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kathryn hahn

  • The visit

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    Cela fait des années qu'elle (Kathryn Hahn) est en froid avec ses parents mais les choses pourraient prochainement s’améliorer. C’est du moins ce qu’espèrent ses enfants Becca & Tyler (Olivia DeJonge & Ed Oxenbould) qui vont avoir l’occasion de passer une semaine avec des grands-parents qu’ils n’ont jamais vu. Passionnée de cinéma, Becca profite de cette occasion pour tourner un documentaire sur cette éventuelle réconciliation mais elle est loin de se douter que cette visite sera riche en événements. Les enfants vont en effet constater que leurs Grands-parents (Deanna Dunagan & Peter McRobbie) font parfois preuve de comportements suspects.

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    The visit commence comme beaucoup de films d’épouvante-horreur qui plus est adoptant une réalisation en found-footage. A ce moment-là difficile alors de deviner que celui qui se cache derrière la caméra n'est autre que Night Shyamalan, le roi des twists qui n’est pas prêt de lâcher sa couronne. On est donc assez surpris de le retrouver dans ce genre d'exercice même si ça se ressent au niveau de la mise en scène bien plus soignée que la moyenne. On retrouve ainsi un niveau d'angoisse allant grandissant associé à quelques notes d'humour sans oublier la petite surprise du chef (assez prévisible) ; un film qui fonctionne bien donc mais vu le réalisateur on attendait bien plus !

     

    Il faut le voir pour : Demander à vos enfants de nettoyer le four !

  • A la poursuite de demain

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    Pour que son père conserve son travail, notre pote Casey (Britt Robertson) est prête à tout même si pour cela elle doit défier la loi. Il n'est donc pas étonnant de la retrouver au poste de police et c'est là qu'elle découvre un mystérieux pin's parmi ses affaires. Mystérieux parce que dès que Casey le touche, elle se retrouve dans un autre monde futuriste. Avec l'aide de son petit frère Nathan (Pierce Gagnon), elle cherche à en apprendre plus sur ce pin's ce qui va la conduire dans un magasin situé à Houston. Alors qu'elle pensait déjà vivre de drôles d'aventures, elle va se rendre compte que ce n'est que le débit avec l'apparition d'Athena (Raffey Cassidy), une petite fille loin d’être ordinaire !

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    Derrière les caméras on retrouve Brad Bird, l'ancien de chez Pixar qui a su convaincre avec son Mission : Impossible - Protocole fantôme. A la poursuite de demain est un projet ambitieux du coté de chez Disney (adaptation d'une attraction du parc !) au point que le réalisateur déclinera même l'invitation de relancer la franchise Star Wars mais il se consolera avec un gros clin d’œil. L'univers futuriste a de quoi nous faire rêver mais en dehors d'une visite en métro, d'envolées en jet-pack ou de quelques robots ; on reste finalement sur notre faim. Ça reste un film Disney qui tente de plaire au plus large des publics même si pour les plus jeunes ça risque d’être un peu lourd.

     

    Il faut le voir pour : Fouiller dans vos anciens Pin's !

  • Broadway therapy

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    Les belles histoires sont faites pour être racontées et c’est en quelque sorte ce qui est arrivé à notre pote Isabella Patterson (Imogen Poots). Si aujourd’hui elle est devenue une comédienne à Broadway, elle n’a pas vraiment suivi un parcours classique. En fait tout a commencé lorsque le metteur en scène Arnold Albertson (Owen Wilson) est arrivé à New York pour sa pièce et voulait profiter de l’absence de sa femme Delta (Kathryn Hahn). Il voulait passer une agréable soirée et a donc fait appel à une escort girl et c’est ainsi que Isabella a fait sa connaissance, une rencontre durant laquelle la jeune femme va avoir une véritable révélation !

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    Sous la forme d’un film choral, ce Broadway therapy vous fera sans doute penser au cinéma de Woody Allen. Le réalisateur Peter Bogdanovich entend surtout rendre un hommage au Screwball comedy, genre populaire dans les États-Unis des années 1930-40 ce qui nous donne un film bien dynamique. Une galerie de personnages hauts en couleur, des situations rocambolesques voire improbables tout cela sans temps mort s’il vous plait. Bref, on ne s’ennuie pas malgré tout ce film laisse un gout amer à travers cette impression de superficialité qui se dégage ce qui ne devrait pas plaire à tout le monde.

     

    Il faut le voir pour : Retenir la réplique "Donner des écureuils aux noix" pour draguer !

