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Premières Impressions 2012 - Page 32

  • La vérité si je mens 3

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    Les affaires au Sentier ne sont plus ce qu’elles étaient et c’est pourquoi on retrouve désormais Eddie (Richard Anconina) et tous ses potes d’enfance à Aubervilliers où ils ont monté leur business. Là aussi, rien n’est facile car la communauté asiatique semble avoir la main mise mais les méthodes utilisées sont-elles réellement justes ? C’est la question qui se pose lorsqu’ils reçoivent coup sur coup une livraison de fausses montres suivi de la visite des inspecteurs de douane. Etrange coïncidence tout comme ce contrôle fiscal qui attend Patrick (Gilbert Melki) qui va devoir changer ses habitudes mais un mal pour un bien puisque sans s’y attendre, il va rencontrer le grand amour !

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    Yallah !! On ne l’attendait plus vraiment mais ça fait quand même bien plaisir de retrouver cette belle bande de potes, avec il faut le noter le retour de Vincent Elbaz dans le rôle de Dov, qui nous a tant fait rire. Difficile de trouver une véritable légitimité à La vérité si je mens 3 dont le scénario rappelle un peu trop celui de l’épisode précédent et des rôles féminins toujours aussi transparents. Le voyage de la joyeuse troupe en Chine aurait pu donner de beaux moments de comédie mais à peine a-t-on droit à un repas pas piqué des vers qui nous laisse clairement sur notre faim. Ce sont surtout les retrouvailles avec des personnages qu’on adore qui vous motivera (peut-être) à vous rendre dans les salles obscures.

     

    Il faut le voir pour : Se procurer une amulette marocaine !


    En savoir plus sur La vérité si je mens ?

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  • Another happy day

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    Direction Annapolis, Maryland pour notre pote Lynn (Ellen Barkin) et 2 de ses fils Elliot & Ben (Ezra Miller & Daniel Yelsky) pour rejoindre la famille. C’est un grand évènement qui les rassemble puisque Dylan (Michael Nardelli), le 3ème fils, est sur le point de se marier ; tout semble donc réuni pour passer un merveilleux moment mais c’est mal connaitre cette famille ! A commencer par Elliot qui sort à peine de sa 4ème cure de désintoxication mais sa mère ne peut pas le surveiller constamment car elle aussi a ses propres soucis. Elle redoute les retrouvailles avec son ex-mari Paul (Thomas Haden Church) ; leur rupture a été un moment difficile et qui a particulièrement traumatisé leur fille Alice (Kate Bosworth).

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    Voilà bien le genre de film qui pourrait bien vous faire changer votre vision de la famille, Another happy day nous confronte à des individus en pleine détresse et nous met le moral à plat. On est plongé au cœur d’un mélodrame qui n’épargne personne que ce soit une Ellen Barkin angoissée, Ezra Miller qui n’en finit plus de faire souffrir sa génitrice après l’excellent We need to talk about Kevin ou encore la touchante Ellen Burstyn qui redoute sa solitude future. Difficile toutefois d’adhérer à ce film au sujet si sensible et particulier, cette première réalisation de Sam Levinson se perd dans les différents portraits. On l’appréciera donc avant tout pour les performances d’acteur.

     

    Il faut le voir pour : Zapper les mariages de votre famille pendant quelques temps !

  • The descendants

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    Notre pote Matt King (George Clooney) n’est pas vraiment le père de famille idéal et ce rôle il va pourtant devoir l’assumer après l’accident de sa femme Elizabeth (Patricia Hastie). Cela fait plusieurs jours maintenant qu’elle est plongée dans un profond coma et malheureusement, plus rien ne pourra la sauver. Devant ce drame, il veut réunir sa famille et c’est accompagné de sa fille Scottie (Amara Miller) qu’il va récupérer sa cadette Alexandra (Shailene Woodley) qui avait été envoyée en pension. Cette dernière s’était violemment disputée avec sa mère lors des dernières vacances de Noel pour une raison qu’ignorait totalement Matt ; sa femme avait un amant, un certain Brian Speer (Matthew Lillard).

