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  • Angry Birds - Le film

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    La fête d'anniversaire qu'il était chargé d'animer a tourné au fiasco et notre pote Red est dans l'obligation de suivre aujourd'hui un stage pour canaliser sa colère. Il n'est pas le seul dans ce cas puisqu'il se retrouve aux cotés de Chuck, Bomb & Terrence mais un événement va venir bouleverser la vie de l'ile des oiseaux. Un bateau accoste avec à son bord des cochons verts et immédiatement Red se montre très méfiant vis-à-vis de ces explorateurs. Sont-ils réellement des gens bons comme ils le prétendent ou cachent-ils quelque chose ? C'est ce que Red va tenter de découvrir mais le plus difficile sera de convaincre son entourage.

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    A moins de faire partie des résistants aux smartphones et tablettes numériques, le nom d'Angry birds ne doit pas vous être totalement inconnu. Il s'agit donc à la base d'un jeu pour mobiles qui aura pris une incroyable dimension jusqu'à se marier à des univers comme Transformers ou encore Star Wars. La franchise n'est pas prête de s'éteindre puisque la conquête se poursuit désormais à travers le grand écran avec ce film d'animation et Angry Birds - Le film réussit l'essentiel à savoir ne pas nous décevoir. Un univers hautement coloré, des graphismes séduisants, quelques références cinématographiques mêlées à des jeux de mots (les gens bons m'a marqué !) ; voilà une récréation qui devrait faire la joie des petits comme des grands.

     


    Il faut le voir pour : Éviter de boire l'eau d'un lac !

  • Gunman

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    Chargé de forer des puits pour une ONG, notre pote Jim Terrier (Sean Penn) a été soudainement pris pour cible par des hommes lourdement armés. Aussitôt il quitte le pays pour rejoindre Londres convaincu que cette attaque est tout sauf le fruit du hasard et cela doit avoir un lien avec des événements passés, Il se trouve en effet qu'il y a 8 ans Jim a exécuté le ministre des Mines de la République Démocratique du Congo plongeant à l'époque le pays à feu et à sang. Pour éclaircir cette histoire, il se rend à Londres auprès de Terry Cox (Mark Rylance) avant de s'envoler pour Barcelone où il retrouvera également une vieille connaissance Felix (Javier Bardem) mais aussi et surtout Annie (Jasmine Trinca), la femme qu'il a aimé et qu'il a été obligé de quitter.

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    Il s'était bien amusé avec Liam Neeson dans Taken, le réalisateur français Pierre Morel s'est trouvé une nouvelle victime en la personne de Sean Penn. Le comédien en profite d'ailleurs pour s'offrir son premier grand rôle d'action mais on ne gardera certainement pas un extraordinaire souvenir de Gunman. On n'est pas plus emballé par le scénario basique que par des personnages secondaires qui ont du mal à trouver leur place entre un Javier Bardem bien trop lisse et un Idris Elba dont la plus grande cascade sera d'allumer son briquet. Reste alors à se contenter des quelques scènes d'action qui ne montrent pas beaucoup plus d'inspirations bref un divertissement peu enthousiasmant.

     

    Il faut le voir pour : Éviter de surprendre votre femme en invitant son ex et en même temps ce sera certainement mieux pour vous !

  • La vie rêvée de Walter Mitty

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    La semaine débute par une triste nouvelle, Life a été racheté et le célèbre magazine va prochainement laisser place à une version numérique. Un changement radical qui va affecter les employés parmi lesquels se trouve notre pote le doux rêveur Walter Mitty (Ben Stiller), responsable du service des négatifs. Pour l’ultime numéro qui paraitra en kiosque, la couverture est déjà choisie : ce sera la photo 25 envoyée par Sean O’Connell (Sean Penn) considéré comme la quintessence de la vie. Problème ; cette photo est introuvable et Sean se trouve on ne sait où dans le monde. Pour retrouver ce fameux cliché, Walter qui n’a jamais voyagé que dans sa tête va devoir débuter une longue aventure et ça commence par le Groenland !

