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  • Amis publics

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    Une importante explosion a autrefois eu lieu sur un site de pétrochimie à Lyon, une catastrophe qui aura des répercussions dramatiques. Des cas de cancer sont diagnostiqués chez des enfants vivant dans les environs et Ben (Paul Bartel) fait partie de ces victimes. Il suit un traitement de chimiothérapie qui, hélas, ne se montre pas efficace et son frère Léo (Kev Adams) a décidé de le reprendre avec lui. Ignorant combien de temps il leur reste à être ensemble, Léo décide avec ses potes d'enfance Franck & Lounès (John Eledjam & Majid Berhila) de réaliser le rêve de Ben qui souhaiterait participer à un braquage de banque ! Bien entendu, ils veulent mettre en scène un faux braquage mais les choses vont prendre une tournure inattendue.

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    C'est un premier long-métrage pour notre pote Édouard Pluvieux qui se lance dans un film de braquage (très sommaire) mêlé à de la comédie. On sent d'ailleurs un peu de naïveté avec Amis publics et cela s'illustre notamment dans la dernière scène de braquage totalement surréaliste. La tête d'affiche c'est bien entendu Kev Adams qui se voit offrir un rôle plus consistant qu'à l'accoutumée et qui se montre tout à fait convaincant dans ce rôle de grand frère protecteur. Ce n'est pas pour autant que les rires disparaissent puisque le costume de clown de service se retrouve partagé par le tandem John Eledjam / Majid Berhila. Une équipe de bras-cassés plutôt sympathique, quelques running gags et ça vous donne au final un film agréable à découvrir

     


    Il faut le voir pour : Dire à votre taxi de ne pas confondre l'avenue et le boulevard !

  • Je compte sur vous

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    Il est le roi de la combine mais cela n’empêche pas notre pote Gilbert (Vincent Elbaz) d’être endetté. Il a même été forcé de quitter la France pour s'installer en Israël, des déménagements successifs qui commencent à fatiguer sa femme Barbara (Julie Gayet) et son fils Noé (Léo Elbé). Sa dernière idée, il l'a eu grâce à JMBLC (Dan Herzberg) qui lui a appris la manière de rendre ses appels impossibles à retracer. Avec son frère Maxime (Ludovik), Gilbert a donc mis cela à profit en contactant une banque française et son bagou au téléphone aura suffi pour se faire plus de 400 000 euros ! Un coup énorme qui ne sera que le début d'autres escroqueries.

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    C'est un fait-divers qui aura donc inspiré notre pote Pascal Elbé pour sa seconde réalisation. Je compte sur vous est un film de braquage plutôt original puisque notre escroc n'aura qu'à utiliser un téléphone pour commettre ses méfaits. Un mode opératoire plutôt malin qui donne l'occasion au sympathique Vincent Elbaz de faire valoir sa tchatche mais qui ne va pas non plus nous scotcher à l'écran. Il n'y a pas non plus de grandes surprises à attendre dans le déroulement d'un scénario qui retombe vite dans la banalité. Les moins difficiles y trouveront un petit amusement quant aux autres ils auront certainement déjà passé leur chemin.

     


    Il faut le voir pour : Raccrocher votre téléphone si les Services secrets vous appellent !

  • Les randonneurs

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    Un petit trek dans le Gers ; ce n’est pas vraiment le programme idéal pour des vacances pour nos potes Mathieu (Vincent Elbaz) et son frère Louis (Philippe Harel) mais ils sont quand même là ! Bon, c’est vrai, ils ne sont venus que dans l’espoir de passer du temps avec Bernadette (Marine Delterme) hélas celle-ci a du renoncer au voyage à la dernière minute. Toujours est-il qu’ils sont maintenant sur place en compagnie de Cora (Karin Viard) et de Nadine (Géraldine Pailhas). Leur guide s’appelle Eric (Benoit Poelvoorde) et c’est aussi accessoirement le copain de Cora bien qu’il soit déjà marié et père de 2 enfants. Cette marche est l’occasion de découvrir de somptueux paysages et ils ne s’ennuieront pas !

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    Il n’a peut-être pas la stature d’une comédie culte toujours est-il qu’on prend un certain plaisir à voir et revoir ce film de Philippe Harel également présent devant la caméra. Les randonneurs séduit d’abord par son scénario simple mais efficace ; un trek dans le paysage montagneux corse qui offre une bouffée d’air frais aux spectateurs. Et puis il y a évidemment le groupe de potes d’enfance mené par un Benoit Poelvoorde à l’aise dans ses chaussures de randonnée sauf quand il se perd. La bande constituée par Géraldine Pailhas, Karin Viard, Philippe Harel & Vincent Elbaz fonctionne parfaitement à l’écran au point qu’ils se réuniront 10 ans plus tard dans Les randonneurs à Saint-Tropez.

