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annie grégorio

  • Les municipaux, ces héros

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    C’est un petit accident de voiture qui porte chance à notre pote Gilbert (Francis Ginibre) ! Il faut dire que celui qui lui est rentré dedans n’est pas n’importe qui ; il s’agit du Maire (Lionel Abelanski) de Port Vendres et celui-ci n’a plus de points sur son permis. En guise d’arrangement, il a donc proposé à Gilbert, qui cherchait un emploi et qui en plus ne sait rien faire, un job au sein des services municipaux. C’est ainsi qu’il se présente plein d’entrain pour sa première journée de travail et il va être pris en main par Christian (Eric Carrière), un syndiqué qui va lui apprendre toutes les ficelles du métier. Enfin, il va surtout lui apprendre à se la couler douce et à profiter des nombreux avantages que lui offre son nouvel emploi !

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    Eric Carrière et Francis Ginibre que l’on connait davantage sous le nom des Chevaliers du fiel reviennent au cinéma après Repas de famille et adaptent pour le grand écran un sketch né sur les planches puis décliné en série télévisée. N’étant pas du tout sensible à l’humour proposé par le duo toulousain, il y avait peu de chances que Les municipaux, ces héros parvienne à me séduire et il faut bien reconnaitre que les statistiques ne mentent pas ! Entre un Maire qui profite de sa position et les magouilles orchestrées par ses employés en passant par le conducteur de bus scolaire alcoolisé, tous les personnages sont caricaturés à l’extrême et de surcroit ils évoluent au sein d'une histoire inintéressante au possible. Une comédie qui ne m’aura pas arraché un seul sourire, les fans inconditionnels de ces artistes apprécieront peut-être davantage.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à prononcer " Miami " !

  • Bienvenue au gîte

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    Nos potes Caroline & Bertrand (Marina Foïs & Philippe Harel) ont décidé de se lancer un grand défi en quittant la vie parisienne pour s’occuper d’un gîte qu’ils ont racheté à Sophie (Sylvie Lachat). Les voilà ainsi installés en Provence et propriétaires de l’Apurimac mais à leur arrivée ils ont la mauvaise surprise de constater que Sophie s’est enfuie avec un homme dans les Balkans alors qu’elle devait assurer la transition. Heureusement pour Caroline & Bertrand qu'Angélique (Annie Grégorio) a su prendre le relais et c’est donc elle qui va leur enseigner les rudiments de la vie au gîte. Les débuts sont donc difficiles surtout qu’ils apprennent en plus qu’un autre gîte se trouve en ville mais celui-ci ne devrait pas représenter une trop grande concurrence.

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    Un couple de parisiens qui décident de s’installer en province pour reprendre un gîte, un scénario relativement simple pour un film qui ne l’est pas moins. On ne peut pas dire que l’on s’étouffe de rires avec Bienvenue au gîte (les seuls moments où j’ai vraiment rigolé sont avec le Père Robert) mais paradoxalement on ne peut pas dire qu'on s’ennuie non plus. On apprécie le duo Marina Foïs / Philippe Harel et surtout le sacré boxon qui règne autour d’eux avec des gays, des scouts, des anciens toxicos ou encore des mamies qui ne peuvent pas se passer de leurs micro-ondes. Une comédie qui ne laissera pas des souvenirs impérissables avec des personnages bien trop stéréotypés et un humour aux abonnés absents !

  • Un village presque parfait

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    Autrefois, Saint-Loin-La-Mauderne était un village prospère mais de mauvais choix et la crise sont passés par là. Aujourd'hui les habitants sont obligés d'aller en ville pour trouver du travail mais notre pote Germain (Didier Bourdon) n'entend pas baisser les bras aussi facilement. Il est parvenu à obtenir une aide de Bruxelles afin de financer l'ouverture d'une Scop mais avant cela le village doit se doter d'un médecin pour au moins 5 ans. Bien sur, les candidatures ne se bousculent pas au portillon mais ils réussiront tout de même à attirer Maxime (Lorànt Deutsch), reste maintenant à le convaincre de rester ce qui est loin d’être gagné !

     

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    Stéphane Meunier, ce nom doit forcément vous dire quelque chose (enfin surtout pour les amateurs de foot!) puisqu'il s'agit du réalisateur du documentaire Les yeux dans les bleus qui s'intéressait à la consécration des Bleus en 1998. Il signe ainsi sa première incursion au cinéma avec Un village presque parfait qui est en fait le remake d'un succès canadien La grande séduction. L'histoire est plutôt simple et aussi très prévisible rappelant un peu le schéma utilisé dans Bienvenue chez les Ch'tis sans pour autant abuser des bons sentiments. Une comédie simple sans prises de risques qui permet de passer un bon moment de détente.


    Il faut le voir pour : Vous mettre au cricket !

  • Brèves de comptoir

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    Il est 6H30, les premières lueurs du jour apparaissent et L’hirondelle ouvre ses portes. Ce petit bistrot sans prétentions est le rendez-vous quotidien de nombreux habitants du quartier comme la Moule (Régis Laspalès) à la mémoire courte, Pivert (François Morel) qui a à peine le temps de boire un coup ou encore la Postière (Anne Grégorio) qui ne manquerait pour rien au monde cette étape pour s’en jeter un. La journée est toujours animée pour le Patron & le Garçon (Didier Bénureau & Christian Pereira) qui se démènent derrière le bar tandis que la Patronne (Chantal Neuwirth) assure le service.

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    Il y a d’abord eu le livre, puis différentes adaptations au théâtre et c’est donc en toute logique que Brèves de comptoir s’invite maintenant au cinéma. Après les planches, Jean-Michel Ribes se charge lui-même de la transposition sur le grand écran toutefois on peut difficilement la considérer comme un film. Il faut surtout se dire qu’il s’agit d’une compilation de phrases, de pensées mis sommairement en images et surtout à considérer avec beaucoup de second degré. En fait, on pioche dedans comme on se plongerait dans un recueil de blagues mais tout le monde n’y trouvera pas son compte.

     

    Il faut le voir pour : Passer moins de temps au bistrot !