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    Pour sa 5ème réalisation, Ben Stiller adapte une nouvelle de James Thurber (qui a déjà fait l’objet d’un film en 1947) et s’offre par la même occasion le rôle principal de ce héros au cœur tendre. L’idée de doter ce personnage de la capacité à vivre ses rêves éveillé donne lieu à quelques scènes plutôt amusantes comme cette parodie de Benjamin Button. Reste que ce qui caractérise d’abord La vie rêvée de Walter Mitty c’est cette aventure où il part à la conquête de lui-même. On passe assurément un bon moment mais on ne peut pas non plus s’empêcher de se dire qu’on reste sur notre faim. Cette ouverture au monde aurait pu donner naissance à une odyssée enivrante au lieu de quoi la magie tourne court d’autant qu’elle est entrecoupée de façon un peu abrupte.

     

    Il faut le voir pour : Préparer un gâteau à la mandarine pour votre prochain voyage !

  • Gangster squad

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    1949, Los Angeles appartient à Mickey Cohen (Sean Penn) et tout le monde semble s’incliner devant son incroyable influence sauf l’irréductible Sergent John O’mara (Josh Brolin). Il est l’un des rares flics à avoir conservé son intégrité mais son combat contre le crime n’est-il pas vain ? Jusqu’à présent, il se sentait un peu seul jusqu’au jour où le Chef Bill Parker (Nick Nolte) lui propose de recruter quelques hommes afin de perturber autant que possible les activités de Cohen. Une brigade composée de potes d’enfance se forme et va se charger de nettoyer les rues de Los Angeles, ils partent en guerre mais gare aux représailles !

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    Un gangster qui a la mainmise sur Los Angeles et un super flic déterminé à faire respecter la loi, ce n’est pas l’originalité qui étouffera Gangster squad. Difficile de faire une histoire plus téléphonée que celle qui nous est proposée d’autant plus que la réalisation de notre pote Ruben Fleischer est correcte mais n’apporte rien d’exceptionnel. On se dit alors qu’il y a pas mal de gâchis surtout à la vue d’un casting pléthorique réunissant Sean Penn, Josh Brolin, Ryan Gosling, Nick Nolte et dans une moindre mesure Robert Patrick, Giovanni Ribisi, Michael Peña sans oublier Emma Stone en guise de potiche. Du beau monde mais un thriller ronronnant au point de se laisser parfois abandonner à l’ennui.

     

    Il faut le voir pour : Se demander si vous porteriez bien le chapeau ?

  • Woody Allen : a documentary

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    C’est dans les rues de Brooklyn qu’a grandit notre pote Allen Stewart Königsberg celui que le monde entier apprendra à connaitre sous le nom de Woody Allen ! Alors que ses camarades de classe s’engagent dans des carrières de médecin ou d’avocat, lui va construire sa réputation en écrivant des blagues. Il débute ainsi par être publié et très vite son potentiel comique séduit et le propulse sur le devant de la scène où ses premiers pas sont hésitants mais sa carrière est lancée. Après avoir participé à l’écriture du film Quoi de neuf, Pussycat ?, il devient ensuite réalisateur et en 1969 sort son tout premier long-métrage : Prends l’oseille et tire-toi.  40 ans plus tard, Woody Allen continue de séduire les spectateurs comme en témoigne le succès rencontré par son dernier film Minuit à Paris.

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    Que l’on connaisse ou non le réalisateur, Woody Allen : a documentary est justement là pour nous présenter une incroyable carrière jalonnée de succès mais aussi de déroutes. Biographie tout ce qu’il y a de plus chronologique, c’est l’occasion également de revoir quelques extraits de ses plus grands films de quoi vous donner envie de (re-)découvrir les œuvres comme Bananas, Manhattan ou Annie Hall. Un hommage qui se complète avec tous les artistes qui ont eu l’opportunité de travailler avec lui et qui ne manquent pas de louanges à son égard sans oublier les muses que sont Diane Keaton ou Mia Farrow. Un documentaire qui traine parfois en longueur mais incontournable pour les fans et instructif pour ceux qui connaissent peu ou pas l’homme et sa riche filmographie.