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    Portrait d’une famille disloquée qui va resserrer ses liens autour d’un évènement dramatique, The descendants offre un vrai rôle de composition pour notre pote George Clooney. Ce n’est pas pour autant qu’il faut passer sous silence les belles interprétations de ses "filles" Amara Miller et notamment une admirable Shailene Woodley, un trio qui compose un socle solide pour le film. On est également immédiatement séduit par cette atmosphère décalée prônée dès les premières minutes en situant cette histoire dramatique dans l’archipel d’Hawaï. On n’est certainement pas devant quelque chose d’extraordinaire mais on passe clairement un bon moment mêlant avec habilité humour et tendresse.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de vous moquer de ceux qui portent des chemises hawaïennes !

  • Sherlock Holmes 2 : Jeu d’ombres

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    A l’aube du 20ème siècle, les relations entre la France et l’Allemagne n’ont jamais été aussi tendues et le récent attentat qui a frappé Strasbourg ne va pas apaiser la situation. Ces attaques sont mises sur le dos des anarchistes mais notre pote Sherlock Holmes (Robert Downey Jr.) est lui sur une tout autre piste menant droit vers le Dr. James Moriarty (Jared Harris). Bien loin de ces affaires, John Watson (Jude Law) ne pense lui qu’à son mariage avec la charmante Mary (Kelly Reilly) mais leur voyage de noces va tourner court. Entre Moriarty et Holmes commence effectivement une passionnante partie d’échecs à grande échelle où tous les coups sont permis ! Le détective a trouvé un adversaire de taille face auquel il est vulnérable et l’issue est plus qu’incertaine.

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    Guy Ritchie avait réussi à redonner vie, avec l’adhésion du public, au célèbre duo de détectives ce qui l’a conduit à mettre en route cette suite dans la foulée qui reste ainsi dans l’esprit de l’épisode précédent. On retrouve bien entendu les vedettes que sont Downey Jr. & Law ainsi qu’une brève apparition de Rachel McAdams dans un film qui sait allier le spectaculaire et un scénario faussement complexifié. L’esprit de déduction de l’inspecteur de Baker street est plus que jamais magnifié par le réalisateur qui a tout de même le bon sens de ne pas trop nous abreuver de ce genre d’artifices. Sherlock Holmes 2 : Jeu d’ombres apparait plus adapté au grand public pour ne pas dire banalisé mais se révèle dans l’ensemble assez efficace, en résumé un bon divertissement ni plus ni moins.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre l’art du camouflage urbain !


    En savoir plus sur Sherlock Holmes ?

  • Café de Flore

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    Paris en 1969. Parce qu’elle a mis au monde un enfant trisomique, notre pote Jacqueline (Vanessa Paradis) s’est retrouvé du jour au lendemain abandonnée. Pour elle, Laurent (Marin Gerrier) n’était pas un enfant différent des autres et elle se moquait complètement des regards parfois méprisables que l’on posait sur eux, elle fera tout pour lui offrir la vie la plus ordinaire qui soit. Autre époque, 2011 à Montréal. Après un mariage avec Carole (Hélène Florent), Antoine (Kevin parent) a eu 2 enfants mais le couple s’est ensuite fragilisé jusqu’à le conduire au divorce. Ils sont restés en bons termes mais aujourd’hui Antoine a rencontré une autre femme et s’apprête à reconstruire sa vie en dépit de la réticence de son entourage proche.

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    Ce n’est pas 1 mais 2 histoires qui nous sont servies, 2 récits qui s’alternent durant près de 2 heures et qui en apparence n’ont aucun point commun. On se doute évidemment que le point d’orgue de Café de Flore sera ce moment où la révélation nous sera dévoilée et le moins que l’on puisse dire c’est que c’est assez mystique. Que ce soit dans le quotidien de Jacqueline et de son fils ou bien les chroniques de cette famille recomposée, difficile d’accrocher à ce nouveau long-métrage de Jean-Marc Vallée. La belle performance de la comédienne Vanessa Paradis ne réussira pas plus à nous captiver et la seule chose qu’on retiendra à la sortie ce n’est encore que cette chanson envoutante de Doctor Rockit.

     

    Il faut le voir pour : Croiser les doigts pour que vous soyez réincarné !

