Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

sarah gadon

  • Dracula Untold

    star 02.5.jpg

    AFF.jpg

    Nous sommes en l’an de grâce 1442. Autrefois connu comme étant Vlad l’empaleur (Luke Evans), notre pote a beaucoup changé depuis sa rencontre avec Mirena (Sarah Gadon). Le sang qu’il a versé, il tente de l’oublier en Transylvanie mais le sultan turc Mehmet (Dominic Cooper) va venir briser cette paix. Il exige en effet 1000 jeunes garçons pour venir garnir son armée sans quoi un nouveau conflit semble inévitable. Vlad a conscience que son royaume n’a pas la puissance nécessaire pour faire face à cet adversaire et n’a d’autres choix que de se rendre à la Dent brisée. Quelques jours auparavant il y avait affronté une créature à la puissance phénoménale qui représente désormais son dernier espoir. Ainsi commence la légende de Dracula !

    01.jpg

    Les films de vampires auront beau se multiplier comme des petits pains, le plus célèbre et populaire restera à jamais Dracula. Le réalisateur débutant Gary Shore se met donc en tête de nous raconter ses origines à travers l’incarnation de Luke Evans. C’est une idée qui en vaut une autre mais Dracula Untold privilégie l’action agrémentée de quelques effets spéciaux et le vampire n’y va pas de main morte quand il s’agit de faire couler le sang toutefois l’ensemble reste assez quelconque. On aurait apprécié que l’histoire apporte une véritable nouvelle dimension à ce personnage, il faudra seulement se contenter d’un divertissement version Hollywood et donc pas forcément indispensable.

     

    Il faut le voir pour : Garder de l’argent sur vous, on ne sait jamais …

  • Dracula Untold

    Besoin de sang frais ? Venez donc découvrir Dracula Untold qui reviendra sur les origines de l'homme qui mord plus vite que son ombre quoi ?!? Mais non je ne parle pas de Luis Suarez mais bel et bien de Luke Evans qui incarnera le prince des ténèbres !

    Date de sortie : 01 Octobre 2014.


  • Maps to the stars

    star 02.jpg

    aff.jpg

    Après un séjour en Floride, notre pote Agatha (Mia Wasikowska) vient de débarquer à Hollywood et ce n’est pas vraiment pour partir à la chasse aux autographes ! Pourtant grâce à la relation qu’elle a tissée avec Carrie Fisher, la jeune femme va devenir l’assistante personnelle de l’actrice Havana Segrand (Julianne Moore). Cette dernière veut par tous les moyens décrocher un rôle important dans le prochain film Stolen waters. Il s’agit en fait d’un remake et la particularité c’est que Clarice Taggart (Sarah Gadon), la mère d’Havana tenait le premier rôle de l’œuvre originale il y a 30 ans. Ce serait un coup du destin magnifique d’autant que les relations entre cette mère et cette fille ont été pour le moins tumultueuses.

    01.jpg

    Hollywood ce n’est pas que le strass et les paillettes, non ici c’est plutôt cures de désintoxications associées à des relations familiales plus qu’ambigües avec une bonne dose de cynisme. Si Juliane Moore se montre savoureuse en actrice névrosée et sans scrupules, on est aussi séduit par le jeune Evan Bird qui fait preuve d’une maturité étonnante. Malheureusement, au-delà de ces performances Maps to the stars n’a rien de très attractif puisqu’on tombe rapidement dans une espèce de léthargie dont on ne sortira jamais. Une fois encore David Cronenberg nous déstabilise mais dans le cas présent ce n’est pas vraiment de manière positive.

     

    Il faut le voir pour : Créer un compte Twitter si vous voulez devenir pote d’enfance avec des stars.

  • Antiviral

    star 01.jpg

    aff.jpg

    Glorifiés par leurs fans, certaines stars sont devenues de véritables icones au point qu’un nouveau marché s’est crée tout en soulevant de vives polémiques. Désormais, vous pouvez vous offrir les maladies contractées par n’importe quel acteur, mannequin ou chanteur et la Clinique Lucas profite de ce nouveau phénomène loin de s’essouffler. Preuve en est ce contrat d’exclusivité signé avec Hannah Geist (Sarah Gadon) et aujourd’hui encore notre pote Syd March (Caleb Landry Jones) est parvenu à vendre un de ses herpès ! Alors que ce nouveau business se trouve être hautement réglementé, Syd s’amuse à cultiver clandestinement ses virus en se les injectant directement dans le corps mais cela n’est pas sans risques.

