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jean-pierre jeunet

  • L'extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S. Spivet

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    Bien qu’il n’ait que 10 ans, notre pote T.S. Spivet (Kyle Catlett) est déjà un véritable génie. Il suffit de jeter un œil sur la roue à mouvement perpétuel qu’il a mis au point pour s’en convaincre et d’ailleurs cette invention a tapé dans l’œil du Smithsonian qui souhaite l’honorer. Plutôt flatté, le jeune garçon s’est bien gardé de leur avouer qu’il n’était encore qu’un enfant et accepte donc leur invitation. Un grand voyage est donc sur le point de commencer pour T.S. qui va quitter son ranch du Montana pour se rendre par ses propres moyens à Washington puisqu’il ne va rien dire à sa famille.  C’est aux premières heures de la journée qu’il quitte sa maison pour embarquer dans un train qui va le conduire jusqu’à Chicago.

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    C’est l’adaptation d’un roman de Reif Larsen qui a conduit une nouvelle fois Jean-Pierre Jeunet hors de nos frontières. Pas de surprises, on retrouve la patte du réalisateur français mais justement on espérait quelque chose de plus avec L'extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S. Spivet. Déjà on nous promettait un voyage extraordinaire mais qui finalement reste très terre-à-terre, un sentiment amplifié par des personnages principaux comme secondaires peu séduisants. Le jeune Kyle Catlett qui fait ses premiers pas en tant qu’acteur ne brille pas particulièrement et l’émouvante relation entre les 2 frères qui aurait pu sauver le film passe finalement inaperçu. Décevant.

     

    Il faut le voir pour : Penser à prendre une photo avec les chauffeurs routiers qui vous prennent en stop !

  • L'Extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S. Spivet

    Derrière L'Extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S. Spivet se cache un film français oui madame ! C'est Jean-Pierre Jeunet qui tient la caméra et quand on sait ça on a vraiment hâte de découvrir ce qu'il va faire avec ce petit garçon qui devra traverser les Etats-Unis pour aller chercher une récompense et mon petit doigt me dit qu'il va y avoir de l'aventure !

    Date de sortie : 16 Octobre 2013


  • Alien, la résurrection

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    Même dans la mort, le Lieutenant Ellen Ripley (Sigourney Weaver) ne parvient pas à trouver le repos ! 200 ans après avoir péri sur Fiorina 161, une équipe de scientifiques de l’USM Auriga est enfin parvenu un clone parfait avec un objectif bien particulier : récupérer la reine alien qui sommeillait dans son corps. Au même moment, le vaisseau spatial Betty est à l’approche; à son bord 7 mercenaires venu dans un but bien précis mais ils ignorent qu’ils viennent de pénétrer en enfer ! Les scientifiques ont déjà donné naissance à 12 aliens et pensaient avoir les capacités de les contenir mais c’est mal les connaitre, ils parviennent à s’échapper. Ripley va devoir reprendre les armes mais depuis qu’elle a enfanté la reine elle n’est plus la même ; elle a en effet développé de drôles d’aptitudes.

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    Sans chauvinisme aucun, on peut déjà être fier que Jean-Pierre Jeunet se soit vu proposer de participer à l’aventure Alien. Succédant à des réalisateurs prestigieux, il devait tout de même avoir une certaine pression sur les épaules mais relève de belle manière le défi hollywoodien. Plus forte que la mort, Sigourney Weaver est plus présente que jamais et plutôt 8 fois qu’une ! On redécouvre le personnage qui apparait plus détaché conséquence de son évolution inattendue qui va même redéfinir la créature légendaire. Un épisode qui remet l’action au centre des débats avec notamment une belle scène sous-marine, il n’y a que cette humanisation de l’alien qui peut nous laisser un peu perplexe autrement Alien, la résurrection tient ses promesses.

     

    La scène à ne pas louper : La découverte des clones de Ripley.


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  • Micmacs à tire-larigot

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    Il y a exactement 30 ans, Bazil (Dany Boon) perdait son père terrassé par une mine anti-personnelle. Lui a eu plus de chances (enfin si on peut dire), il a été témoin d’un règlement de comptes et reçu une balle en pleine tête mais est toujours vivant. Malheureusement, son accident a eu d’autres répercussions puisqu’il se retrouve désormais à la rue et sans travail. Si dans un premier temps, il se débrouille seul il va ensuite rejoindre Placard (Jean-Pierre Marielle) et ses potes d’enfance, des marginaux qui se sont organisés. Un jour, Bazil se retrouve face à la cause de ses malheurs ; les marchands d’arme La vigilante de l’armement et Les arsenaux d’Aubervilliers.

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    On le sait désormais, les films de Jean-Pierre Jeunet ont cette incroyable faculté à nous transporter dans un tout autre univers et celui-ci ne déroge pas à la règle. Impossible de rester de marbre devant l’innocence de Bazil ou encore avec la facétieuse troupe de Placard, galerie de personnages vraiment insolites. Le charme aurait été complet si le scénario de Micmacs à tire-larigot ne nous semblait pas aussi paresseux. La bande à Bazil qui font des pieds et des mains pour se faire confronter deux méchants marchands d’arme, on a vu mieux. On ressort donc de la salle avec une pointe de déception même si le voyage était agréable.



    Il faut le voir pour : Rester sur vos gardes lorsque vous ouvrez votre réfrigérateur.