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sigourney weaver

  • Chappie

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    Johannesburg, Afrique du Sud dans un futur proche. La recrudescence de la criminalité face à des forces de l'ordre dépassées a conduit la ville à adopter la première police robotisée. Produits par la société Tetravaal sous la supervision de leur créateur Deon (Dev Patel), les Scouts ont rapidement trouvé leur place mais ces machines sont amenés à évoluer. C'est du moins ce que pense Deon qui travaille avec acharnement sur le développement d'une Intelligence Artificielle qui trouve aujourd'hui son aboutissement. Ne reste plus qu'à l'implanter dans un de ses Scouts et c'est à ce moment-là qu'il se fait enlever par une bande de criminels menés par Ninja (Watkin Tudor Jones Jr.).

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    Non ce n'est pas encore un nouveau retour de Robocop mais nul doute que ce super flic a inspiré Neill Blomkamp qui nous livre une version customisée qui ne manque pas de fun. Chappie c'est le robot le plus gangsta du cinéma capable aussi bien de s'émerveiller devant le générique des Maîtres de l'univers que de braquer de belles bagnoles. Au-delà de ça, on apprécie également le casting rafraîchissant avec en tête Yo-Landi Visser & Watkin Tudor Jones Jr. sans oublier un Hugh Jackman dans la peau du méchant de service. S'il faut trouver un reproche, ce serait qu'il manque une scène d'action d'envergure (surtout que le bougre n'y va pas de main morte) entre l'ouverture et la conclusion ce qui ne veut pas dire qu'on s'ennuie.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir le plus cool des robots !

  • Exodus : Gods and kings

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    1300 avant notre ère. L’Égypte se pare de pyramides et d’édifices majestueux qui sont l’œuvre des esclaves hébreux mais la révolte est proche. Élevés comme des frères, nos potes Moïse et Ramsès (Christian Bale & Joel Edgerton) vont voir leurs destins prendre des chemins différents. A la mort du Pharaon Séthi (John Turturro), son fils Ramsès succède naturellement au trône mais apprend les véritables origines de Moïse qui serait hébreux. Décision est alors prise de le chasser de Memphis mais 9 ans plus tard il réapparaitra guidé par une apparition divine et la prophétie qu’on lui avait raconté va s’accomplir ; il sera le sauveur des hébreux.

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    Retour au Péplum pour notre pote Ridley Scott 14 ans après son Gladiator et cette fois il adapte un chapitre important de la Bible en revenant sur la vie du prophète Moïse. Niveau spectacle Exodus : Gods and kings se montre généreux avec nous avec des décors alternant entre le superbe et le grandiose renforcés par des effets spéciaux donnant ainsi des scènes impressionnantes. Seulement les deux personnages principaux se retrouvent un peu noyés dans tout ça ; l’opposition entre Moïse et Ramsès est trop superflue pour donner au film une véritable intensité. Une superproduction clinquante mais à laquelle il manque une âme.

     

    Il faut le voir pour : Répondre à quelques questions avant de "poursuivre" avec votre femme !

  • Alien, la résurrection

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    Même dans la mort, le Lieutenant Ellen Ripley (Sigourney Weaver) ne parvient pas à trouver le repos ! 200 ans après avoir péri sur Fiorina 161, une équipe de scientifiques de l’USM Auriga est enfin parvenu un clone parfait avec un objectif bien particulier : récupérer la reine alien qui sommeillait dans son corps. Au même moment, le vaisseau spatial Betty est à l’approche; à son bord 7 mercenaires venu dans un but bien précis mais ils ignorent qu’ils viennent de pénétrer en enfer ! Les scientifiques ont déjà donné naissance à 12 aliens et pensaient avoir les capacités de les contenir mais c’est mal les connaitre, ils parviennent à s’échapper. Ripley va devoir reprendre les armes mais depuis qu’elle a enfanté la reine elle n’est plus la même ; elle a en effet développé de drôles d’aptitudes.

