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  • The Iceman

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    Rien ne prédisposait notre pote Richard Kuklinski (Michael Shannon) à devenir un jour ce tueur en série connu sous le nom d’Iceman. Il était doubleur de films pornographiques euh enfin de films Disney et fut recruté par Roy Demeo (Ray Liotta) qui s’est rapidement rendu compte qu’il pourrait devenir un sacré atout dans sa manche. Il est vrai que Richard possède cette qualité rare de pouvoir tuer de sang froid et ce genre de job ne manque pas dans la mafia. Il mène donc une belle vie ; sa femme (Winona Ryder) et ses 2 filles ignorant bien évidemment tout de ses réelles activités mais son vrai visage va finir par être dévoilé au grand jour !

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    Tuer les gens ça laisse notre pote Richard Kuklinski a.k.a. The Iceman de glace ! Serial-killer qui s’est illustré aux Etats-Unis à partir des années 1970 avec plus d’une centaine de victimes à son actif, on s’intéresse donc à la vie insensée de cet homme recruté par la mafia. Père de famille d’un coté, de l’autre il se métamorphose en boucher humain sans émotions. Une distance que retranscrit parfaitement Michael Shannon et à ses cotés il y a du beau monde comme Ray Liotta, James Franco ou Chris Evans. En revanche la réalisation d’Ariel Vromen n’a rien de transcendant et nous avons donc un thriller plutôt classique qui ne sort pas vraiment du lot malgré son personnage fascinant.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus acheter les glaces au camion de glaces !

  • Cogan : Killing them softly

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    Deux hommes armés ont fait irruption dans le tripot de Markie Trattman (Ray Liotta) pour le braquer et paradoxalement c’est ce dernier qui va être suspecté ! Il paie en fait ses actes passés puisque dans le temps, il avait organisé le braquage de son propre tripot et aujourd’hui ce nouveau larcin ne peut être qu’une nouvelle manigance de sa part. Notre pote Johnny Amato (Vincent Curatola) avait cette idée en tête quand il a demandé à Frankie & Russell (Scott McNairy & Ben Mendelsohn) de monter ce coup et ça a marché ! Tout le monde semble accuser Markie mais le seul hic c’est que Russell a la langue bien trop pendue et les véritables coupables seront bientôt identifiés. Un contrat court maintenant sur leurs têtes et un certain Jackie Cogan (Brad Pitt) entend bien le remplir.

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    SI le nom d’Andrew Dominik ne vous dira pas grand-chose, savoir qu’on lui doit l’excellent L'assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford pourrait éclairer votre lanterne. En tout cas, il est parvenu à faire rempiler Brad Pitt dans le rôle d’un tueur à gages sans émotions. Cogan : Killing them softly n’est pas le genre de thriller qui brille par son suspense ou par les scènes d’action. L’intrigue est vite emballée mais rythmée par quelques passages esthétiquement soignées et qui nous permet de découvrir une violence dans sa facette la plus barbare. Loin d’être avare en dialogues, on peut aussi bien se délecter de ses échanges que trouver le temps long. Spécial mais vraiment bon !

     

    Il faut le voir pour : Eviter de rester derrière une voiture que vous voulez faire exploser.

  • Peace, Love et plus si affinités

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    C’est signé et désormais officiel, nos potes Linda & George (Jennifer Aniston & Paul Rudd) sont maintenant propriétaires d’un studio à West Village, New-York. Un bonheur qui sera pourtant de courte durée puisque la société de George est sous le coup d’une saisie judiciaire et qu’il se retrouve du jour au lendemain sans job. N’ayant pas plus les moyens financiers de payer leur loyer, ils n’ont d’autres choix que d’aller vivre à Atlanta, chez Rick (Ken Marino), le beau-frère de Linda. Le trajet s’éternise et le couple décide de s’octroyer une petite pause en Géorgie, c’est ainsi qu’ils découvrent l’Elysium. Il s’agit d’une communauté d’hippies - eux préfèrent le terme de congrégation intentionnelle - avec un mode de vie complètement différent.

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    Ils s’étaient croisés le temps de quelques épisodes sur le plateau de la série Friends, Jennifer Aniston & Paul Rudd se retrouvent aujourd’hui pour une comédie qui ne vole pas bien haut. L’Elysium est un lieu où chacun peut trouver sa place et où aucune porte ne vous sera fermée, de quoi provoquer quelques situations cocasses et vous arracher les sourires. On s’amuse aussi devant l’audace de certaines scènes notamment celles impliquant Wayne, le nudiste viticulteur  ce qui a probablement taper dans l’œil de Judd Apatow ici producteur. S’il y a de bonnes idées parsemées comme le couple Marisa / Rick ou encore l’apparition en guest de Ray Liotta ; Peace, Love et plus si affinités manque de rythme et d’humour si bien qu’on s’en lasse vite !

     

    Il faut le voir pour : Enlever la porte de vos toilettes, il y a des moments qu’il faut apprendre à partager !

