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ali larter

  • Elle Woods - La revanche d'une blonde

    Bonjour, je m’appelle Elle Woods (Reese Whiterspoon) et voici mon chien Boxer.

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    01.jpgNous venons de nous installer à Harvard, j’ai rejoint l’école de droit avec l’espoir de revoir Warner (Matthew Davis) et celui-ci semblait assez surpris de me voir. Il s’avère même qu’en fait il me croit incapable de réussir alors j’ai décidé de me mettre sérieusement au travail.

    Ça n’a pas été facile mais après avoir longtemps étudié, j’ai rattrapé mon retard et même réussi à décrocher un stage dans le cabinet du Professeur Callahan (Victor Garber) et nous allons participer  à une grosse affaire ! Brooke Taylor (Ali Larter) est accusée d’avoir tué son mari et c’est une femme que je connais bien puisqu’il s’agit d’une ancienne Delta Nu !!

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    Grace à au lien qui nous unit, elle s’est confiée à moi et je sais désormais qu’elle n’a pas pu commettre ce meurtre car elle a un alibi en béton ! Inutile de me le demander, j’ai fait la promesse de ne rien dire. Il va maintenant falloir trouver les preuves pour l’innocenter et c’est loin d’être gagné !

     

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  • La revanche d’une blonde

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    Si on s’arrête aux apparences, on pourrait facilement croire qu’Elle Woods (Reese Whiterspoon) n’est qu’une jeune femme superficielle mais ce serait faire une grande erreur ! Déterminée à récupérer son petit-ami Warner (Matthew Davis), elle travaille d’arrache-pied pour réussir le test du LSAT et pouvoir ainsi intégrer la prestigieuse école de droit d’Harvard. Cet objectif atteint, elle pensait que Warner retomberait dans ses bras mais il se trouve qu’entre-temps il s’est fiancé avec Vivian (Selma Blair). Le monde s’écroule pour notre pauvre pote Elle d’autant plus qu’elle est sujet à moqueries depuis son arrivée mais une blonde ne s’avoue jamais vaincue, surtout une Delta Nu !

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    Les blagues et les clichés ne manquent pas quand il s’agit d’évoquer les blondes et Reese Whiterspoon vient donc défendre ses couleurs à travers cette comédie dont l’humour déteint vite. Elle Woods est le personnage solaire par excellence ; elle a tout l’attirail de la belle sans cervelle mais se révèle pleine de surprises pour son entourage. Comment séduire par la technique lu plié / levé ou encore embellir son CV avec du papier rose et une petite senteur de lilas, voici un aperçu de ce qui vous attend. Si l’humour artificiel et le scénario très convenu ne vous dérangent pas alors éventuellement vous trouverez en La revanche d’une blonde un léger divertissement.

  • Resident Evil Afterlife

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    Alors que les zombies ont ravagé la planète entière, une poignée de survivants reprennent espoir après le message qui a été diffusé. Arcadia est un Eden où l'on promet que chacun pourra vivre sans craindre d'être contaminé mais la réalité est tout autre. Après avoir réglé une affaire personnelle, notre pote Alice (Milla Jovovich) rejoint ses anciens camarades Claire Redfield & K-Mart (Ali Larter & Spencer Locke) à Arcadia mais elle découvre qu'il s'agit en fait d'un navire. En portant secours à d'autres survivants, elle retrouve également un certain Chris Redfield (Wenworth Miller), le frère de Claire et ils vont devoir dézinguer du zombie avant d'espérer monter à bord de l'Arcadia.

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    Quatrième épisode d'une saga qui est loin d'être terminée, Resident Evil Afterlife est un film d'action qui tient tout à fait ses promesses. Ce n'est pas du coté du scénario qu'on va s'extasier mais plutôt dans ses phases "j'explose du zombie" et "je mitraille partout avec mes 2 flingues à la main". A ce niveau-là Paul W.S. Anderson sait comment nous faire plaisir même si on peut lui reprocher l'utilisation parfois abusive de certains effets spéciaux. On s'éloigne également de plus en plus de la mythologie Resident Evil mais on ne rechigne pas devant le rythme effréné bien qu'inégal ce qui en fait un excellent pop-corn movie.


    Il faut le voir pour : Michael Scofield (Wenworth Miller) incapable de se libérer tout seul, le naze !

  • Resident Evil : Extinction

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    L’apocalypse a eu lieu. Les recherches de la Umbrella Corporation ont causé une catastrophe sans précédent dans l’histoire de l’humanité et la Terre s’est vue ravagée par le virus T. Les rares survivants doivent continuellement être en mouvement pour éviter les zombies et la contamination. Claire Redfield (Ali Larter) a décidé de les réunir et de parcourir les routes mais où aller lorsqu’on est en sécurité nulle part. Par chance, elle croise la route d’Alice (Milla Jovovich) qui la sort d’un mauvais pas et la convainc de se rendre en Alaska, dernière zone sécurisée. Alice quant à elle a des comptes à régler avec la Umbrella qui est à ses trousses.

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    Si Resident Evil est une référence dans le monde vidéo-ludique, on ne peut pas en dire autant de son adaptation cinématographique qui baigne dans la médiocrité. Après un second volet complètement raté, ce Resident Evil : Extinction s’avère plus intéressant que prévu ou plutôt devrais-je dire moins consternant que je ne l’aurais pensé. Les zombies sont toujours aussi nombreux et encore plus gores, les oiseaux contaminés deviennent une nouvelle menace mais le scénario est vraiment trop mince pour nous convaincre. A cela s’ajoute des séquences totalement téléphonées et une Milla Jovovich qui brille plus par sa peau lisse qu’autre chose ; il n’empêche ça reste un bon pop-corn movie.

     

    Il faut le voir pour : Attendre l’arrivée des zombies pour arrêter de fumer.