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    Sans chauvinisme aucun, on peut déjà être fier que Jean-Pierre Jeunet se soit vu proposer de participer à l’aventure Alien. Succédant à des réalisateurs prestigieux, il devait tout de même avoir une certaine pression sur les épaules mais relève de belle manière le défi hollywoodien. Plus forte que la mort, Sigourney Weaver est plus présente que jamais et plutôt 8 fois qu’une ! On redécouvre le personnage qui apparait plus détaché conséquence de son évolution inattendue qui va même redéfinir la créature légendaire. Un épisode qui remet l’action au centre des débats avec notamment une belle scène sous-marine, il n’y a que cette humanisation de l’alien qui peut nous laisser un peu perplexe autrement Alien, la résurrection tient ses promesses.

     

    La scène à ne pas louper : La découverte des clones de Ripley.


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  • Alien 3

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    Placée en hypersommeil, Ripley (Sigourney Weaver) n’imaginait pas un instant un épilogue aussi douloureux. Notre pote est en effet la dernière survivante de l’USS Sulaco sur lequel un incendie s’est déclaré provoquée par la présence d’un Alien. Une capsule de secours s’est donc détachée et a fini par s’écraser sur Fiorina 161 où seule Ripley a peu être sauvée. Cette planète est en fait une prison de haute sécurité où ne sont détenus que des hommes ayant commis les pires atrocités et la présence d’une femme ne passe pas inaperçu. Ce sera pourtant le cadet de leurs soucis lorsqu’ils apprendront qu’un Alien se promène également dans le complexe et qu’ils n’ont aucune arme pour le neutraliser.

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    La valse des réalisateurs continue et c’est cette fois David Fincher qui s’attaque à la saga Alien avec d’emblée un film au ton bien différent. L’atmosphère y est à la fois plus violente et dans le même temps plus spirituel à l’image de ces prisonniers convertis à la gloire de Dieu. Un monde brutal qui se traduit également par le sort réservé à la pauvre Ripley et qui va jusqu’à se manifester à travers son apparence physique. Pas forcément l’épisode le plus impressionnant du point de vue de l’action mais incontestablement celui qui arrive à se démarquer du reste et qui reflète le mieux les inspirations de son réalisateur. Un épisode qui sera accompagné de son lot de controverses tant chez les fans que chez Fincher lui-même qui ira jusqu’à renier Alien 3.

     

    La scène à ne pas louper : Le saut de l’ange de Ripley !


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  • Aliens, le retour

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    57 ans ! C’est le temps durant lequel notre pote Ripley (Sigourney Weaver) a dérivé dans l’espace après s’être miraculeusement échappé de la monstrueuse créature qui a décimé l’équipage du Nostromo. Difficile pour elle de reprendre une vie normale après un tel traumatisme d’autant plus que la Compagnie la tient en partie responsable de ce désastre. Ajoutez à cela qu’elle apprend que la planète LV- 426 sur laquelle elle a rencontré ces fameux Aliens est désormais habitée et les avertissements lancés par Ripley n’y changeront rien. Du moins c’était vrai jusqu’à ce que les communications avec la planète soient soudainement coupées, on la prend maintenant au sérieux et l’invite à prendre part à une expédition accompagné d’une escouade de Marines.

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    Exit Ridley Scott, c’est maintenant James Cameron qui reprend en main le destin de notre pote Ripley et il prend un malin plaisir à la replonger dans la gueule du loup ou plutôt devrais-je dire des Aliens ! Après avoir fait tomber l’équipage du Nostromo, c’est désormais un groupe de Marines surentrainés qui entrent en action contre rien moins qu’une armada de créatures assoiffées de sang. Dans la lignée du précédent épisode, le célèbre réalisateur d’Avatar sait installer le suspense et la tension du spectateur ne peut que frétiller au son de ce détecteur de mouvements. Le personnage de Ripley se dévoile un peu plus mais surtout devient la véritable héroïne de la saga avec notamment la scène de la libération de Newt d’anthologie. Aliens, le retour ne nous ménage pas en termes d’action et ça c’est pas pour nous déplaire !

     

    La scène à ne pas louper : La confrontation entre Ripley et la reine des Aliens.


