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  • Grimsby - Agent trop spécial

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    Bien que 28 ans se soient écoulés, notre pote Nobby (Sacha Baron Cohen) n'a jamais perdu l'espoir de retrouver son frère et cette détermination est aujourd'hui récompensée ! C'est à Londres que vont avoir lieu ces émouvantes retrouvailles mais il ne s'attendait certainement pas à ce que Sebastian (Mark Strong) soit membre du prestigieux M.I. 6. L'agent des services secrets britanniques est injustement accusé d'un meurtre et va devoir se faire discret ; les 2 frères décident ainsi de se planquer à Grimsby, le quartier de leur enfance. Le seul souci c'est que leur cachette est rapidement repéré car il faut dire que Nobby a organisé une jolie fête en l'honneur de son frère.

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    On le sait notre pote Sacha Baron Cohen maitrise l'art du déguisement et il incarne cette fois un supporter de foot, buveur de bières bedonnant (pour certains ceci est un pléonasme) se découvrant un frère espion. S'il s'agit avant tout d'une comédie, Grimsby - Agent trop spécial dévoile aussi quelques scènes d'action drôlement efficaces que l'on doit à la présence du réalisateur français Louis Leterrier. Pour ce qui est de se marrer, on n'est pas en reste avec un humour bien trash qui ne nous épargne rien et surtout pas au pauvre Mark Strong. Si l'irrévérence et l'absurde ne vous font pas peur et que vous avez juste envie de vous marrer alors cette comédie fera amplement l'affaire.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre que vous pouvez utiliser un éléphant pour vous cacher !

  • Kingsman : Services Secrets

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    Après avoir "emprunté" une voiture et tenter d'échapper aux flics, notre pote Eggsy (Taron Egerton) s'est logiquement retrouvé au poste de police. Il se retrouve ainsi dans une sacrée galère et va s'en sortir grâce au numéro inscrit sur le médaillon qu'il porte. Il y a 17 ans, un homme s'est présenté pour annoncer la disparition de son père et lui avait confié ce médaillé avec la promesse de lui offrir un service quel qu'il soit. Aujourd'hui, Eggsy est libre grâce à l'intervention d'Harry Hart (Colin Firth) alias Galahad mais le jeune homme va aussi apprendre les véritables circonstances de la mort de son père. C'est ainsi qu'il découvre les services secrets de Kingsman et Harry voit en lui un incroyable potentiel qui pourrait lui permettre de devenir le prochain Lancelot.

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    Matthew Vaughn aime les comics puisqu'après Kick-Ass et X-Men : Le commencement ; voilà qu'il s'embarque dans l'adaptation de l’œuvre de Mark Millar & Dave Gibbons. De l'action, de l'espionnage, des éclats de violence tout cela enrobé d'une bonne dose de fun ; voilà ce que vous réserve Kingsman : Services Secrets ! Si dans la première partie, on s'amusera surtout avec un Colin Firth tiré à quatre épingles ou le zozotement de Samuel L. Jackson et son look improbable vient ensuite la scène de l'église qui a toutes les chances de marquer et pour longtemps les mémoires. Rien que pour ça, c'est un Coup de cœur Ciné2909 et qu'on se le dise Quentin Tarantino a maintenant un vrai concurrent de poids !

     

    Il faut le voir pour : Remplacer votre vieux parapluie !

  • Imitation game

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    Alors que la Grande-Bretagne vient d’entrer en guerre contre l’Allemagne, notre pote Alan Turing (Benedict Cumberbatch) intègre les services secrets de Sa majesté. Génie des mathématiques en provenance de Cambridge, ses talents vont être mis à profit afin de venir à bout d’Enigma, un programme de cryptage allemand sophistiqué. C’est un projet qui réunit d’autres éminents chercheurs mais Alan n’est pas vraiment adepte du travail d’équipe. Pourtant, il va prendre la direction de ce groupe et contre l’avis de tous va se lancer dans la conception d’une machine ambitieuse qui devrait permettre d’interpréter les messages codés d’Enigma.

