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Ciné2909 - Page 172

  • La revanche d’une blonde

    cinéma, film, comédie, la revanche d'une blonde, Reese Witherspoon, Luke Wilson, Selma Blair, Matthew Davis, Victor Garber, Raquel Welch, Ali Larter, Jennifer Coolidge, Robert Luketic

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    Si on s’arrête aux apparences, on pourrait facilement croire qu’Elle Woods (Reese Whiterspoon) n’est qu’une jeune femme superficielle mais ce serait faire une grande erreur ! Déterminée à récupérer son petit-ami Warner (Matthew Davis), elle travaille d’arrache-pied pour réussir le test du LSAT et pouvoir ainsi intégrer la prestigieuse école de droit d’Harvard. Cet objectif atteint, elle pensait que Warner retomberait dans ses bras mais il se trouve qu’entre-temps il s’est fiancé avec Vivian (Selma Blair). Le monde s’écroule pour notre pauvre pote Elle d’autant plus qu’elle est sujet à moqueries depuis son arrivée mais une blonde ne s’avoue jamais vaincue, surtout une Delta Nu !

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    Les blagues et les clichés ne manquent pas quand il s’agit d’évoquer les blondes et Reese Whiterspoon vient donc défendre ses couleurs à travers cette comédie dont l’humour déteint vite. Elle Woods est le personnage solaire par excellence ; elle a tout l’attirail de la belle sans cervelle mais se révèle pleine de surprises pour son entourage. Comment séduire par la technique lu plié / levé ou encore embellir son CV avec du papier rose et une petite senteur de lilas, voici un aperçu de ce qui vous attend. Si l’humour artificiel et le scénario très convenu ne vous dérangent pas alors éventuellement vous trouverez en La revanche d’une blonde un léger divertissement.

  • Woody Allen : a documentary

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    C’est dans les rues de Brooklyn qu’a grandit notre pote Allen Stewart Königsberg celui que le monde entier apprendra à connaitre sous le nom de Woody Allen ! Alors que ses camarades de classe s’engagent dans des carrières de médecin ou d’avocat, lui va construire sa réputation en écrivant des blagues. Il débute ainsi par être publié et très vite son potentiel comique séduit et le propulse sur le devant de la scène où ses premiers pas sont hésitants mais sa carrière est lancée. Après avoir participé à l’écriture du film Quoi de neuf, Pussycat ?, il devient ensuite réalisateur et en 1969 sort son tout premier long-métrage : Prends l’oseille et tire-toi.  40 ans plus tard, Woody Allen continue de séduire les spectateurs comme en témoigne le succès rencontré par son dernier film Minuit à Paris.

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    Que l’on connaisse ou non le réalisateur, Woody Allen : a documentary est justement là pour nous présenter une incroyable carrière jalonnée de succès mais aussi de déroutes. Biographie tout ce qu’il y a de plus chronologique, c’est l’occasion également de revoir quelques extraits de ses plus grands films de quoi vous donner envie de (re-)découvrir les œuvres comme Bananas, Manhattan ou Annie Hall. Un hommage qui se complète avec tous les artistes qui ont eu l’opportunité de travailler avec lui et qui ne manquent pas de louanges à son égard sans oublier les muses que sont Diane Keaton ou Mia Farrow. Un documentaire qui traine parfois en longueur mais incontournable pour les fans et instructif pour ceux qui connaissent peu ou pas l’homme et sa riche filmographie.

     

    Il faut le voir pour : Ressortir votre vieille machine à écrire, elle peut encore servir !

  • Almanya

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    Notre pote Hüseyin (Fahri Ogün Yardim / Vedat Erincin) faisait partie de la vague d’immigrés turcs qui sont arrivés en Allemagne qui à l’époque manquait de main d’œuvre. Une arrivée qui n’est pas passée inaperçue puisqu’il est le un millionième immigré à poser le pied dans le pays ! Cela fait déjà 45 ans qu’il s’est installé avec toute sa famille et ce jour est à marquer d’une pierre blanche puisqu’il a obtenu ainsi que sa femme Fatma (Demet Gül / Lilay Huser) la nationalité allemande. Il profite du repas familial pour annoncer une autre grande nouvelle : il a acheté une maison en Turquie qui aurait bien besoin de quelques travaux et ça tombe bien puisqu’il invite tout le monde pour les prochaines vacances.