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  • Sans issue

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    Les vacances ont débuté sous de mauvais auspices pour notre pote Will Shaw (Henry Cavill) ; à peine arrivé en Espagne, il apprend que sa valise est restée bloquée aux États-Unis. Il se réjouissait pourtant à la perspective de retrouver sa famille mais un coup de fil professionnel va l’obliger à écourter son séjour ce qui ne semble pas plaire à son père Martin (Bruce Willis). L’ambiance est électrique sur le bateau familial et Will décide d’aller se calmer en ville mais à son retour, il découvre un voilier vide et vraisemblablement il s’est passé quelque chose de grave. Après avoir sollicité l’aide de la police locale qui va s’avérer inutile, son père vient à sa rescousse avec une révélation de taille : il n’est pas attaché culturel mais un agent d’une branche de la CIA !

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    Il nous avait étonné avec son JCVD, Mabrouk El Mechri signe cette fois Sans issue, un thriller au fort accent hispanique mais le résultat final est loin de combler nos espérances. S’il y a un certain plaisir à revoir Sigourney Weaver, son rôle est insipide tout comme la participation de Bruce Willis, reste alors Henry Cavill et sa belle gueule mais qui ne possède pas le charisme nécessaire pour porter sur ses épaules ce film d’action comme c’était déjà le cas avec Les immortels. Les scènes se succèdent sans conviction faisant au passage une petite visite guidée de Madrid mais devant un spectacle aussi soporifique, le spectateur sera plus tenté de trouver l’issue de secours de la salle !

     

    Il faut le voir pour : Lâcher votre portable quand vous êtes en famille ou sinon on s’en occupera pour vous !

  • Alien, le huitième passager

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    Au cœur de l’espace, un vaisseau spatial du nom du Nostromo se dirige vers la Terre mais les occupants sont réveillés de leur profond sommeil car une anomalie a été détectée. Selon leur ordinateur de bord Maman ; une transmission d’origine inconnue a été captée et Dallas (Tom Skerritt) et son équipage doivent y jeter un œil, un devoir qui ne réjouit pas tout le monde. Alors qu’ils posent le pied sur la planète LV-426, cette mission de reconnaissance tourne au désastre lorsque Kane (John Hurt) est attaqué par une mystérieuse créature. Alors que Ripley (Sigourney Weaver) avait refusé de le rapatrier dans le vaisseau, le reste de l’équipage ne se pose pas la question, une imprudence qui va leur couter cher !

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    Sur certains aspects il est indéniable que le chef-d’œuvre de Ridley Scott peut prêter à sourire mais Alien, le huitième passager a bel et bien marqué le cinéma américain. Ce qui n’a par contre pas pris une ride, c’est bien le design de la créature signé Hans Ruedi Giger qui en impose toujours autant ; un élément loin d’être un simple détail dans le succès de la saga. On ne peut pas non plus oublier le rôle de la vie de Sigourney Weaver, Ripley est devenu une icône en devenant la première héroïne véritable d’un film d’action à une époque où cela est loin d’être une évidence. Pour toutes ces raisons, tout amateur du 7ème art ne pourrait faire l’impasse sur cette œuvre qui allait se poursuivre à travers une saga inoubliable.

     

    La scène à ne pas louper : La naissance de l’Alien !


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  • Identité secrète

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    Ça a été une soirée sacrément arrosé et ce n’est pas notre pote Nathan Harper (Taylor Lautner) qui vous dira le contraire ! C’est torse nue qu’on l’a retrouvé endormi dans le jardin, un comportement que n’ont pas vraiment apprécié ses parents Mara & Kevin (Maria Bello & Jason Isaacs) mais il faut bien que jeunesse se passe. Bref, jusque là Nathan avait une vie tout ce qu’il y a de plus ordinaire mais tout va basculer lorsqu’au cours d’un devoir avec Karen (Lily Collins), il découvre sa photo sur un site recensant des enfants disparus. La vérité éclate au grand jour, Mara & Kevin ne sont pas ses vrais parents mais il n’a pas le temps de se faire à cette nouvelle car quelqu’un est à sa recherche et cette chasse va laisser derrière elle de nombreuses victimes.

