     

    Il faut le voir pour : Constater que Sabrina est restée en forme(s) !

  • La vérité si je mens 3

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    Les affaires au Sentier ne sont plus ce qu’elles étaient et c’est pourquoi on retrouve désormais Eddie (Richard Anconina) et tous ses potes d’enfance à Aubervilliers où ils ont monté leur business. Là aussi, rien n’est facile car la communauté asiatique semble avoir la main mise mais les méthodes utilisées sont-elles réellement justes ? C’est la question qui se pose lorsqu’ils reçoivent coup sur coup une livraison de fausses montres suivi de la visite des inspecteurs de douane. Etrange coïncidence tout comme ce contrôle fiscal qui attend Patrick (Gilbert Melki) qui va devoir changer ses habitudes mais un mal pour un bien puisque sans s’y attendre, il va rencontrer le grand amour !

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    Yallah !! On ne l’attendait plus vraiment mais ça fait quand même bien plaisir de retrouver cette belle bande de potes, avec il faut le noter le retour de Vincent Elbaz dans le rôle de Dov, qui nous a tant fait rire. Difficile de trouver une véritable légitimité à La vérité si je mens 3 dont le scénario rappelle un peu trop celui de l’épisode précédent et des rôles féminins toujours aussi transparents. Le voyage de la joyeuse troupe en Chine aurait pu donner de beaux moments de comédie mais à peine a-t-on droit à un repas pas piqué des vers qui nous laisse clairement sur notre faim. Ce sont surtout les retrouvailles avec des personnages qu’on adore qui vous motivera (peut-être) à vous rendre dans les salles obscures.

     

    Il faut le voir pour : Se procurer une amulette marocaine !


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  • La vérité si je mens 2

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    Rien ne va plus dans le Sentier et notre pote Eddy (Richard Anconina) l’a compris à ses dépens et maintenant il souhaite développer son business auprès de la grande distribution. C’est en compagnie d’Yvan (Bruno Solo) qu’il est allé prospecter auprès de M. Vierhouten (Daniel Prévost), Directeur des achats de la chaine Euro Discount mais ce qu’il croyait être une belle opportunité va s’avérer être une belle arnaque. Pendant ce temps, Serge (José Garcia) a rencontré le grand amour en la personne de Chochona Boutboul (Elisa Tovati) mais pour la séduire, il a un peu enjolivé la vérité avec l’aide involontaire de son cousin Patrick (Gilbert Melki).

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    Avec le succès qu’a rencontré le premier épisode, il était presque naturel de voir apparaitre un second épisode et la bonne nouvelle c’est qu’on retrouve presque toute l’équipe. Presque oui car Vincent Elbaz laisse sa place à Gad Elmaleh en dehors de ça la bande potes est au complet et la vérité, la bonne humeur est toujours au rendez-vous ! Bon l’effet de surprise n’est plus là mais pour compenser on a droit à un Serge Benamou déchainé et qui éclipserait presque ses petits camarades. La vérité si je mens 2 est une comédie digne de son prédécesseur, le seul reproche c’est que les personnages féminins finissent par faire de la simple figuration.



    La scène à ne pas louper : Le passage sous le tunnel !


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  • La vérité si je mens

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    Edouard Vuibert (Richard Anconina) est sur le point de se faire expulser. Au chômage, il ne lui reste que 200 francs pour vivre et n’a aucune solution à l’horizon. Alors qu’il voulait se refaire à un jeu de hasard, il atterrit dans la cour de Victor Benzakem (Richard Bohringer), un des grands patrons du sentier. Sur un malentendu, celui-ci pense qu’Edouard est juif et par solidarité lui offre un travail dans sa fabrique de tissu. Avec le temps, notre pote apprend les ficelles du métier et se crée de nombreuses relations qui vont lui permettre de lancer sa propre affaire ce qui risque de ne pas plaire à Victor. Une décision qui ne sera pas sans conséquence puisqu’en plus de cela il est tombé sous le charme de Sandra (Amira Casar), la fille de son ancien patron.

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    Succès surprise au box-office, La vérité si je mens est entré dans l’histoire du cinéma français grâce notamment à l’esprit de franche camaraderie qui régnait. Ancré dans la culture juive et communautaire du quartier populaire du sentier, Thomas Gilou a su constituer une vraie famille rassemblant tout de même Richard Anconina, Richard Bohringer, Vincent Elbaz, Bruno Solo, José Garcia et le regretté Elie Kakou. Généreux et drôle, on pourrait reprocher à cette comédie de tirer un peu trop sur les ficelles aisées de la caricature mais ça n’en reste pas moins un excellent film malgré le poids des années et qu’on a toujours plaisir à revoir.

     

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  • Camping 2

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    En plein milieu de l'été et alors qu'ils étaient sur le point de partir en vacances, Jean-Pierre (Richard Anconina) tombe de haut. Sa compagne Valérie (Marilyne Canto) a décidé de mettre un frein à leur relation, une énorme déception qu'il va tenter d'oublier en emmenant sa fille dans un camping, le Camping des flots bleus. Il suffira ensuite d'un simple coup de fil pour qu'il fasse la connaissance de Patrick Chirac (Franck Dubosc) et de toute sa bande et dès lors ils ne se quitteront plus ! Jean-Pierre confie naïvement ses problèmes de couple à Patrick ce qui deviendra vite un secret de polichinelle mais ça marque aussi le début d'une grande amitié.

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    Le cinéma de Fabien Onteniente est loin de plaire à tout le monde et je fais parti de ceux qui apprécient ses films divertissants et surtout qu'on revoit avec grand plaisir. Après un joli succès, l'équipe de Camping est donc de retour au grand complet si ce n'est que Richard Anconina s'est substitué à Gérard Lanvin. Pas beaucoup de surprises malheureusement avec Camping 2 mais si on ne boude pas son plaisir de replanter sa tente aux flots bleus. Ceux qui avaient aimé le premier épisode ne seront pas dépaysés, pour les autres c'est un bon moyen de se détendre un peu en attendant les grandes vacances.


    Il faut le voir pour : Stopper votre abonnement chez Meetic et refaire la carrosserie de votre voiture


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  • Dans les cordes

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    Ce soir, c’est le rendez-vous à ne pas manquer pour nos 2 potes d’enfance Angie & Sandra (Louise Szpindel & Stéphanie Sokolinski), espoirs de la boxe française. Hélas, au terme de la soirée, la joie est modérée car si Sandra a bien remporté un titre de championne de France dans la catégorie Plume ; Angie a fait un non-match pour le plus grand désespoir de son père et entraineur Joseph (Richard Anconina). Dans un contexte familial des plus tendus, Angie va toutefois trouver les ressources nécessaires pour remonter sur le ring et obtenir sa revanche.

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    La boxe n’est pas un sport qui me passionne à la base, alors un film sur ce sport n’avait que peu de chances de me séduire ! Si Dans les cordes n’a pas réussi le tour de force de me faire apprécier les joies du ring, il faut néanmoins saluer les atouts de ce film à commencer par des comédiens vrais. Un réalisme évident puisque la réalisatrice Magaly Richard-Serano fut double championne de France de Boxe française. Les amateurs de crochets et d’uppercut apprécieront mais les autres risquent de trouver ça un peu monotone mais de là à dire que ça manque de punch… (fallait bien que je la place !)

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de croire que les femmes savent pas se battre.