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alice braga

  • Elysium

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    2154. La Terre est devenue inhabitable en raison notamment de la surpopulation et de la pollution qui ont transformé la planète en décharge à ciel ouvert. Les plus fortunés se sont réfugiés à Elysium, un véritable paradis se situant dans l’espace qui fait rêver beaucoup de monde comme notre pote Max Da Costa (Maxwell Perry Cotton / Matt Damon). Il s’était promis d’y aller un jour mais doit se rendre à l’évidence ; le billet pour s’y rendre est inabordable et ce n’est pas son modeste travail chez Armadyne qui va lui permettre de rejoindre Elysium. Pourtant, il n’a désormais plus le choix ; après un accident il se retrouve mortellement irradié et n’a plus que 5 jours à vivre à moins d’atteindre Elysium afin de se faire soigner dans une Med-box.

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    Il nous avait agréablement surpris en 2009 avec District 9, Neil Blomkamp fait enfin son come-back et n’a pas l’air d’avoir une vision très optimiste de notre avenir. Après avoir cloitré les aliens dans les bidonvilles d’Afrique du Sud, c’est maintenant toute la Terre qui devient un dépotoir avec en toile de fond une éternelle lutte des classes. Un scénario qui, au final, n’apporte rien par rapport à ce qui s’est déjà fait mais Elysium se rattrape heureusement par sa réalisation dynamique et son riche univers. Au vu des moyens accordés cette fois au réalisateur, il faut bien se rendre à l’évidence qu’on s’attendait à quelque chose de grandiose et qu’au final on ressort de la salle plutôt frustré. Bon film de Science-fiction certes mais en deçà des attentes malgré Matt Damon & Sharlto Cooper au top.

     

    Il faut le voir pour : Penser à retirer votre T-shirt avant de vous faire poser un exosquelette parce que pour le laver après ça va être coton !

  • Sur la route

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    Après la mort de son père, notre pote Sal Paradise (Sam Riley) a vécu une longue traversée du désert et c’est une rencontre qui va le remettre en selle. Par l’intermédiaire de son pote d’enfance Carlo (Tom Sturridge), il va en effet être présenté à Dean (Garrett Hedlund) et de sa petite-amie Marylou (Kristen Stewart) et dès lors une belle & solide amitié va naitre. Commence alors des années de voyage pour Sal, une période qui va s’avérer inoubliable pour cet écrivain New-yorkais et qui va inspirer son plus célèbre roman. A partir des nombreuses notes qu’il a recueillies dans son petit carnet, il rédigera ainsi en quelques semaines un livre retraçant ses déplacements et surtout ses plus belles rencontres.

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    Romancier et pilier du mouvement littéraire nommé Beat génération, Jack Kerouac sortait en 1957 On the road, œuvre adaptée aujourd’hui sur le grand écran par Walter Salles. Préalablement à cette publication, il avait effectué un long périple et c’est exactement cette période de sa vie qui nous est présenté dans Sur la route. Embarqué sur les routes américaines de New-York à Denver en passant par la Californie, on est les témoins de la vie plus que dissolue menée par un sympathique duo Riley / Hedlund accompagné d’une Kristen Stewart autrement plus intéressante quand elle est loin de Twilight. Un road-trip qui sort un peu des sentiers battus mais on a malheureusement l’impression de refaire la même route à chaque fois, trop de longueurs donc pour nous enthousiasmer.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à baisser le cout de la vie !

  • Le rite

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    La tradition familiale veut que l’on devienne soit croque-mort soit prêtre et notre pote Michael Novak (Colin O'Donoghue) a fait son choix ! Il a vu assez de cadavres dans sa vie et s’oriente donc vers l’Eglise mais à l’aube d’être nommé prêtre, il décide de se retirer prétextant un manque de conviction en sa foi. Le Père Matthew (Toby Jones) l’envoie alors à Rome en Italie afin qu’il se penche plus particulièrement aux enseignements du Vatican sur l’exorcisme. Loin d’être convaincu, il va alors trouver le Père Lucas Trevant (Anthony Hopkins) connu pour les nombreuses séances d’exorcisme qu’il a pratiqué.

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    Depuis le désormais classique L’exorciste de William Friedkin, beaucoup d’autres réalisateurs se sont essayés sur le sujet avec des résultats de diverses fortunes. Le rite s’appuie sur un livre et surtout des faits réels et s’apparente même à un biopic du prêtre Gary Thomas (inspirant le personnage de Michael) qui exerce actuellement aux États-Unis. Voilà la seule chose intéressante puisqu’en ce qui concerne ce film, car on reste clairement sur notre faim. Si la présence d’Anthony Hopkins aurait pu être un atout, en face de lui le débutant Colin O'Donoghue est totalement transparent. Avec son scénario qui sent le réchauffé, on finit donc par rapidement se lasser et on espère qu’Hollywood se fera bientôt exorcisé pour arrêter de nous proposer de tels films.

     

    Il faut le voir pour : Penser à couper votre portable pendant les séances d’exorcisme !

  • Predators

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    A son réveil, il s'est retrouvé en chute libre et s'il n'avait pas été équipé d'un parachute, notre pote Royce (Adrien Brody) serait déjà mort. Il n'est pas le seul, d'autres personnes ont vécu la même situation et tous se retrouvent désormais au cœur d'une jungle sans la moindre idée sur la façon dont ils ont atterrit en ce lieu. Ils partagent cependant un point commun, ce sont tous des soldats ou des criminels et tout porte à croire qu'ils ont été sélectionnés pour une partie de chasse où ils font office de gibier. Au cours de leur marche, ils s'aperçoivent en effet qu'ils sont sur une autre planète et que d'étranges et redoutables créatures ont également été parachutées.

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    Après quelques tatanes échangées contre son cousin Alien peu convaincantes, voilà un reboot lancée par les studios de Robert Rodriguez. On ne s'est pas beaucoup embarrassé coté scénario, il suffit de balancer quelques mercenaires et des Predators sur une planète inconnue et on laisse monter la sauce. Ça aurait pu être un bon pop-corn movie mais au final ça manque cruellement de fun. Si cela avait été fait avec un peu plus de panache ; on aurait certainement moins rechigné devant le vide scénaristique, les personnages complètement futiles (avec une palme à Laurence Fishburne) tandis que là on ne peut que s'interroger sur l'intérêt de cet énième remake.

     

    Il faut le voir pour : A 5 heures, il y en a qui prennent leur gouter et d'autres....