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    Il est fort probable que le nom d’Alan Turing ne vous dise rien et Imitation game est là pour combler cette lacune. Cet homme aura non seulement joué un rôle primordial durant la Seconde Guerre Mondiale mais aura également eu une influence considérable dans notre quotidien en créant l’ancêtre de l’ordinateur ! On pourrait dire tellement de ce film ; saluer la réalisation ingénieuse de Morten Tyldum, louer une fois encore l’acteur Benedict Cumberbatch qui s’impose dans n’importe quel rôle ou encore dire qu’on se passionne pour le destin tragique de cet homme. Parce qu’il faut que le monde se souvienne d’Alan Turing, voilà un incontestable Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Faire davantage de mots croisés !

  • Avant d’aller dormir

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    C’est une sensation étrange qui parcourt le corps de notre pote Christine Lucas (Nicole Kidman). A son réveil, elle ne reconnait rien et pour cause à la suite d’un grave accident, cette femme de 40 ans perd la mémoire chaque matin. Pensant toujours vivre ses 20 ans, elle est ramenée sur terre par son mari Ben (Colin Firth) qui doit chaque jour lui expliquer ce qui lui est arrivé. Une situation difficile qui devient un peu plus complexe lorsque Christine reçoit un coup de fil du Dr Nash (Mark Strong) qui l’aide à travailler sur sa mémoire. Pour cela, elle utilise un appareil photo qui lui sert à enregistrer des vidéos où elle va découvrir que Ben n’est peut être pas le compagnon qu’elle pensait être.

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    Adaptation de l’œuvre de l’écrivaine S.J. Watson (et pour une fois j’ai lu le livre), Avant d’aller dormir bénéficie d’une intrigue plutôt forte. Une femme se retrouve avec la mémoire qui flanche et redécouvre donc sa vie ou du moins ce qu’on veut bien lui faire croire. Le film fonctionne sur son trio de personnages et c’est là l’une des faiblesses du film de Rowan Joffe qui ne prend pas le temps nécessaire pour les installer au cœur de l’histoire. Et puis il faut bien dire que Nicole Kidman se montre difficilement convaincante avec son visage figé qui ne réussit plus qu’à faire couler des larmes de son visage. Vous risquez de dormir plus vite que prévu !

     

    Il faut le voir pour : Penser à sauvegarder vos souvenirs, on ne sait jamais.

  • John Carter

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    C’est une aventure qui commence en 1868, notre pote John Carter (Taylor Kitsch) tente d’échapper à la cavalerie américaine qui souhaiterait l’enrôler de gré ou de force. Dans sa fuite et sous la menace des indiens, il trouve refuge dans une grotte où est renfermé un mystérieux signe inscrit dans la roche. Un homme vêtu de manière étrange apparait soudainement et dans la confusion, John  perd conscience. A son réveil, il est au milieu d’un désert mais le plus surprenant c’est qu’au départ il n’arrive même pas à faire un pas sans tomber. Il l’ignore encore pour le moment mais il a atterri sur une autre planète appelée Barsoom que nous humains connaissons sous le nom de Mars.

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    Né de l’imagination du romancier Edgard Rice Burroughs (connu aussi comme le papa de Tarzan), le personnage de John Carter pourrait bien devenir le héros d’une nouvelle saga cinématographique. Expédié sur la planète rouge, c’est l’occasion pour le spectateur de découvrir de drôles de créatures, des monstres gigantesques et 2-3 engins volants. Il est toujours amusant de découvrir un nouvel univers malheureusement ici on en fait rapidement le tour. Les héros n’arrivent pas non plus à nous emballer, Taylor Kitsch manque de charisme tandis que Lynn Collins essaie de faire concurrence à la Princesse Leïa dans Le retour du Jedi. Si techniquement le film a les moyens de ses ambitions, il n’offre pas du tout le spectacle divertissant qu’on était en droit d’attendre.

     

    Il faut le voir pour : Vous entrainer au saut en hauteur.

