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kevin durand

  • Captives

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    Comme chaque semaine, notre pote Matthew Lane (Ryan Reynolds) ramène sa fille Cassandra (Peyton Kennedy / Alexia Fast) de son entrainement de patinage. Ce jour-là, il s’est arrêté quelques minutes afin d’acheter une tarte mais lorsqu’il est retourné à sa voiture, sa fille s’était volatilisée. La panique puis le désespoir s’emparent de Matthew et de sa femme Tina (Mireille Enos), des parents qui souffriront huit années durant. Un jour, l’espoir renait lorsque l’équipe de l’inspectrice Nicole Dunlop (Rosario Dawnson) chargée de l’enquête leur annonce qu’ils ont retrouvé Cassandra.

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    Si le sujet abordé nous évoque le Prisoners de Denis Villeneuve, le réalisateur canadien Atom Egoyan offre un tout autre déroulement à cette affaire d’enlèvement d’enfant. Usant ellipses et flashbacks, l’histoire se dévoile à nous avec une certaine confusion contribuant également à ôter toute tension à Captives. Ne reste alors plus qu’au spectateur à suivre sans grande passion la détresse de notre pote Ryan Reynolds avec même quelques situations qui paraissent peu crédibles. Loin de se montrer captivant, c’est un thriller au rythme proche de la somnolence et la frontière avec l’ennui est mince !

     

    Il faut le voir pour : Ne plus laisser votre enfant seul dans la voiture !

  • Fruitvale station

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    31 Décembre 2008. C’est une longue journée qui attend notre pote Oscar Grant (Michael B. Jordan) puisque outre les festivités de la nouvelle année, il doit surtout préparer l’anniversaire de sa mère Wanda (Octavia Spencer). Après avoir déposé sa petite fille Tatiana (Ariana Neal), il part faire les courses et tente par la même occasion de convaincre son ancien employeur de le reprendre. Ce sera peine perdue et notre pote Oscar se retrouve dans une situation financière désastreuse. Il pourrait se renflouer en écoulant la drogue qu’il a chez lui mais il a décidé d’arrêter les conneries et de rentrer dans le droit chemin cependant cette nuit de la Saint-Sylvestre va lui être fatal.

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    C’est un terrible fait-divers qui avait secoué la ville de San Francisco. Dans les premières heures de l’année 2009, un père de famille de 22 ans meurt après un coup de feu tiré par un policier. Fruitvale station débute par cette vidéo authentique incroyable qui nous propulse comme témoin de la scène avant de reconstituer la journée d’Oscar Grant. C’est vrai que Michael B. Jordan est impeccable dans ce rôle mais ce qui est assez gênant c’est de voir son personnage présenté de sorte à susciter l’empathie du spectateur. C’est un homme qui a décidé de reprendre sérieusement  sa vie en mains, qui n’hésite pas à appeler sa grand-mère pour conseiller une cliente ou encore adoré par les enfants. La seule nuance apportée à ce portrait c’est ce flash-back en prison dont on ne sait finalement que peu de choses.

     

    Il faut le voir pour : Prendre votre voiture pour sortir !

  • The mortal instruments : La cité des ténèbres

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    Alors qu’elle vient de fêter ses 15 ans, Clary (Lily Collins) est victime de drôles d’hallucinations ces derniers temps. Il y a d’abord cet étrange symbole qu’elle voit partout et puis lorsqu’elle était dans cette boite de nuit avec son pote d’enfance Simon (Robert Sheehan) ; elle est persuadée d’avoir assisté à un meurtre. Tout porte à croire qu’elle est devenue folle mais la vérité est qu’elle n’est pas humaine puisque sa mère Jocelyn (Lena Headey) est ce qu’on appelle une chasseuse d’ombres. D’ailleurs, cette dernière disparait après avoir été attaquée par les hommes d’un certain Valentin (Jonathan Rhys Meyers) à la recherche d’une précieuse coupe. Avec l’aide de Jace (Jamie Campbell Bower) lui aussi chasseur d’ombres, Clary va tenter de la retrouver.