  • Hero wanted

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    Après la mort de sa femme Dawn et de leur futur enfant lors d’un accident de la route, Liam Case (Cuba Gooding Jr) a sombré dans la dépression. Cela ne l’a pas empêché de se faire remarquer pour avoir sauvé une petite fille d’une voiture en flammes mais cela n’était qu’un simple réflexe pour ce modeste éboueur. La tranquillité n’a pas de sens pour Liam qui devient cette fois le témoin privilégié d’un braquage de banque et malheureusement, la guichetière qui se trouvait en face de lui prend une balle en pleine tête. En tentant de la secourir, il est à son tour blessé par balles mais dans cette histoire les apparences sont trompeuses !

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    Premier grand film pour Brian Smrz qui aura participé à X-Men 2, Clones ou plus récemment Night & Day ; Hero wanted est un thriller qui manque de caractère. La construction de la trame historique par séquences de flashbacks encrasse la compréhension pour le spectateur au point d’en perdre parfois le fil. Dommage également que le film ne soit pas plus rythmé par des scènes d’action et surtout que celles qui sont présentes manquent tant de tonus. Si ce n’est pas un grand film, c’est tout à fait honorable et ça devrait pouvoir satisfaire ceux d’entre vous qui cherchent à passer le temps.

  • Le secret de Charlie

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    Tout souriait à Charlie St. Cloud (Zac Efron) ; le capitaine du club voile venait de remporter une victoire importante et allait bientôt entrer à la fac. Ses exploits sportifs lui ont d’ailleurs permis d’obtenir une bourse et la prestigieuse école de Stanford  lui fait les yeux doux. Ce 12 Juin 2005 sera une date tragique pour Charlie ; il est victime d’un terrible accident de voiture en compagnie de son petit frère Sam (Charlie Tahan) qui perd la vie. Traumatisé et endossant toute la responsabilité de ce drame, Charlie a décidé d’honorer la promesse faite à son frère en restant auprès de lui. On le retrouve aujourd’hui en tant que gardien du cimetière où repose Sam ; un frère qu’il retrouve chaque soir au coucher du soleil pour joueur au base-ball.

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    Lancé par Walt Disney et la saga High School Musical, Zac Efron a encore bien du chemin à faire avant de pouvoir s’imposer comme un comédien. Une occasion se présente avec Le secret de Charlie, un drame adapté du roman de Ben Sherwood mais l’idole des jeunes convainc par intermittence. Efron en gardien de cimetière, c’est aussi convaincant que de voir Paris Hilton animer une émission littéraire et puis il y a des séquences qui agacent. La scène où Charlie fait de la luge avec des couvercles de poubelle dans la boue (sigh), le trio de midinettes dans le magasin de jouets ou encore le cache-cache dans la brume sont autant d’éléments qui décrédibilisent le film. Bref, pour les yeux du beau gosse, ça attirera peut-être quelques spectatrices.

     

    Il faut le voir pour : Se méfier des oies, elles sont redoutables.

  • Be bad !

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    Comme beaucoup de garçons de son âge, Nick Twisp (Michael Cera) attend avec impatience de trouver le grand amour ; pas évident quand aucune fille ne fait attention à lui ! C'est par un coup du hasard que son vœu va s'exaucer ; le compagnon de sa mère doit se planquer après une petite escroquerie et les voilà qui débarquent dans un camp de vacances dans les environs d'Ukiah. C'est là qu'il fait la connaissance de la belle Sheeni Saunders (Portia Doubleday) ; jeune femme passionnée par la France et sa culture mais le seul hic c'est qu'elle a déjà un petit copain. Malgré tout notre pote Nick est bien décidé à la revoir et pour cela il doit échafauder un plan pour retourner à Ukiah, il va devoir laisser s'exprimer une autre facette de sa personnalité.

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    Dans les premières minutes, on se dit qu'on a affaire à un énième teen-movie où le sexe va prendre une place prépondérante mais Be bad ! se révèle un peu plus subtil que cela. La star c'est Michael Cera qui tient un double rôle, d'abord celui d'un garçon un peu gauche et coincé et puis sa mauvaise conscience avec le style à la française. Quel rapport a ce François Dillinger avec nous, j'ai encore du mal à le comprendre en tout cas pour le film, à part 2 bonnes scènes et les apparitions appréciées de Steve Buscemi & Ray Liotta ce n'est pas grandiose. La comédie se cherche une identité sans parvenir réellement à s'imposer.

     

    Il faut le voir pour : Devenir un vrai français, vous tailler une petite moustache et fumer la cigarette avec élégance.

  • Crazy Night

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    Pour éviter que leur couple tombe dans la spirale infernale de la routine, nos potes Claire & Phil Foster (Tina Fey & Steve Carell) ont décidé que ce soir ils se feront plaisir ! Ils vont jusqu'à Manhattan pour aller dîner au Claw, dernier restaurant à la mode où il faut réserver au moins un mois à l'avance. Le couple s'imaginait pouvoir, avec de la chance, bénéficier d'une table mais ils sont déçus et sont à deux doigts de quitter les lieux lorsque Phil décide de prendre la réservation de quelqu'un d'autre. Ils se font donc passer pour les Triplehorn et passent une charmante soirée jusqu'à ce que deux hommes viennent les menacer.