  • La taupe

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    Le Circus. Siège des services de renseignements britanniques dirigés par Control (John Hurt). Une information capitale est parvenue à ses oreilles, il existerait une taupe parmi eux et il confie à Jim Prideaux (Mark Strong) le soin de se rendre à Budapest pour obtenir ce précieux renseignement. L’opération tourne au fiasco et l’agent Prideaux est froidement abattu. Un an plus tard, le gouvernement britannique reçoit un coup de fil d’un certain Ricky Tarr (Tom Hardy) qui relance la rumeur de la taupe. On fait alors appel à George Smiley (Gary Oldman), ancien membre du Circus et proche de Control afin de tirer toute cette histoire au clair et découvrir l’identité du traitre qui sommeille dans leurs rangs.

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    C’est l’un des rares films que j’ai été amené à revoir dans la foulée ! Non pas que j’ai été emballé mais tout simplement parce que j’avais été totalement largué lors de la première séance au point d’être incapable de vous résumer l’histoire. Il est ainsi impératif au spectateur de rester très attentif devant La taupe pour ne serait-ce que comprendre la trame scénaristique car un simple mot ou un nom évoqué suffit pour vous entrainer en un autre lieu ou  à une autre époque. La mise en scène de Tomas Alfredson, le papa de Morse, semble au premier abord amorphe mais j’avoue que ce n’est qu’à la seconde vision que j’ai pu entrevoir toutes les subtilités de la réalisation et apprécier comme il se doit les prestations d’un casting impressionnant. Une 3ème séance ne serait peut-être pas inutile !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre qu’il n’est pas si facile de déterrer une taupe !

  • L’irlandais

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    Il est flic mais surtout il est irlandais ! C’est vrai que notre pote Gerry Boyle (Brendan Gleeson) est un homme plutôt atypique et quand une affaire de meurtres surgit dans un petit village non loin de Galway, il se dit que les ennuis ne font que commencer. Déjà, on lui colle dans les pattes un collègue Aidan MCBride (Rory Keenan) dont il se passerait volontiers et puis quelques temps après ce n’est rien moins que Wendell Everett (Don Cheadle), agent du FBI qui fait son apparition. Celui-ci est en effet à la recherche de Clive Cornell (Mark Strong) et de ses sbires impliqués dans une grosse affaire de drogues estimées à 500 millions d’euros (oui, un demi-milliard !). Qu’ils le veuillent ou non, Gerry & Wendell vont devoir s’entraider pour résoudre leurs affaires respectives dont ils découvrent un lien intéressant.

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    C’est vrai que c’est un duo qu’on aurait eu du mal à imaginer ; un irlandais pure souche au verbe aiguisé et au parler franc avec un agent américain plutôt habitué aux courbettes. L’irlandais réserve ainsi quelques bons moments soulevant quelques sourires et d’ailleurs il semble impératif de le voir en Version Originale où même là vous risquez de passer à coté de quelques références. Il n’est ici pas question de retrouver un duo à la Rush Hour, Gleeson accapare l’attention avec son personnage bourru mais cette comédie a tout de même du mal à trouver son rythme de croisière. Ce sont les spectateurs à la recherche d’un peu de fraicheur qui sauront se contenter d’un film loin de pouvoir s’imposer mais dans l’ensemble plutôt sympathique.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre que les saisies de drogues sont toujours surévalués.

  • Or noir

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    Les vastes étendues d’Arabie ont longtemps été source de conflits et c’est cette même raison qui a opposé Nessib (Antonio Banderas), sultan d’Hobeika & Amar (Mark Strong), souverain de Salmaah. Ce dernier a du se résoudre à reconnaitre sa défaite et il a payé un lourd tribut en confiant ses 2 fils Saleeh & Auda (Akin Gazi & Tahar Rahim) à son ennemi. Cet accord passé il y a 15 ans stipulait également que les terres de ce qu’on appelle le Corridor jaune resteraient libres. Aujourd’hui, les choses ont changé car Nessib a reçu la visite d’une compagnie pétrolière américaine qui lui révèle toutes les richesses qui se cachent dans les sols et plus spécialement au cœur du corridor. Alors que l’opulence envahit Hobeika, son sultan craint la réaction des arabes conservateurs et va alors utiliser Auda à ses fins.

