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alan alda

  • Peace, Love et plus si affinités

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    C’est signé et désormais officiel, nos potes Linda & George (Jennifer Aniston & Paul Rudd) sont maintenant propriétaires d’un studio à West Village, New-York. Un bonheur qui sera pourtant de courte durée puisque la société de George est sous le coup d’une saisie judiciaire et qu’il se retrouve du jour au lendemain sans job. N’ayant pas plus les moyens financiers de payer leur loyer, ils n’ont d’autres choix que d’aller vivre à Atlanta, chez Rick (Ken Marino), le beau-frère de Linda. Le trajet s’éternise et le couple décide de s’octroyer une petite pause en Géorgie, c’est ainsi qu’ils découvrent l’Elysium. Il s’agit d’une communauté d’hippies - eux préfèrent le terme de congrégation intentionnelle - avec un mode de vie complètement différent.

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    Ils s’étaient croisés le temps de quelques épisodes sur le plateau de la série Friends, Jennifer Aniston & Paul Rudd se retrouvent aujourd’hui pour une comédie qui ne vole pas bien haut. L’Elysium est un lieu où chacun peut trouver sa place et où aucune porte ne vous sera fermée, de quoi provoquer quelques situations cocasses et vous arracher les sourires. On s’amuse aussi devant l’audace de certaines scènes notamment celles impliquant Wayne, le nudiste viticulteur  ce qui a probablement taper dans l’œil de Judd Apatow ici producteur. S’il y a de bonnes idées parsemées comme le couple Marisa / Rick ou encore l’apparition en guest de Ray Liotta ; Peace, Love et plus si affinités manque de rythme et d’humour si bien qu’on s’en lasse vite !

     

    Il faut le voir pour : Enlever la porte de vos toilettes, il y a des moments qu’il faut apprendre à partager !

  • Le casse de Central Park

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    The Tower, une résidence d’appartements luxueux où habite le gratin de New-York et c’est là que travaille notre pote Josh Kovacs (Ben Stiller). Il supervise tout de A à Z, toujours disponible pour répondre aux besoins des locataires et notamment d’Arthur Shaw (Alan Alda), magnat financier qui va bientôt faire la une des journaux. On le soupçonne en effet d’avoir organisé une immense fraude financière mais ce qui est encore plus inquiétant pour Josh, c’est qu’il lui avait confié les fonds de pension des retraites de l’ensemble des employés de la tour. La vérité est difficile à encaisser : ils se sont tous fait escroquer ! Se sentant responsable et parce qu’il a entendu dire que Shaw cacherait plus de 20 millions de dollars dans son appartement, il compte rétablir un semblant de justice.

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    Ce n’est pas pour jouer les chauvins mais le pitch de ce film rappelle un peu celui de La très très grande entreprise. Les similitudes ne vont pas plus loin puisque Le casse de Central Park joue dans une toute autre dimension et on attendait beaucoup du duo inédit Ben Stiller / Eddie Murphy. Le résultat ne sera pas à la hauteur car si cette comédie surfant sur la vague des scandales financiers et des investisseurs sans scrupules n’est pas déplaisante, elle peine par contre vraiment pour nous faire rire. On retiendra seulement la scène où la Ferrari de Steve McQueen fait un voyage mémorable dans cet immeuble sinon pas grand-chose d’autre à se mettre sous la dent. On est loin du casse de l’année !

     

    Il faut le voir pour : Monter votre voiture dans votre appartement comme ça vous êtes sur de pas vous la faire piquer !