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    Almanya, c’est le portrait d’une famille turque issue de la vague d’immigration de la seconde moitié du XXème siècle qui a décidé de s’installer en Allemagne. A travers les yeux du petit Cenk, on découvre avec beaucoup d’humour l’histoire de son grand-père, un homme qui a quitté temporairement femme et enfants pour trouver du travail. Un récit qui est entrecoupé par le retour aux sources de cette même famille qui évite à la comédie de trop s’installer dans la monotonie. On peut toutefois reprocher au film une certaine facilité à utiliser les clichés du choc culturel ou encore de survoler des thèmes plus sérieux ; il n’en reste pas moins qu’on passe vraiment du bon temps en compagnie de cette attachante famille. Une belle surprise que je salue par un Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Penser à racheter du coca pour la maison !

  • Peace, Love et plus si affinités

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    C’est signé et désormais officiel, nos potes Linda & George (Jennifer Aniston & Paul Rudd) sont maintenant propriétaires d’un studio à West Village, New-York. Un bonheur qui sera pourtant de courte durée puisque la société de George est sous le coup d’une saisie judiciaire et qu’il se retrouve du jour au lendemain sans job. N’ayant pas plus les moyens financiers de payer leur loyer, ils n’ont d’autres choix que d’aller vivre à Atlanta, chez Rick (Ken Marino), le beau-frère de Linda. Le trajet s’éternise et le couple décide de s’octroyer une petite pause en Géorgie, c’est ainsi qu’ils découvrent l’Elysium. Il s’agit d’une communauté d’hippies - eux préfèrent le terme de congrégation intentionnelle - avec un mode de vie complètement différent.

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    Ils s’étaient croisés le temps de quelques épisodes sur le plateau de la série Friends, Jennifer Aniston & Paul Rudd se retrouvent aujourd’hui pour une comédie qui ne vole pas bien haut. L’Elysium est un lieu où chacun peut trouver sa place et où aucune porte ne vous sera fermée, de quoi provoquer quelques situations cocasses et vous arracher les sourires. On s’amuse aussi devant l’audace de certaines scènes notamment celles impliquant Wayne, le nudiste viticulteur  ce qui a probablement taper dans l’œil de Judd Apatow ici producteur. S’il y a de bonnes idées parsemées comme le couple Marisa / Rick ou encore l’apparition en guest de Ray Liotta ; Peace, Love et plus si affinités manque de rythme et d’humour si bien qu’on s’en lasse vite !

     

    Il faut le voir pour : Enlever la porte de vos toilettes, il y a des moments qu’il faut apprendre à partager !

  • Prometheus

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    2093. Le vaisseau spatial Prometheus voyage depuis plus de 2 ans maintenant et l’heure du réveil a sonné pour les 17 membres de l’équipage. Parmi eux, se trouvent Elizabeth Shaw & Charlie Holloway (Noomi Rapace & Logan Marshall-Green), 2 archéologues à l’initiative de cette expédition extraordinaire financée par la corporation Weyland. Leurs recherches ont en effet permis de découvrir la planète LV-223, semblable à la Terre située dans un lointain système solaire et où se trouveraient ceux qu’ils appellent les Ingénieurs autrement dit nos créateurs ! Evidemment, certains se montrent bien sceptiques face à cette théorie farfelue mais ils vont bien devoir se rendre à l’évidence que l’Humanité vient de trouver la trace de ses origines.