     

    Il faut le voir pour : Ressortir votre vieille machine à écrire, elle peut encore servir !

  • This must be the place

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    Il fut un temps où notre pote Cheyenne (Sean Penn) était une véritable rock star qui s’est même offert le luxe de chanter avec Mick Jagger ! Cette époque est désormais bien révolu, aujourd’hui il n’est plus que l’ombre de lui-même et se contente de gérer sa fortune investie en bourse. La musique est un lointain souvenir de sa vie, une passion enterrée par la disparition dramatique de 2 fans du chanteur ; un évènement qu’il ne s’est jamais pardonné. La vie de Cheyenne va de nouveau être bouleversée lorsqu’il apprend la mort de son père avec lequel il n’a pas parlé depuis près de 30 ans. Il se rend alors à New York pour lui rendre un dernier hommage et apprend à cette occasion que son père traquait un certain Aloise Lange (Heinz Lieven), un geôlier nazi.

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    Impossible de manquer le look de notre cher Sean Penn dans ce film à moins d’être myope comme une taupe. A l’image de l’apparence physique du personnage de Cheyenne, This must be the place inspire à la fois étonnement et perplexité. Certains parleront de la performance de l’acteur américain, cela ne saute pas forcément aux yeux car il ne se contente que d’arborer une tête de chien battu et de remettre en place sa mèche rebelle. En dehors de ça, pas grand-chose à retenir de ce road-movie sans grande consistance et qui laisse à penser que la place où vous devrez être n’est donc pas forcément devant ce film bien curieux et souvent fastidieux.

     

    Il faut le voir pour : Faire construire une grande piscine chez vous pour jouer au squash.

  • The Tree of life

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    Le Midwest dans les années 1950, c’est là où a grandit Jack (Hunter McCracken/ Sean Penn) entouré de ses parents et de ses 2 petits frères. De son enfance, il garde un souvenir très mitigé. Comme tous les garçons de son âge, il aimait s’amuser avec ses potes d’enfance mais devait faire face à la discipline de fer qu’avait instauré son Père (Brad Pitt). Ce dernier faisait tout pour endurcir rapidement ses fils et cela passait aussi bien par la réalisation des menus travaux au sein de la maison qu’en apprenant à se battre. En tant qu’ainé de la famille, Jack a subi de plein fouet cette autorité qui donnait parfois lieu à de véritables crises mais il pouvait toujours compter sur sa Mère (Jessica Chastain) pour le choyer.

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    Dites-vous bien que si vous arrivez avec un peu de retard à la séance, ce n’est pas bien grave car les 30 premières minutes sont pour le moins étranges. Sans trop en révéler, il y a de belles images et je ne m’attendais pas à voir des dinosaures débarquer dans ce prologue perturbant. Le réalisateur Terrence Malick n’a rien de commun avec les autres et le prouve une fois de plus avec The Tree of life fraichement récompensé de la Palme d’or 2011 à Cannes. Aucun doute, le film va diviser ; chef d’œuvre par son ambition et sa virtuosité à la caméra pour les uns ou bouillie métaphysique pour les autres. Une fois que l’histoire est véritablement lancée, on ne peut qu’être séduit par le jeu d’acteur et une réalisation maitrisée mais il y a une part abstraite dans cette œuvre qui sera peut-être très difficile à digérer.

     

    Il faut le voir pour : Dire à vos enfants que les grenouilles ne peuvent pas voler.

  • Fair Game

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    Au lendemain des attaques du 11 Septembre 2001, les Etats-Unis préparent activement leur riposte et toutes les agences secrètes sont sur le pied de guerre. Dans la vie publique Valérie Maple (Naomi Watts) travaille dans une société d’investissements mais en réalité, elle est membre de la prestigieuse CIA. Intervenant aux quatre coins du monde afin de prévenir la moindre menace terroriste, son réseau de contacts est immense. D’ailleurs, l’agence fait appel à son mari Joseph Wilson (Sean Penn), ancien diplomate pour une mission au Niger où l’on suspecte un trafic d’uranium avec l’Irak.

