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raoul bova

  • AVP : Alien Vs Predator

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    Le 03 Octobre 2004, un satellite a capté un signal d’énergie en provenance d’une ile de l’Antarctique qui va permettre la découverte d’une pyramide située dans les profondeurs. Cela a éveillé la curiosité de Charles Bishop Weyland (Lance Henriksen) qui décide de constituer une équipe d’experts menée par Alexa Woods (Sanaa Lathan). A leur arrivée, ils se rendent compte qu’un passage a déjà été creusé et décident de s’y engouffrer non sans une certaine méfiance et ils font bien d’être prudents ! Leur expédition vont en effet les mener jusqu’à une impressionnante créature qui s’avère être une reine Alien et comme si cela ne suffisait pas ils vont voir débarquer des Predators, des chasseurs venus se dégourdir un peu les jambes !

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    C’est la réunion de 2 monstres sacrés du cinéma fantastique, un crossover qui devait combler les fans de la première heure et nous offrir une confrontation explosive … enfin ça c’est ce qu’on espérait ! La réalisation de Paul W.S. Anderson a malheureusement pour nous les allures d’un film de série B et ça fait un peu mal au cœur quand on apprécie Alien et/ou Predator. Avec son scénario peu inspiré qui n’est qu’un vil prétexte pour nous introduire la bataille tant attendue et des personnages sans aucun relief, il n’y a rien à préserver de ce vrai désastre. AVP : Alien Vs Predator était donc alléchant sur le papier mais les réunir c’est une chose, nous offrir un vrai divertissement en est une autre.

     

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  • La nostra vita

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    Rien ne l’avait préparé à un tel drame. Claudio (Elio Germano) pleure sa femme Elena (Isabella Ragonese) morte en donnant naissance à Vasco, leur troisième enfant, un évènement qu’il va tenter d’oublier en s’investissant encore davantage dans son travail de chef de chantier. Ayant connaissance d’un terrible secret, il a en effet obtenu la responsabilité entière de la construction d’un immeuble mais le planning est serré. Avant tout il a besoin de liquidités et obtient ainsi le prêt de 50 000 euros de la part de l’un de ses potes d’enfance et voisin. Avec ce projet et l’argent en poche, il perd le sens des réalités mais sera ramené brutalement sur terre.

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    Le cinéma italien continue de s’émanciper au-delà de ses frontières et en tant que spectateur, on ne va pas s’en plaindre. Dans son ensemble, la réalisation n’a franchement rien d’exceptionnel, c’est surtout le personnage principal, Claudio (Merveilleux Elio Germano) qui parvient à provoquer chez nous une certaine empathie. Difficile de rester impassible devant la douleur d’un homme désorienté par la perte de sa femme avec notamment cette scène poignante où il lui rend un dernier hommage à travers leur chanson. Un protagoniste d’autant plus proche de nous puisqu’il est issu d’une classe modeste et qui va se plonger corps et âme pour noyer son chagrin. Joli film que La nostra vita pour une bonne séance découverte.

     

    Il faut le voir pour : Laisser vos enfants jouer dans votre chambre.