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    Toujours en quête d’une saga qui pourrait succéder à Twilight, se présente cette fois devant nous The mortal instruments : La cité des ténèbres adapté du roman de Cassandra Clare. Ici, il y aura également vampires et loups-garous mais ils joueront un rôle plus secondaire face aux chasseurs d’ombres et les démons pouvant prendre n’importe quelle apparence. Là aussi se forme un triangle amoureux sauf qu’une sacrée révélation va tout chambouler, il y a un peu plus d’action qu’à l’accoutumée mais la réalisation est assez confuse et le tout finit par être insipide. Et puis quelle déception de voir Robert Sheehan (le Nathan de Misfits) dans ce rôle de seconde zone ! A réserver aux lecteurs du roman et encore …

     

    Il faut le voir pour : Ecouter plus souvent du Jean-Sébastien Bach, on ne sait jamais !

  • Resident Evil : Retribution

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    Verra-t-elle un jour la fin de ce cauchemar ? Notre pote Alice (Milla Jovovich) se retrouve de nouveau prisonnière d’Umbrella Corporation et sans une aide providentielle, elle le serait encore à l’heure actuelle. Quelqu’un a provoqué une panne de système ce qui lui a permis de s’échapper et elle va rapidement découvrir l’identité de son sauveur. Il s’agit de Wesker (Shawn Roberts) et il a besoin d’Alice car celle-ci possède une arme capable de sauver l’humanité entière ; encore faut-il qu’elle puisse s’échapper de ce complexe. Non content de recevoir l’appui d’Ada Wong (Bingbing Li), une équipe est également envoyée à sa rescousse.  Bien entendu, la Reine rouge ne va pas rester les bras croisés et lance à leur poursuite une Jill Valentine (Sienna Guillory) toujours possédée.

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    On reste dans la continuité que ce soit au niveau du scénario ou dans la réalisation ; les films se suivent et se ressemblent si bien que sans qu’on s’en rende compte on atteint déjà le 5ème volet. Pour les nouveaux venus, vous aurez droit à un petit résumé afin de mieux profiter de Resident Evil : Retribution. Ca fait longtemps que la saga a perdu toute notion d’intrigue et cet épisode en est un flagrant exemple où l’on se contente de nous asséner des scènes d’action. La formule avait plus ou moins bien marché dans les 2 volets précédents mais ici ça commence sérieusement à s’essouffler. Reprenant quelques séquences introduites précédemment, on a même l’impression que Paul W.S. Anderson nous sert un best of -attendez le terme de pot pourri est plus approprié- remixé avant sa future conclusion. Et oui suite et fin au prochain épisode. Ça sent l’argent facile tout ça !

     

    Il faut le voir pour : S’offrir un tour du monde en quelques minutes.


    En savoir plus sur Resident Evil Afterlife ?

    En savoir plus sur Resident Evil Retribution ?

  • Cosmopolis

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    Alors que toute la ville de Manhattan est paralysée dans le cadre de la prochaine visite du Président des Etats-Unis, notre pote Eric Packer (Robert Pattinson) ressent le besoin d’une nouvelle coupe de cheveux. Ce riche trader s’installe alors dans sa luxueuse limousine où il a le loisir de recevoir toutes sortes de visites aussi bien professionnelles que d’ordre plus privé. Sur le chemin et tout autour de lui, on assiste à la décomposition d’une société ; les manifestations se multiplient dans les rues et des rats devenus le symbole de ce mécontentement sont exhibés. Eric n’a toutefois pas à s’inquiéter puisqu’il est entouré d’un service de sécurité efficace mené par Torval (Kevin Durand) mais c’est une journée où tout peut arriver.