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    Pour justifier l’intervention américaine en Irak, on a beaucoup évoqué cette soi-disant présence d’Armes de Destruction Massive et Fair Game revient sur les prémices de cette annonce. Si le Maplegate est connu outre-Atlantique, on a beaucoup moins entendu parler chez nous de Valérie Maple sacrifiée sur l’autel de la propagande. Film plutôt passionnant détaillant ainsi les coulisses du pouvoir et l’habilité de celui-ci à diffuser des informations n’ayant pour seul but que de détourner l’attention des médias et surtout du grand public. A noter également la belle prestation de Sean Penn qui ne semble pas avoir eu à chercher bien loin son inspiration pour témoigner son mépris envers l’ancien gouvernement américain.

     

    Il faut le voir pour : Considérer vos potes qui travaillent dans des sociétés d’investissement d’un autre œil.

  • Harvey Milk

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    Au soir de son 40ème anniversaire, Harvey Milk (Sean Penn) fait une heureuse rencontre, celle de Scott Smith (James Franco). Il n’est alors que simple employé dans une compagnie d’assurances à New York où il prend toutes les précautions nécessaires pour cacher son homosexualité. Pour vivre pleinement leur relation, le couple part alors s’installer à San Francisco où ils ouvrent une boutique spécialisée dans la photo mais l’accueil est plutôt glacial. A partir de ce moment-là, le quartier de Castro devient le rendez-vous des homosexuels considérés alors comme des pestiférés et Harvey va alors s’engager jusqu’à devenir conseiller municipal.

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    Personnage emblématique de la communauté gay ; Harvey Milk était jusqu’à maintenant une figure peu connue chez nous mais l’Oscar du meilleur acteur remis à Sean Penn a changé la donne. Il fut le premier homosexuel à occuper une fonction officielle à San Francisco mais surtout il a permis la reconnaissance des siens en défendant leurs droits. Gus Van Sant retrace avec talent la vie extraordinaire de Milk et s’entoure d’une belle brochette de comédiens avec évidemment Sean Penn mais aussi James Franco & Emile Hirsch. Un film indispensable pour enrichir sa culture personnelle.

     

    Il faut le voir pour : Comprendre pourquoi crottes de chien et politique sont indissociables.

  • Into the wild

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    Jeune diplômé et étudiant modèle, Christopher McCandless (Emile Hirsch) était voué à un merveilleux avenir. Il aurait pu intégrer la prestigieuse école d’Harvard mais au lieu de ça, il a préféré partir à l’aventure, plaquant tout du jour au lendemain sans en informer quiconque. Après s’être débarrassé de toutes ses économies, de ses papiers d’identité ; il est monté à bord de sa vieille Datsun avec une idée précise en tête rejoindre l’Alaska ! Ce sera un long voyage, difficile parfois mais au cours de sa route ; il fera également de merveilleuses rencontres et surtout trouvera ce qu’il cherchait depuis toujours : vivre en communion avec la nature.

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    Adaptation d’un roman de Jon Krakauer qui décrit la véritable histoire de Christopher McCandless, un homme qui se sentait prisonnier de notre société. Il était de ceux qui refusaient l’idée de voir son destin dicté par les codes établis. Plutôt que de s’obstiner à démonter la machine qui nous transforme, Sean Penn réalise un vrai portrait de l’homme par sa philosophie et des images d’une nature toutes plus resplendissantes les unes que les autres. Into the wild dépasse le cadre du simple film pour nous offrir 2H30 d’évasion servi par un Emile Hirsch qui décroche l’un des rôles majeurs de sa carrière. Sans conteste l’un des bons films du moment, idéal pour s’échapper d’un morne et triste quotidien.

     

    Il faut le voir pour : Effectuer un retour aux sources.