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    Jean-Jacques Annaud avait laissé d’assez mauvais souvenirs aux spectateurs avec son dernier film ; Sa majesté Minor aussi son retour était plutôt attendu de pied ferme. Or noir nous fait voyager en Arabie, à une époque où le pétrole n’avait pas encore imposé sa loi. Il est bien difficile de ne pas être époustouflé devant le cadre magnifique de l’histoire ; les paysages et les décors sont somptueux au point que le film est plutôt contemplatif (parfois même trop) dans un premier temps. Ça s’améliore par la suite avec 2 excellentes scènes que sont le combat avec les blindés et l’assaut final par la suite les talents conjugués de Tahar Rahim, Mark Strong & Antonio Banderas font le reste, dommage que Freida Pinto joue les potiches.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus jamais sous-estimer un bibliothécaire !

  • Green lantern

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    Hal Jordan (Ryan Reynolds) est devenu pilote d’avion tout comme son père en dépit du fait que ce dernier ait disparu lors d’un terrible accident. Au plus profond du jeune homme se cache donc une peur qu’il n’arrive pas à surmonter et pourtant il va falloir qu’il apprenne à combattre ses démons car un drôle de destin l’attend. Lorsque l’extraterrestre Abin Sur (Temuera Morrison) échoue sur Terre dans un état critique, celui-ci doit transmettre ses pouvoirs matérialisés dans un anneau vert et c’est ainsi qu’Hal Jordan fut choisi pour devenir le nouveau Green Lantern du secteur 2412. Afin d’apprendre à maitriser ses nouvelles capacités, il va se rendre sur la planète Oa où il découvrira que l’univers est sous la surveillance du Green lantern corps couvrant plus de 3600 secteurs.

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    Ce n’est certainement pas le héros de l’univers DC Comics qui m’est le plus familier en tout cas ce qui est sur ce que ce n’était pas l’adaptation ciné la plus simple qui soit. Après nous avoir fait assister aux premiers pas de l’espion de sa majesté, Martin Campbell se met donc au vert et nous laisse avec un sentiment très mitigé. D’un coté, on peut se satisfaire des scènes d’action noyée dans de (trop ?) nombreux effets spéciaux mais de l’autre coté dès lors que Reynolds quitte son costume de super héros, Green lantern devient vite insipide avec notamment des personnages secondaires insignifiants. Difficile donc de se montrer satisfait avec ce film, si suite il doit y avoir puisqu’il semble que l’on s’y prépare, il va falloir se retrousser les manches pour nous offrir quelque chose de plus brillant.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus avoir honte de porter une bague verte.

  • L’aigle de la 9ème légion

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    Devenu Centurion, notre pote Marcus Aquila (Channing Tatum) a eu l’opportunité de choisir l’armée romaine dont il voulait prendre le commandement. C’est ainsi que sa décision l’a mené en Bretagne, un choix murement réfléchi puisque c’est dans cette région que son père, 20 ans auparavant, aurait perdu 5 000 hommes et l’Aigle d’or, précieux symbole de Rome. Le courage et la vaillance de Marcus ne tarde pas à éclater aux yeux de ses soldats malheureusement lors d’une bataille épique, il est gravement blessé et vit désormais auprès de son Oncle (Donald Sutherland). C’est là qu’il entend parler de rumeurs prétendant que l’Aigle aurait été aperçu au-delà du mur d’Hadrien. Avec l’aide de son esclave Escla (Jamie Bell), le Centurion part pour récupérer l’objet pour rendre l’honneur à son père.

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    Attention, on serait tenté de croire qu’avec L’aigle de la 9ème légion on allait assister à un de ces péplums de la veine d’un 300 ou Le choc des Titans mais on est bien loin du compte. Les 20 premières minutes et quelques petites scènes par la suite mis à part, le film de Kevin Macdonald ne joue pas la carte du spectaculaire mais propose plutôt une profonde introspection du personnage de Marcus. Avec cette quasi-absence d’action, l’ombre de l’ennui plane donc au dessus des spectateurs malgré les belles prestations de Channing Tatum et notamment de Jamie Bell. On adhère difficilement à l’histoire de cette quête personnelle et on ne peut alors que constater les longueurs de ce film.

     

    Il faut le voir pour : Lever votre pouce pour sauver une vie !