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    Si la réputation de Steve Carell en tant que comique n'est plus vraiment à faire, celle de Tina Fey - du moins au cinéma- est encore à écrire. La comédienne découverte dans le Saturday Night Live et star de la série 30 rock forme avec Carell un duo dynamique et nous entraîne pour une 1H30 de franche rigolade. L'histoire repose sur un simple quiproquo mais on oublie vite cette légèreté scénaristique pour se laisser guider par la complicité de ce couple détonant avec quelques scènes qu'on n'oubliera pas de si tôt. Si vous êtes à la recherche d'une bonne comédie et bien vous l'avez trouvé avec Crazy Night !

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais piquer la réservation au restaurant de quelqu'un d'autre.

  • Control

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    Lee Ray (Ray Liotta) aurait pu être un homme comme un autre mais le destin en a décidé autrement et certains évènements ont fait de lui un meurtrier particulièrement violent. Il est sur le point d’être exécuté par injection pour les crimes qu’il a commis et la société ne le regrettera pas ! Pourtant, cette exécution n’est qu’une mascarade, il a été choisi pour être un sujet d’expérimentation du Docteur Michael Copland (Willem Dafoe) en compagnie de 19 autres condamnés. L’objectif est de faire disparaitre toute trace de violence de leurs esprits avec un simple cachet, rêve ou réalité ?

     

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    Control est un film intéressant à plus d’un titre car il permet d’une part de retrouver 2 grands acteurs de talent que sont Ray Liotta & Willem Dafoe et d’autre part parce qu’il traite d’un thème régulièrement d’actualité avec la réinsertion des anciens criminels. C’est un véritable plaisir de retrouver Ray Liotta qui nous étonne une fois de plus (et qui mériterait plus de reconnaissance) dans la peau de ce criminel repenti. Débarqué directement dans nos rayons DVD, c’est un film qui mérite largement le coup d’œil et que je vous invite vivement à découvrir.

  • Les affranchis

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    Son père aura beau le battre autant qu’il voudra, notre pote Henry Hill (Christopher Serrone / Ray Liotta) n’en fera qu’à sa tête : il deviendra un gangster ! Au diable l’école qui ne le mènera nulle part, il sait que son destin est de faire parti des Affranchis, ces hommes si respectés qui règnent en maitre dans le quartier. Très jeune, Henry entre dans la bande de Paulie (Paul Sorvino) d’abord en garant les Cadillac et en rendant quelques services puis avec les années, il est devenu un homme de confiance. Lorsqu’il rencontre Karen (Lorraine Bracco), il découvre l’amour et le bonheur lui tend les bras mais il en veut toujours plus quitte à se bruler les ailes.

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    Ray Liotta est une de ses belles gueules du cinéma américain qui malgré quelques bons films n’a jamais eu la reconnaissance qu’il mérite réellement. Dans ce chef d’œuvre de Martin Scorcese dont on a bien du mal à croire qu’il va fêter bientôt ses 20 ans, le réalisateur démontre dans toute sa splendeur son talent. Entouré des géants Robert de Niro & Joe Pesci, Les affranchis est un de ces films qui doivent faire parti de votre collection juste à coté de la trilogie du Parrain de Francis Ford Coppola. Inspiré d’une histoire vraie, voici sans aucun doute l’une des œuvres majeures de Scorcese et Dieu sait si celles-ci sont nombreuses.

     

    La scène à ne pas louper : La réaction de Tommy (Joe Pesci) quand on lui dit qu’il est marrant.

  • Revolver

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    Jake Green (Jason Statham) sort de 7 ans de prison et cette fois il est bien décidé à lancer son business. Sa première étape est d’aller voir Dorothy Macha (Ray Liotta) histoire de l’humilier et surtout de lui prendre de la thune car il n’a pas perdu son temps en prison ; il possède une formule qui lui permet de mettre en place l’arnaque parfaite. Macha ne se méfiait de rien et l’a encore en travers de la gorge, il envoie ses hommes pour abattre son nouvel adversaire mais celui-ci a la chance d’être pris sous l’aile d’un duo hors du commun : Zack & Avi (Vinnie Pastore & Andre Benjamin). Travaillant comme usuriers, ce nouveau trio va prendre un malin plaisir à perturber les affaires de Macha.

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    Ce film de Guy Ritchie aurait pu devenir une nouvelle référence pour celui à qui l’on doit le déjà culte Snatch. Dans la réalisation justement, on sort des sentiers battus avec différents mouvements de caméra et même l’introduction d’un dessin animé (idée piquée à un certain Kill Bill) mais le problème avec Revolver ce sont les personnages. En fait, entre Macha & Green ; on est rapidement perdu dans leurs personnalités complexifiées puisque le réalisateur réussit à nous perdre dans un dédale psychologique rendant le film complètement insipide. Bref, dommage il y avait le potentiel de nous pondre un bon truc mais on oubliera vite ce ratage.