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    Il aura fallu 33 ans pour que notre pote Ridley Scott fasse enfin ses retrouvailles avec Alien enfin pas tout à fait. Tout le monde a évoqué ce prequel, ce serait pourtant une erreur de le considérer comme tel car cela s’accompagnerait sans aucun doute de son lot de déceptions. Prometheus distille des indices pour mieux relancer les rumeurs et nourrir s’il le fallait encore le mythe de la saga qui est tout juste évoquée avec un xénomorphe que vous ne verrez pas de sitôt. Visuellement, on ne peut qu’être conquis par l’univers splendide du film renforcé par des effets spéciaux pas loin de la perfection. Nul doute qu’il s’agit là d’un futur classique de la science-fiction qui, encore une fois, apparait davantage comme une porte ouverte pour une nouvelle saga que comme un véritable prologue à Alien.

     

    Il faut le voir pour : Assister à une césarienne expresse !


    En savoir plus sur Alien, le huitième passager ?

    En savoir plus sur Aliens, le retour ?

    En savoir plus sur Alien 3 ?

    En savoir plus sur Alien, la résurrection ?

    En savoir plus sur AVP : Alien Vs Predator ?

    En savoir plus sur Alien Vs Predator Requiem ?

  • Alien, la résurrection

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    Même dans la mort, le Lieutenant Ellen Ripley (Sigourney Weaver) ne parvient pas à trouver le repos ! 200 ans après avoir péri sur Fiorina 161, une équipe de scientifiques de l’USM Auriga est enfin parvenu un clone parfait avec un objectif bien particulier : récupérer la reine alien qui sommeillait dans son corps. Au même moment, le vaisseau spatial Betty est à l’approche; à son bord 7 mercenaires venu dans un but bien précis mais ils ignorent qu’ils viennent de pénétrer en enfer ! Les scientifiques ont déjà donné naissance à 12 aliens et pensaient avoir les capacités de les contenir mais c’est mal les connaitre, ils parviennent à s’échapper. Ripley va devoir reprendre les armes mais depuis qu’elle a enfanté la reine elle n’est plus la même ; elle a en effet développé de drôles d’aptitudes.

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    Sans chauvinisme aucun, on peut déjà être fier que Jean-Pierre Jeunet se soit vu proposer de participer à l’aventure Alien. Succédant à des réalisateurs prestigieux, il devait tout de même avoir une certaine pression sur les épaules mais relève de belle manière le défi hollywoodien. Plus forte que la mort, Sigourney Weaver est plus présente que jamais et plutôt 8 fois qu’une ! On redécouvre le personnage qui apparait plus détaché conséquence de son évolution inattendue qui va même redéfinir la créature légendaire. Un épisode qui remet l’action au centre des débats avec notamment une belle scène sous-marine, il n’y a que cette humanisation de l’alien qui peut nous laisser un peu perplexe autrement Alien, la résurrection tient ses promesses.

     

    La scène à ne pas louper : La découverte des clones de Ripley.


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    En savoir plus sur Alien 3 ?

    En savoir plus sur AVP : Alien Vs Predator ?

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  • AVP : Alien Vs Predator

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    Le 03 Octobre 2004, un satellite a capté un signal d’énergie en provenance d’une ile de l’Antarctique qui va permettre la découverte d’une pyramide située dans les profondeurs. Cela a éveillé la curiosité de Charles Bishop Weyland (Lance Henriksen) qui décide de constituer une équipe d’experts menée par Alexa Woods (Sanaa Lathan). A leur arrivée, ils se rendent compte qu’un passage a déjà été creusé et décident de s’y engouffrer non sans une certaine méfiance et ils font bien d’être prudents ! Leur expédition vont en effet les mener jusqu’à une impressionnante créature qui s’avère être une reine Alien et comme si cela ne suffisait pas ils vont voir débarquer des Predators, des chasseurs venus se dégourdir un peu les jambes !