  • Les papas du dimanche

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    C’est un Antoine (Thierry Neuvic) furieux que nos potes Léa & Léo (Marilyne Canto & Olivier Baroux) ont vu débarquer chez eux et il y a de quoi ! Il vient en effet de quitter sa maison après avoir découvert que sa femme avait une liaison avec son associé. Le plus douloureux restant tout de même de se séparer de ses 3 enfants Alice, Vincent & Nine (Nina Rodriguez, Nicolas Rompteaux & Arauna Bernheim-Dennery) en attendant qu’il puisse reconstruire sa vie. Cet architecte naval va donc devoir dans un premier temps trouver un nouveau travail et rénover la maison de ses parents mais c’est une situation que les enfants ont du mal à comprendre. A coté de ça, Antoine peine à tourner la page et même lorsqu’il fait la rencontre de Jeanne (Hélène Fillières).

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    Le divorce des parents est et restera une épreuve difficile tant pour les intéressés mais surtout pour des enfants qui perdent soudainement leurs repères. Les papas du dimanche s’intéresse lui plus particulièrement sur le sort des hommes qui souffrent eux aussi de la séparation avec leurs enfants. Le sujet n’a pas été choisi totalement par hasard par le réalisateur Louis Becker qui a fait justement cette amère expérience et nous retranscrit son ressenti avec beaucoup de pudeur. Beaucoup de simplicité dans ce film constituant pour les uns un atout tandis que les autres y verront plutôt son point faible. Il n’y a pas vraiment d’histoire à proprement parler juste une chronique familiale à laquelle tout le monde ne sera pas sensible.

     

    Il faut le voir pour : Trouver une bonne idée pour avoir l’aide de vos enfants afin de refaire la peinture de la maison.

  • Jack & Julie

    cinéma, film, comédie, Jack & Julie, Adam Sandler, Katie Holmes, Al Pacino, Eugenio Derbez, Elodie Tougne, Rohan Chand (II), Gad Elmaleh, David Spade, Dennis Dugan

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    Notre pote Jack (Adam Sandler) travaille dans la pub et il a quelques sueurs froides à l’idée que son plus gros client Dunkin’ Donuts décide d’aller voir ailleurs. Seule solution pour les garder ; convaincre le grand Al Pacino de participer à leur prochaine campagne de promotion et c’est loin d’être gagné ! Coté vie privée, ce n’est guère plus réjouissant puisqu’il attend Julie (Adam Sandler), sa sœur jumelle qu’il a bien du mal à supporter. Alors qu’il fait tout son possible pour qu’elle retourne au plus vite dans le Bronx, un évènement inattendu vient changer la donne. Al Pacino a en effet eu le coup de foudre pour Julie, une aubaine pour Jack sauf que sa sœur semble totalement impassible face à cet immense comédien.

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    Une comédie où l’acteur principal joue un double rôle dont celui d’une femme part généralement avec un certain handicap. Certains films comme Miss Doubtfire évite de trop en faire quand au contraire un Big Mamma n’hésite pas à user et abuser de l’humour bien gras. Jack & Julie appartient à cette dernière catégorie et Adam Sandler en fait des tonnes pour essayer de nous divertir sans grands résultats. Cette comédie aurait mérité une sortie directe en vidéo mais Dieu seul sait comment, Al Pacino est venu jouer les invités vedettes et on pourra même apercevoir le célèbre Johnny Depp ou notre Gad Elmaleh ce qui a incité certains à l’exploiter au cinéma. Si vous n’avez pas de mal à supporter les comédies bien lourdes alors effectivement vous allez être servi.

     

    Il faut le voir pour : Toujours garder un œil sur les jumeaux !

  • Millenium : Les hommes qui n’aimaient pas les femmes

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    Le 22 Septembre 1966 a changé la vie de notre pote Henrik Vanger (Christopher Plummer). Ce jour-là, Harriet (Moa Garpendal) a disparu sans laisser aucunes traces, cela fait 40 ans et pourtant chaque année pour son anniversaire, il reçoit le même cadeau offert par sa nièce. Qui s’amuse à le torturer ainsi ? C’est pour éclaircir ce mystère qu’il a décidé de faire appel au journaliste Michael Blomqvist (Daniel Craig) actuellement en plein déboire juridique. En s’installant à Hedestad et sous couvert d’écrire une biographie sur Henrik, il va découvrir une famille atypique mais le travail qui l’attend est immense et il va avoir besoin d’aide, on lui conseille alors une certaine Lisbeth Salander (Rooney Mara).

