Action ou Vérité
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A la base, notre pote Olivia (Lucy Hale) avait prévu d’aider les plus démunis en construisant des maisons mais Markie (Violett Beane) a elle d’autres projets. Il faut dire que c’est le Spring break et que ce sera certainement la dernière opportunité pour ces étudiantes de passer du temps ensemble. Olivia finit donc par se laisser convaincre et se rend au Mexique avec tous leurs potes d’enfance. Après avoir passé leur séjour à s’éclater sur les plages et à faire la fête, l’heure est déjà au retour. Alors qu’ils passent leur dernière nuit, ils vont faire la connaissance d’un certain Carter (Landon Liboiron). Ce dernier les invite à terminer la soirée dans une église abandonnée où ils vont s’amuser au jeu Action ou vérité. Ils ignorent alors qu’en faisant cela ils vont tous être frappés par une terrible malédiction !

Qui a dit que la créativité était morte à Hollywood ? A partir du simple jeu populaire qu’est Action ou Vérité, voilà qu’ils arrivent à nous pondre un film ! Le schéma est ultra-classique avec un groupe de jeunes qui ne demandaient qu’à s’amuser et qui va se retrouver avec un esprit malfaisant à leurs trousses. Comme trop souvent, tout ce qu’on nous propose c’est quelques jumps scares pour tenter de nous faire trembler sans grand succès mais là on peut au moins dire que c’est fait avec le sourire. Cela permettra au moins à Lucy Hale & Tyler Posey, plus habitués aux plateaux de série télé, d’étoffer leur filmographie. Reste maintenant à croiser les doigts pour l’arrivée d’un spin-off basé sur Cache-Cache, rien que l’idée m’emballe déjà !
Il faut le voir pour : Arrêter de suivre des inconnus !

















On pensait la franchise en panne sèche mais c’était sans compter sur Franck Gastambide qui s’attelle à cette suite et vient remettre les compteurs à zéro. Exit l’ancien casting en dehors des fidèles Bernard Farcy & Edouard Montoute, le jeune réalisateur s’entoure de ses potes de Pattaya à savoir Malik Bentalha, Sabrina Ouazani, Anouar Toubali ou encore Ramzy Bedia. Un lifting qui ne change cependant rien à ce qui définit la saga Taxi à savoir un scénario expédié pour mieux laisser place aux courses-poursuites, aux carambolages improbables tout cela saupoudré d’un humour déjà pas très subtil et qui n’hésite pas à prendre parfois le chemin du graveleux. Dans la lignée de ses prédécesseurs, Taxi 5 n’apporte strictement rien à une saga que certains d’entre nous ont mis sur le bord de la route depuis bien longtemps !