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    C’est la réunion de 2 monstres sacrés du cinéma fantastique, un crossover qui devait combler les fans de la première heure et nous offrir une confrontation explosive … enfin ça c’est ce qu’on espérait ! La réalisation de Paul W.S. Anderson a malheureusement pour nous les allures d’un film de série B et ça fait un peu mal au cœur quand on apprécie Alien et/ou Predator. Avec son scénario peu inspiré qui n’est qu’un vil prétexte pour nous introduire la bataille tant attendue et des personnages sans aucun relief, il n’y a rien à préserver de ce vrai désastre. AVP : Alien Vs Predator était donc alléchant sur le papier mais les réunir c’est une chose, nous offrir un vrai divertissement en est une autre.

     

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  • Les sorties du 30 Mai

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    Tous les regards seront portés vers Prometheus, le dernier film de Ridley Scott qu’on attend tous de pied ferme et pour cause il est en lien direct avec son chef d’œuvre Alien ! 33 ans après nous avoir fait crier dans l’espace, le réalisateur remet ça avec un casting alléchant mené par Charlize Theron, Noomi Rapace & Michael Fassbender.

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  • Cosmopolis

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    Alors que toute la ville de Manhattan est paralysée dans le cadre de la prochaine visite du Président des Etats-Unis, notre pote Eric Packer (Robert Pattinson) ressent le besoin d’une nouvelle coupe de cheveux. Ce riche trader s’installe alors dans sa luxueuse limousine où il a le loisir de recevoir toutes sortes de visites aussi bien professionnelles que d’ordre plus privé. Sur le chemin et tout autour de lui, on assiste à la décomposition d’une société ; les manifestations se multiplient dans les rues et des rats devenus le symbole de ce mécontentement sont exhibés. Eric n’a toutefois pas à s’inquiéter puisqu’il est entouré d’un service de sécurité efficace mené par Torval (Kevin Durand) mais c’est une journée où tout peut arriver.

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    La majorité des spectateurs ne verront pas plus loin qu’une simple masturbation intellectuelle délaissant l’esthétisme de la réalisation de David Cronenberg. Pamphlet à l’encontre du capitalisme qui gangrène notre société, on est censé assister à la déliquescence de notre monde mais tout ce qui ressort ce ne sont que de longues conversations. Cosmopolis est un film constitué à 95 % de dialogues ciselés et il est difficile pour ceux qui, comme moi, ne connaissent pas le livre d’apprécier ou simplement de supporter cela. Il est certainement préférable de lire ce célèbre roman de Don DeLillo avant d’attaquer cette adaptation cinématographique autrement on n’y verra qu’un ovni inaccessible.

     

    Il faut le voir pour : Prendre rendez-vous chez le coiffeur.

  • Sur la route

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    Après la mort de son père, notre pote Sal Paradise (Sam Riley) a vécu une longue traversée du désert et c’est une rencontre qui va le remettre en selle. Par l’intermédiaire de son pote d’enfance Carlo (Tom Sturridge), il va en effet être présenté à Dean (Garrett Hedlund) et de sa petite-amie Marylou (Kristen Stewart) et dès lors une belle & solide amitié va naitre. Commence alors des années de voyage pour Sal, une période qui va s’avérer inoubliable pour cet écrivain New-yorkais et qui va inspirer son plus célèbre roman. A partir des nombreuses notes qu’il a recueillies dans son petit carnet, il rédigera ainsi en quelques semaines un livre retraçant ses déplacements et surtout ses plus belles rencontres.

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    Romancier et pilier du mouvement littéraire nommé Beat génération, Jack Kerouac sortait en 1957 On the road, œuvre adaptée aujourd’hui sur le grand écran par Walter Salles. Préalablement à cette publication, il avait effectué un long périple et c’est exactement cette période de sa vie qui nous est présenté dans Sur la route. Embarqué sur les routes américaines de New-York à Denver en passant par la Californie, on est les témoins de la vie plus que dissolue menée par un sympathique duo Riley / Hedlund accompagné d’une Kristen Stewart autrement plus intéressante quand elle est loin de Twilight. Un road-trip qui sort un peu des sentiers battus mais on a malheureusement l’impression de refaire la même route à chaque fois, trop de longueurs donc pour nous enthousiasmer.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à baisser le cout de la vie !