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    J’avoue que lorsque j’ai entendu que nos potes américains préparaient une nouvelle adaptation du désormais célèbre roman de Stieg Larsson 3 années seulement après la version suédoise, j’étais vraiment circonspect. Mais quand c’est David Fincher qui s’attelle à la réalisation ça change pas mal de chose et le résultat final est à la hauteur de ce que l’on pouvait attendre. Avec un scénario aussi habilement écrit, le réalisateur de The social network ne pouvait que s’en donner à cœur joie et Millenium : Les hommes qui n’aimaient pas les femmes constitue ainsi un thriller efficace et solide. Une adaptation réussie donc mais s’il faut la comparer avec la version de Niels Arden Oplev, on peut réellement s’interroger sur l’intérêt d’avoir produit aussi tôt cette nouvelle interprétation.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus laisser votre chat trainer dehors !


    En savoir plus sur Millénium, le film ?

    En savoir plus sur Millénium 2 - La fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une allumette ?

    En savoir plus sur Millénium 3 - La reine dans le palais des courants d'air ?




  • Et si on vivait tous ensemble ?

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    Pas facile de vieillir ! On se découvre des problèmes de mémoire, une santé de plus en plus défaillante ou alors on se sent parfois très seul. C’est à l’occasion de l’anniversaire de Claude (Claude Rich) que nos potes d’enfance Jeanne, Annie, Albert & Jean (Jane Fonda, Géraldine Chaplin, Pierre Richard & Guy Bedos) se sont réunis et qu’a été évoqué cette idée folle de vie en communauté. Cette proposition à priori fantaisiste va cependant devenir une réalité après l’hospitalisation d’Albert et le placement de Claude en maison de repos. Après tout, ils s’entendent tous très bien et il n’y aucune raison que cela se passe mal à moins peut-être qu’une histoire vieille de 40 ans ne vienne jeter le trouble.

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    Ce n’est pas parce qu’on est vieux qu’on va s’arrêter de vivre ! C’est un peu la philosophie de ce film porté par son casting 5 étoiles avec entre autre les 2 stars internationales que sont Jane Fonda & Géraldine Chaplin. Et si on vivait tous ensemble ? est la photographie d’une génération un peu perdu dans une société où les personnes âgées semblent plus une gêne qu’autre chose et qui sont ainsi confinées à l’isolement. On regrettera juste que le rythme ne soit pas un peu plus soutenu bien que la présence de Daniel Brühl apporte un brin de vigueur à l'ensemble. Drôle et parfois même mordant, voici une gentille comédie qu’on appréciera tout d’abord pour ses interprètes mais qui risque tout de même de vous plomber le moral quant à votre avenir !



    Il faut le voir pour : Economiser dès maintenant pour vous faire construire une piscine si vous souhaitez voir plus souvent vos petits-enfants.

  • Ici bas

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    Plongé en plein cœur de la Seconde Guerre Mondiale et de l’occupation allemande, la France vit une des heures les plus sombres de son histoire. Autrefois prêtre, notre pote Martial (Eric Caravaca) a pris une décision lourde de conséquence en délaissant sa soutane pour revêtir l’habit de résistant ; un nouveau rôle qui n’est pas sans danger. Lors d’une mission, il se retrouve touché par une balle et en réchappe de justesse grâce notamment aux soins prodiguées par Sœur Luce (Céline Sallette). Pour cette dernière, la rencontre avec cet homme va être déterminante ; elle est totalement subjuguée par lui et est même prête à tout abandonner pour le rejoindre mais les sentiments sont-ils réellement réciproques ?

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    Bon je sais bien que le cinéma français a fait de beaux progrès ces dernières années mais quand je me retrouve devant Ici bas, je me croirais revenir dans les années 1990. Tout semble concourir pour que ça ait l’air vieillot alors forcément la différence est juste flagrante avec des productions plus modernes. Cet aspect finit donc par prendre le pas sur une histoire plutôt correcte inspirée d’un véritable fait-divers et servie par une double interprétation de qualité mais ça n’empêche pas que ce soit en compagnie d’un profond ennui qu’on va passer toute la séance. Si le fait de voir un espèce de téléfilm digne du dimanche après-midi de France 3 ne vous rebute pas alors peut-être vous laisserez-vous tenter.



    Il faut le voir pour : Ne jamais tromper une bonne soeur !