  • La vie rêvée de Walter Mitty

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    La semaine débute par une triste nouvelle, Life a été racheté et le célèbre magazine va prochainement laisser place à une version numérique. Un changement radical qui va affecter les employés parmi lesquels se trouve notre pote le doux rêveur Walter Mitty (Ben Stiller), responsable du service des négatifs. Pour l’ultime numéro qui paraitra en kiosque, la couverture est déjà choisie : ce sera la photo 25 envoyée par Sean O’Connell (Sean Penn) considéré comme la quintessence de la vie. Problème ; cette photo est introuvable et Sean se trouve on ne sait où dans le monde. Pour retrouver ce fameux cliché, Walter qui n’a jamais voyagé que dans sa tête va devoir débuter une longue aventure et ça commence par le Groenland !

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    Pour sa 5ème réalisation, Ben Stiller adapte une nouvelle de James Thurber (qui a déjà fait l’objet d’un film en 1947) et s’offre par la même occasion le rôle principal de ce héros au cœur tendre. L’idée de doter ce personnage de la capacité à vivre ses rêves éveillé donne lieu à quelques scènes plutôt amusantes comme cette parodie de Benjamin Button. Reste que ce qui caractérise d’abord La vie rêvée de Walter Mitty c’est cette aventure où il part à la conquête de lui-même. On passe assurément un bon moment mais on ne peut pas non plus s’empêcher de se dire qu’on reste sur notre faim. Cette ouverture au monde aurait pu donner naissance à une odyssée enivrante au lieu de quoi la magie tourne court d’autant qu’elle est entrecoupée de façon un peu abrupte.

     

    Il faut le voir pour : Préparer un gâteau à la mandarine pour votre prochain voyage !

  • Les Miller, une famille en herbe

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    Les années passent et rien ne change réellement pour notre pote David (Jason Sudeikis) qui continue à dealer de l’herbe à gauche et à droite. Malheureusement pour lui, en voulant aider son jeune voisin Kenny (Will Poulter), il se fait piquer toute sa marchandise ainsi que ses économies par une bande. Avec une dette de 43 000 dollars, il n’a d’autres choix que d’accepter ce que lui propose son fournisseur Brad (Ed Helms) : aller au Mexique et faire la mule pour rapporter un chouïa (et demi) d’herbe. Pour passer inaperçu, il a un plan extraordinaire qui consiste à faire croire qu’il voyage en famille et c’est ainsi qu’il va recruter Rose (Jennifer Aniston), une voisine strip-teaseuse, Casey (Emma Roberts) une SDF qui ne quitte pas son Iphone & … Kenny.

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    Un petit road-trip des Etats-Unis au Mexique en caravane, ça peut paraitre monotone mais ça se voit que vous ne connaissez pas encore Les Miller, une famille en herbe. Crée de toute pièce, cette "famille" va provoquer pas mal d’imbroglios et déclencher ainsi de bonnes tranches de rigolades en compagnie de Jennifer Aniston & Jason Sudeikis qui s’étaient déjà croisé dans le marrant Comment tuer son boss. Si la comédie de Rawson Marshall Thurber (Dodgeball) ne resplendit pas par son scénario expédié et des personnages assez formatés (le simple d’esprit, la jeune rebelle …), la bonne humeur qui s’affiche à l’écran est communicative. Comme quoi on n’a pas toujours besoin de fumer pour passer un bon moment !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à mieux dessiner les skateboards !

  • Peace, Love et plus si affinités

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    C’est signé et désormais officiel, nos potes Linda & George (Jennifer Aniston & Paul Rudd) sont maintenant propriétaires d’un studio à West Village, New-York. Un bonheur qui sera pourtant de courte durée puisque la société de George est sous le coup d’une saisie judiciaire et qu’il se retrouve du jour au lendemain sans job. N’ayant pas plus les moyens financiers de payer leur loyer, ils n’ont d’autres choix que d’aller vivre à Atlanta, chez Rick (Ken Marino), le beau-frère de Linda. Le trajet s’éternise et le couple décide de s’octroyer une petite pause en Géorgie, c’est ainsi qu’ils découvrent l’Elysium. Il s’agit d’une communauté d’hippies - eux préfèrent le terme de congrégation intentionnelle - avec un mode de vie complètement différent.

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    Ils s’étaient croisés le temps de quelques épisodes sur le plateau de la série Friends, Jennifer Aniston & Paul Rudd se retrouvent aujourd’hui pour une comédie qui ne vole pas bien haut. L’Elysium est un lieu où chacun peut trouver sa place et où aucune porte ne vous sera fermée, de quoi provoquer quelques situations cocasses et vous arracher les sourires. On s’amuse aussi devant l’audace de certaines scènes notamment celles impliquant Wayne, le nudiste viticulteur  ce qui a probablement taper dans l’œil de Judd Apatow ici producteur. S’il y a de bonnes idées parsemées comme le couple Marisa / Rick ou encore l’apparition en guest de Ray Liotta ; Peace, Love et plus si affinités manque de rythme et d’humour si bien qu’on s’en lasse vite !

     

    Il faut le voir pour : Enlever la porte de vos toilettes, il y a des moments qu’il faut apprendre à partager !