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  • Batman V Supeman : L'aube de la justice

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    L'apparition du super-héros Superman (Henry Cavill) est-elle réellement une bénédiction ? C'est la question qui se pose actuellement et la réponse est toute trouvée pour notre pote Bruce Wayne (Ben Affleck) qui se cache également derrière le masque de Batman. Lors du combat entre le Général Zod (Michael Shannon), ce riche héritier a pu constater tous les dégâts mais aussi les victimes collatérales engendrés par Superman, un être dangereux dont les pouvoirs pourraient décimer l'humanité. Bruce cherche donc un moyen de le neutraliser et c'est par l'intermédiaire de Lex Luthor (Jesse Eisenberg) qu'il va trouver la solution. Un morceau de kryptonite a en effet été découvert et ce matériau semble être la seule faiblesse de l'homme d'acier.

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    C'est la réunion que les fans de DC Comics attendaient ; les 2 figures emblématiques de la maison d'édition se retrouvent enfin sur le grand écran. Le justicier de Gotham City attire les regards puisque Ben Affleck porte le masque pour la première fois et ne nous fera pas oublier Christian Bale. L'intérêt de Batman V Supeman : L'aube de la justice réside surtout sur cette confrontation qui tient ses promesses et où Wonder Woman vient aussi taper l'incruste. Enfin, il faut quand même se coltiner 1H30 loin de se montrer extraordinaire et durant lesquels le show de Jesse Eisenberg finit par nous taper sur les nerfs. Le film de Zack Snyder est un bon divertissement que l'on soit fan ou non de ces héros et qui préfigure de prochaines aventures avec la réunion de la Justice League mais qui propose peu de surprises.

     


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  • Big eyes

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    1958. Une nouvelle vie commence pour notre pote Margaret (Amy Adams) qui s'est enfuie avec sa fille Jane (Delaney Raye / Madeleine Arthur) abandonnant derrière elle son mari. Sa passion pour la peinture va lui permettre de faire la connaissance de Walter Keane (Christoph Waltz) qui deviendra assez vite son nouvel époux. Tous deux tentent de faire connaître leurs œuvres et c'est d'abord dans un bar qu'ils seront exposés marquant le début de leur succès. Les peintures de Margaret sont reconnaissables au premier coup d’œil et deviennent célèbres mais en beau-parleur qu'il est, Walter va réussir à faire croire qu'il est l'auteur de ces œuvres. Une imposture qui durera plus de 10 ans !

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    Incroyable histoire que celle de l’artiste Margaret Keane. Big eyes rétablit ainsi une vérité aux yeux du monde tout en rendant hommage à cette femme dominée par l'ombre imposante de son mari. Le casting est particulièrement réussi avec une Amy Adams juste parfaite et surtout un Christoph Waltz aussi prodigieux qu'il est exubérant. Ce duo crève littéralement l'écran et l'autre surprise vient du fait qu'il est difficile si ce n'est impossible de deviner que Tim Burton se cache derrière la caméra tellement ce film se différencie de ses précédentes réalisations. Sans nous en mettre plein les yeux, on a un tandem magnifique qui s'exprime à travers une histoire captivante.

     

    Il faut le voir pour : Demander à votre femme de se mettre à la peinture !

  • Her

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    C’est un fait, notre pote Theodore Twombly (Joaquin Phoenix) n’est pas au top de sa forme et a tendance à se renfermer sur lui-même. La cause de cela, c’est sa séparation avec sa pote d’enfance mais aussi sa femme Catherine (Rooney Mara) et le divorce n’est plus désormais qu’une question de temps. Ses amis tentent bien de lui présenter d’autres femmes mais rien n’y fait jusqu’au jour où il fait la connaissance avec Samantha (Scarlett Johansson) avec qui il reprend gout à la vie. Cela semble être le début d’une belle histoire cependant il faut savoir que Samantha n’est en fait que la voix de son système d’exploitation informatique !

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    La romance d’un homme avec son système d’exploitation ; un scénario qui prête à sourire mais c’est une réalité qui pourrait bien vite nous rattraper et qui a en tout cas permis de décrocher l’Oscar du meilleur scénario 2014. Her c’est d’abord la peinture d’une société totalement immergée dans une technologie toujours plus innovante jusqu’à absorber les émotions humaines rendant ainsi la frontière entre l’Homme et la machine encore plus floue. On ne peut pas non plus passer à coté de la jolie performance de Joaquin Phoenix qui réussit à nous transmettre toute sa mélancolie à travers ses doutes et sa solitude. Original et prenant, un film qu’il ne faut pas manquer !

     

    Il faut le voir pour : Surveiller ce que votre mec fait avec l’ordinateur.