    01.jpg

    Déjà, le sujet d'Antiviral ne peut qu’interpeller. On se retrouve dans un monde où le fan pousse sa passion jusqu’à partager la maladie de sa star ou encore à déguster un steak de cellules (après tout il y a bien des lasagnes fait de cheval …). Rendez-vous avec l’étrange donc et au générique, on retrouve un nom connu celui de Cronenberg mais attention il s’agit ici du fils Brandon qui signe sa première réalisation. Si dans un premier temps on est dans une phase de découverte dans cet environnement épuré, très vite c’est une bonne dose d’ennui qui nous est administré et qui se propage à vitesse grand V dans ce thriller au scénario peu élaboré.

     

    Il faut le voir pour : Essayer de vendre vos maladies, c’est la crise après tout !

  • Cosmopolis

    star 01.5.jpg

    aff.jpg

    Alors que toute la ville de Manhattan est paralysée dans le cadre de la prochaine visite du Président des Etats-Unis, notre pote Eric Packer (Robert Pattinson) ressent le besoin d’une nouvelle coupe de cheveux. Ce riche trader s’installe alors dans sa luxueuse limousine où il a le loisir de recevoir toutes sortes de visites aussi bien professionnelles que d’ordre plus privé. Sur le chemin et tout autour de lui, on assiste à la décomposition d’une société ; les manifestations se multiplient dans les rues et des rats devenus le symbole de ce mécontentement sont exhibés. Eric n’a toutefois pas à s’inquiéter puisqu’il est entouré d’un service de sécurité efficace mené par Torval (Kevin Durand) mais c’est une journée où tout peut arriver.

    01.jpg

    La majorité des spectateurs ne verront pas plus loin qu’une simple masturbation intellectuelle délaissant l’esthétisme de la réalisation de David Cronenberg. Pamphlet à l’encontre du capitalisme qui gangrène notre société, on est censé assister à la déliquescence de notre monde mais tout ce qui ressort ce ne sont que de longues conversations. Cosmopolis est un film constitué à 95 % de dialogues ciselés et il est difficile pour ceux qui, comme moi, ne connaissent pas le livre d’apprécier ou simplement de supporter cela. Il est certainement préférable de lire ce célèbre roman de Don DeLillo avant d’attaquer cette adaptation cinématographique autrement on n’y verra qu’un ovni inaccessible.

     

    Il faut le voir pour : Prendre rendez-vous chez le coiffeur.

  • A dangerous method

    aff.jpg

    Leur première rencontre fut celle d’un médecin avec son patient. Le Docteur Carl Jung (Michael Fassbender) est psychanalyste et a été amené à soigner Sabina Spielrein (Keira Knightley) qui souffre de crises d’hystérie mais la jeune femme cache également des talents insoupçonnés. On s’aperçoit en effet que malgré la maladie, elle développe un sens de l’observation et de l’analyse particulièrement aiguisé qui la destine à devenir à son tour une grande psychanalyste. Alors que les années passent, Sabrina & Carl sont restés en d’excellents rapports et si à certains regards elle est encore considérée comme la patiente du médecin, leur relation va prendre un chemin bien plus passionné ! Un témoin privilégié va d’ailleurs assister à la naissance de ce couple, un certain Sigmund Freud (Viggo Mortensen).

    01.jpg

    David Cronenberg à la caméra, un trio de comédiens composé de Keira Knightley, Viggo Mortensen & Michael Fassbender ; on se dit donc qu’on ne peut pas être déçu et c’est justement là qu’on a une énorme et surtout mauvaise surprise. C’est sur que je ne m’attendais pas à ce que A dangerous method me fasse frissonner de plaisir mais alors de là à mourir d’ennui ! Ce film c’est 90% de dialogues qui n’auront que peu d’intérêt pour le commun des mortels et il vous faudra prendre votre mal en patience avant de voir défiler le générique de fin. Si la performance de Knightley parvient pendant un temps à capter notre attention, on en vient vite à l’occulter tant le film nous endort.

     

    Il faut le voir pour : Choisir une méthode plus douce !