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    La majorité des spectateurs ne verront pas plus loin qu’une simple masturbation intellectuelle délaissant l’esthétisme de la réalisation de David Cronenberg. Pamphlet à l’encontre du capitalisme qui gangrène notre société, on est censé assister à la déliquescence de notre monde mais tout ce qui ressort ce ne sont que de longues conversations. Cosmopolis est un film constitué à 95 % de dialogues ciselés et il est difficile pour ceux qui, comme moi, ne connaissent pas le livre d’apprécier ou simplement de supporter cela. Il est certainement préférable de lire ce célèbre roman de Don DeLillo avant d’attaquer cette adaptation cinématographique autrement on n’y verra qu’un ovni inaccessible.

     

    Il faut le voir pour : Prendre rendez-vous chez le coiffeur.

  • Real Steel

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    Nous sommes en 2020. Charlie Kenton (Hugh Jackman) est un ancien boxeur qui s’est reconverti bien malgré lui dans la boxe de robots, le must du divertissement. Malheureusement pour lui, le succès n’est pas au rendez-vous car après avoir perdu Ambush, sa récente acquisition Noisy Boy s’est également fait massacré.  Entre-temps, il a pris la garde de son fils Max (Dakota Goyo), 11 ans le temps d’un été en échange de 100 000 dollars. Entre les deux, c’est loin d’être l’amour fou mais leur passion commune pour les robots va les réunir et les conduire jusqu’au championnat du Real Steel. Ils trouvent en effet par hasard un vieux robot du nom d’Atom qui va s’imposer au fil du temps comme un sérieux challenger allant jusqu’à défier le champion incontesté Zeus.

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    C’est vrai que c’est un drôle de projet dans lequel s’est engagé Hugh Jackman avec des combats de robots boxeurs mais on se laisse vite entrainer dans l’histoire. La réussite de Real Steel tient d’abord au fait d’avoir réussi à créer un véritable univers particulièrement attractif (du moins pour la gente masculine, les femmes iront surtout voir Jackman). Pas de temps mort, des combats percutants et un Dakota Goyo qui n’a vraiment pas froid aux yeux font de ce film un agréable divertissement ! Une bonne surprise de la part du réalisateur Shawn Levy que l’on connaissait essentiellement pour des comédies (Crazy Night, La nuit au musée …).

     

    Il faut le voir pour : Continuer de jouer aux robots avec votre fils !

  • Numéro quatre

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    En apparence notre pote John Smith (Alex Pettyfer) a tout du lycéen ordinaire mais en réalité ce jeune homme est en fait un extraterrestre originaire de Lorien. Cette planète fut dévastée par les Mogadoriens et il ne reste aujourd’hui plus que 9 rescapés qui ont trouvé refuge sur Terre. Trois d’entre eux ont déjà été traqués et tués par les mogs et John est le numéro 4, il est leur prochaine cible. Pour garder son identité secrète, John et son protecteur Henri (Timothy Olyphant) ont donc été forcés de déménager une fois encore et c’est cette fois dans l’Ohio qu’ils atterrissent. Cependant, leur couverture va vite disparaitre car John a la fâcheuse tendance à se faire remarquer partout où il passe !

    cinéma, film, action, adaptation, numéro quatre, Alex Pettyfer, Timothy Olyphant, Teresa Palmer,

    En parcourant le scénario, on se disait que Numéro quatre avait un bon potentiel pour s’imposer dans le cinéma d’action. On déchante rapidement car en dehors des 5 premières minutes et du dernier quart d’heure, il ne se passe rien ! Ah, si tout de même on a droit aux états d’âmes d’une pâle copie de Clark Kent qui se désespère de sa solitude mais qui trouvera toutefois le bonheur dans les bras d’une belle blonde. On se croirait dans un mauvais épisode de Smallville et on ne croit pas si bien dire puisque c’est le duo Alfred Gough & Miles Millar (ba justement les scénaristes de la série) qui se sont chargés d’adapter le roman de Pittacus Lore sur le grand écran. Un film qu’on laissera de coté sans grands regrets.

     

    Il faut le voir pour : Se dire qu’on a eu de la chance d’échapper aux 3 premiers !