  • American bluff

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    Fils de vitrier, notre pote Irving Rosenfeld (Christian Bale) a repris l’activité de son père mais s’est surtout diversifié en faisant l’acquisition de quelques pressings et surtout en montant de belles arnaques. Un jour, il rencontre Sydney Prosser (Amy Adams) et ça semble être un vrai coup de foudre à tel point qu’il décide de lui révéler toute la vérité sur ses activités. Il trouve ainsi non seulement l’amour mais aussi une nouvelle partenaire qui va l’aider à monter ses combines. Le duo fonctionne à merveille jusqu’au moment où ils attirent dans leurs filets un certain Richie DiMaso (Bradley Cooper) qui se trouve être un agent de la CIA. Aussi incroyable que cela puisse paraitre, ça va être le début d’une improbable collaboration.

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    Inspiré en partie par une histoire vraie, American bluff brille d’abord par son beau casting puisqu’on retrouve autour de ce trio Robert De Niro, Jeremy Renner ou encore Jennifer Lawrence. Très vite cependant, le film de David O. Russel (Happiness Therapy, Fighter …) perd de son éclat car l’histoire s’étire sur 2H18 et, sans véritables rebondissements, il est difficile de ne pas trouver parfois le temps long. Même si la transformation de Bale est bluffante, qu’on prend plaisir (ça ne sera peut-être pas le cas pour tout le monde) à avoir le regard plongé dans le décolleté d’Adams ; on finit surtout par se dire qu’on est passé à coté de quelque chose qui aurait pu être bien plus fun.

     

    Il faut le voir pour : Vous demander si vous n’auriez rien oublié au pressing !

  • Man of steel

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    La planète Krypton se meurt et la fin est proche. Jor-El (Russel Crowe) le sait que trop bien et c’est pourquoi il a pris cette décision difficile d’envoyer son fils, à peine sorti du ventre de sa mère, vers une autre planète. C’est sur Terre qu’atterrira ce vaisseau, l’enfant sera alors recueilli par un couple de fermiers du Kansas Martha & Jonathan Kent (Diane Lane & Kevin Costner). C’est ainsi que débute l’histoire de Clark (Dylan Sprayberry / Cooper Timberline / Henry Cavill) mais ses origines extraterrestres combinées à l’influence du soleil lui confèrent des pouvoirs extraordinaires. Ce don il le mettra au service de l’humanité, un sauveur que tout le monde connaitra sous le nom de Superman !

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    Après l’essai de Bryan Singer qui sonnait comme un hommage aux aventures de feu Christopher Reeve, c’est Zack Snyder qui est maintenant chargé de redorer le blason de Superman. Visuellement, le lifting est incontestablement réussi, Man of steel délivre une vraie version modernisée de l’icône de DC mais sur le fonds il manque quelque chose. Le spectacle est là (Smallville & Metropolis en prennent un coup !) mais il y a une certaine froideur qui se dégage de ce héros; Henry Cavill a une belle carrure et c’est à peu près tout. En plus de ça la comparaison avec un certain Jésus-Christ est amusante au début mais devient vite gonflant pour ne pas dire gênant. Un bon divertissement mais qui manque vraiment d’humilité pour réellement mériter le titre de Super.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre que le blason de Superman n’est pas un S !

  • Les sorties du 09 Janvier

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    Top départ pour les soldes les potes et comme d’habitude tous les magasins vont être pris d’assaut alors le seul endroit pour se réfugier au calme ça reste encore le cinéma ! Un programme bien léger cette semaine. Alors qu’on vient de sacrer pour la 4ème fois consécutive Lionel Messi avec un Ballon d’or, les footeux jetteront certainement un œil à Comme un lion. Mytri Attal y incarne un jeune sénégalais féru de ballon rond et qui espère être repéré et rejoindre un grand club pour aider financièrement sa famille.

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  • Une nouvelle chance

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    Recruteur chez les Braves d’Atlanta, Gus Lobel (Clint Eastwood) a des années d’expérience derrière lui et sait repérer les futurs champions de baseball quand il en voit un ! Malheureusement pour lui, il se découvre une vue défaillante, un terrible handicap pour son travail d’autant plus qu’on cherche à le remplacer. Son pote d’enfance Pete Klein (John Goodman) pressent qu’il y a quelque chose qui le dérange et demande ainsi à Mickey (Amy Adams), la fille de son ami de l’accompagner pour son prochain voyage en Caroline du Nord afin de superviser un certain Bo Gentry (Joe Massingill). Les relations entre Gus et sa fille ont été marquées par l’absence d’une femme et d’une mère trop vite disparue mais il y a aussi une profonde blessure qui les a longtemps tenus à distance.

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    Un Clint Eastwood irascible, on n’a pas déjà vu ça quelque part ? Ça deviendrait presque redondant mais quand en plus le scénario se permet d’y ajouter une rivalité ressassée entre les compétences d’un homme face à la technologie ça devient franchement gonflant. N’oublions pas non plus le personnage de Justin Timberlake qui a la panoplie complète du parfait gendre et qui revient miraculeusement pour le (attention spoiler !!) happy end de circonstance. Et puis le thème du baseball ne trouvera pas forcément un intérêt auprès des spectateurs qui ne donneront pas Une nouvelle chance à ce film.