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    A première vue, on se dit qu’il s’agit d’un banal film d’action qui tente de profiter de la popularité naissante de Taylor Lautner pourtant on retrouve à la réalisation un spécialiste du genre. C’est ainsi John Singleton (Boyz’n the hood, la loi de la rue; Quatre frères …) qui est aux rênes d’Identité secrète et pour accompagner Lautner on retrouve tout de même Sigourney Weaver, Alfred Molina et aussi Michael Nyqvist le héros de la saga Millenium ce qui donne sur le papier une autre image du film. Une impression qui se dissipe vite ne serait-ce que par sa scène d’ouverture et la suite n’est pas vraiment plus passionnante. Assez peu d’action à se mettre sous la dent, un "héros" transparent et un scénario sans surprises ; à moins de vouloir revoir le beau torse de Lautner, vous pouvez vous passer de ça !

     

    Il faut le voir pour : Vérifier les sites des enfants disparus pour vous assurer que vous n’êtes pas l’enfant caché de James Bond.

  • Avatar

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    Jake Sully (Sam Worthington) était un Marine jusqu'à ce qu'un grave accident le prive de l'usage de ses jambes. Malgré ce handicap, il a été appelé pour participer à une prodigieuse expérience sur la planète Pandora ; un projet qui initialement était prévu pour son frère. Hélas, ce dernier a été assassiné lors d'une agression et il se trouve qu'il devait conduire un avatar c'est-à-dire prendre possession d'un corps crée artificiellement. Sur Pandora vivent les Na'vi, un peuple indigène mais ce qui intéresse surtout les chercheurs ce sont les richesses énergétiques qui sont enfouis dans leurs terres. Jake va donc prendre la place de son frère et devenir un Na'vi ce qui va lui permettre de découvrir un monde incroyable.

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    Il s'agit certainement de l'évènement de l'année 2010, la dernière folie de James Cameron qui accouche d'un film gigantesque dont il rêvait depuis des années. En tant que spectateur, on ne peut que s'incliner devant la majesté du film, le réalisateur de Titanic nous plonge dans un univers merveilleux où l'on découvre ébahi chaque recoin de cette planète. Le seul hic est ce scénario un peu trop simpliste ; un peuple qui vit d'amour et d'eau fraiche qui va se voir confronter aux militaires qui ne pensent qu'à la destruction et à l'exploitation de leurs terrains. Il ne faut donc pas être trop regardant sur l'histoire et se contenter d'admirer l'imagination fertile d'Avatar.

     

    Il faut le voir pour : Se croire réellement sur une autre planète !

     

  • Angles d'attaque

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    Les attentats du 11 Septembre ont bouleversé le monde et pour de meilleurs lendemains, il était absolument nécessaire de prendre d’importantes mesures. Sous l’impulsion du président des Etats-Unis Ashton (William Hurt) ; un important sommet réunit les plus grands chefs d’Etat d’Occident et du monde arabe à Salamanque en Espagne. Un traité pour combattre le terrorisme sous toutes ses formes va y être ratifié mais un évènement inattendu provoque la panique. Le président Ashton est victime d’un tireur embusqué, s’en suit alors le bruit d’une terrible explosion non loin de là avant qu’une nouvelle bombe anéantisse la tribune officielle.

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    Une histoire et plusieurs points de vue ; voilà un résumé basique d'Angles d’attaque, un film d’action pas mauvais dont l’idée motrice apporte un brin d’originalité. Dès le départ, le film donne le ton pour ensuite remonter le temps et redécouvrir les mêmes évènements à travers les yeux d’un touriste, d’un garde du corps ou encore des terroriste eux-mêmes. Une répétition qui lasse au bout d’une heure mais heureusement le réalisateur n’étend pas son principe et trouve le bon équilibre pour offrir un bon divertissement. Avis aux retardataires, voici un des rares films dont vous pouvez encore suivre l’intrigue en ayant loupé la première heure !


    Il faut le voir pour : Apprendre que vous ne voyez jamais les vrais chefs d’Etat à la télévision.