     

    Il faut le voir pour : Visiter les hôtels pour trouver les champions de demain !

  • Sur la route

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    Après la mort de son père, notre pote Sal Paradise (Sam Riley) a vécu une longue traversée du désert et c’est une rencontre qui va le remettre en selle. Par l’intermédiaire de son pote d’enfance Carlo (Tom Sturridge), il va en effet être présenté à Dean (Garrett Hedlund) et de sa petite-amie Marylou (Kristen Stewart) et dès lors une belle & solide amitié va naitre. Commence alors des années de voyage pour Sal, une période qui va s’avérer inoubliable pour cet écrivain New-yorkais et qui va inspirer son plus célèbre roman. A partir des nombreuses notes qu’il a recueillies dans son petit carnet, il rédigera ainsi en quelques semaines un livre retraçant ses déplacements et surtout ses plus belles rencontres.

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    Romancier et pilier du mouvement littéraire nommé Beat génération, Jack Kerouac sortait en 1957 On the road, œuvre adaptée aujourd’hui sur le grand écran par Walter Salles. Préalablement à cette publication, il avait effectué un long périple et c’est exactement cette période de sa vie qui nous est présenté dans Sur la route. Embarqué sur les routes américaines de New-York à Denver en passant par la Californie, on est les témoins de la vie plus que dissolue menée par un sympathique duo Riley / Hedlund accompagné d’une Kristen Stewart autrement plus intéressante quand elle est loin de Twilight. Un road-trip qui sort un peu des sentiers battus mais on a malheureusement l’impression de refaire la même route à chaque fois, trop de longueurs donc pour nous enthousiasmer.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à baisser le cout de la vie !

  • Julie & Julia

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    Parce qu’elle a besoin de s’échapper de son quotidien morne et ennuyeux, notre pote Julie Powell (Amy Adams) a décidé de créer un blog. Après avoir longuement cherché son thème de prédilection, elle en est venue à se lancer dans un incroyable projet : réaliser toutes les recettes d’un livre de cuisine rédigé par la célèbre Julia Child (Meryl Streep). Pour boucler tout cela, elle s’est fixé une échéance d’une année au cours de laquelle elle devra être capable de réaliser les 524 recettes du livre et de partager ses impressions sur son blog. Elle se dit alors qu’elle a trouvé là la recette du bonheur mais il lui faudra beaucoup de volonté pour réussir son projet.

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    Ce n’est pas un mais deux livres qui ont été adapté à l’occasion de ce film ; l’un consacré à Julia Child, une pionnière de la gastronomie américaine et l’autre à Julie Powell qui a participé aux premiers pas de la blogosphère. Difficile de ne pas avoir les papilles en éveil devant ce défilé de bons petits plats (sauf si le beurre vous écœure) d’autant plus quand c’est agrémenté d’une merveilleuse Meryl Streep et de son accent français. Pourtant, on frôle vite l’indigestion entre les allers-retours incessants de la vie de ces 2 femmes pas toujours très passionnants, Julie & Julia finit alors par perdre beaucoup de sa saveur. Pour les amateurs de cuisine, c’est un film sympathique qui s’essouffle malheureusement sur la longueur.

     

    Il faut le voir pour : Laisser des commentaires sur les blogs, ça fait toujours plaisir (sauf ceux de maman, ils ne comptent pas !)

  • Doute

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    St Nicholas est une école religieuse située dans le Bronx dirigée d’une main de fer par Sœur Aloysius Beauvier (Meryl Streep). Rien ne lui échappe et cette rigueur force l’admiration de Sœur James (Amy Adams) mais un évènement va venir bouleverser la vie tranquille de cet établissement. Lorsque l’un des élèves Donald Miller (Joseph Foster) est convoqué par le Père Flynn (Philip Seymour Hoffman) et qu’il revient avec un étrange comportement, les rumeurs soupçonneuses commencent à circuler. Pour Sœur Aloysius, il n’y a aucun doute sur ce qui s’est passé et cela est impardonnable ; la vérité doit éclater au grand jour !

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    Pas sur que le public se passionne pour un film qui se déroule dans le milieu religieux mais dont le sujet qu’il soulève (la pédophilie) est des plus délicats à aborder. A l’origine, Doute est une pièce de théâtre de John Patrick Shanley qui a connu un grand succès à Broadway et consacré par un prix Pulitzer en 2005. De cette adaptation cinématographique, on ne retiendra réellement que la confrontation entre Meryl Streep & Philip Seymour Hoffman qui vient donner un peu de caractère à ce drame. Pour le reste, même si on se laisse entrainer par l’histoire, il n’y a rien de bien passionnant et ça je vous le dis sans aucun doute !

     

    Il faut le voir pour : Découvrir la méthode pour avoir des yeux derrière la tête.