     

    En savoir plus sur Les randonneurs à Saint-Tropez ?

  • La vérité si je mens 3

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    Les affaires au Sentier ne sont plus ce qu’elles étaient et c’est pourquoi on retrouve désormais Eddie (Richard Anconina) et tous ses potes d’enfance à Aubervilliers où ils ont monté leur business. Là aussi, rien n’est facile car la communauté asiatique semble avoir la main mise mais les méthodes utilisées sont-elles réellement justes ? C’est la question qui se pose lorsqu’ils reçoivent coup sur coup une livraison de fausses montres suivi de la visite des inspecteurs de douane. Etrange coïncidence tout comme ce contrôle fiscal qui attend Patrick (Gilbert Melki) qui va devoir changer ses habitudes mais un mal pour un bien puisque sans s’y attendre, il va rencontrer le grand amour !

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    Yallah !! On ne l’attendait plus vraiment mais ça fait quand même bien plaisir de retrouver cette belle bande de potes, avec il faut le noter le retour de Vincent Elbaz dans le rôle de Dov, qui nous a tant fait rire. Difficile de trouver une véritable légitimité à La vérité si je mens 3 dont le scénario rappelle un peu trop celui de l’épisode précédent et des rôles féminins toujours aussi transparents. Le voyage de la joyeuse troupe en Chine aurait pu donner de beaux moments de comédie mais à peine a-t-on droit à un repas pas piqué des vers qui nous laisse clairement sur notre faim. Ce sont surtout les retrouvailles avec des personnages qu’on adore qui vous motivera (peut-être) à vous rendre dans les salles obscures.

     

    Il faut le voir pour : Se procurer une amulette marocaine !


    En savoir plus sur La vérité si je mens ?

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  • La vérité si je mens

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    Edouard Vuibert (Richard Anconina) est sur le point de se faire expulser. Au chômage, il ne lui reste que 200 francs pour vivre et n’a aucune solution à l’horizon. Alors qu’il voulait se refaire à un jeu de hasard, il atterrit dans la cour de Victor Benzakem (Richard Bohringer), un des grands patrons du sentier. Sur un malentendu, celui-ci pense qu’Edouard est juif et par solidarité lui offre un travail dans sa fabrique de tissu. Avec le temps, notre pote apprend les ficelles du métier et se crée de nombreuses relations qui vont lui permettre de lancer sa propre affaire ce qui risque de ne pas plaire à Victor. Une décision qui ne sera pas sans conséquence puisqu’en plus de cela il est tombé sous le charme de Sandra (Amira Casar), la fille de son ancien patron.

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    Succès surprise au box-office, La vérité si je mens est entré dans l’histoire du cinéma français grâce notamment à l’esprit de franche camaraderie qui régnait. Ancré dans la culture juive et communautaire du quartier populaire du sentier, Thomas Gilou a su constituer une vraie famille rassemblant tout de même Richard Anconina, Richard Bohringer, Vincent Elbaz, Bruno Solo, José Garcia et le regretté Elie Kakou. Généreux et drôle, on pourrait reprocher à cette comédie de tirer un peu trop sur les ficelles aisées de la caricature mais ça n’en reste pas moins un excellent film malgré le poids des années et qu’on a toujours plaisir à revoir.

     

    En savoir plus sur La vérité si je mens 2 ?

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  • L’assaut

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    Le 24 Décembre 1996, un Airbus A300 de la compagnie Air France est sur le point de décoller de l’aéroport d’Alger pour rejoindre Paris. Les passagers ont pris place lorsque 4 individus montent à bord en prétendant être des policiers mais ils dévoilent vite leur vrai visage ; ce sont des terroristes qui ont pris possession de l’avion. Au même moment en France, cette prise d’otages secoue l’opinion publique et le GIGN est alerté d’une possible intervention. Frédéric (Vincent Elbaz) fait partie de cette escouade et ce jeune père de famille va une fois de plus risquer sa vie au cours de cette mission.

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    C’est un fait divers qui a marqué les esprits, difficile d’oublier les images de l’intervention du GIGN à l’aéroport de Marignane. Pour son film, Julien Leclercq a donc reconstitué cette célèbre prise d’otages en s’inspirant du livre de Roland Martins tout en y mêlant des images tirés des médias de l’époque. On se retrouve donc fortement immergé dans une histoire certes passionnante mais qui manque tout de même de tensions en dehors de la séquence finale. L’assaut a toutefois le mérite de nous faire découvrir des aspects plus méconnus de l’affaire comme les tractations effectuées avec le terroriste Ali Touchent.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de vous plaindre quand votre train a un retard de 10 minutes !

  • Sweet valentine

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    Ivan (Vincent Elbaz) est un petit truand qui vit de kidnapping mais son dernier plan a mal tourné. Résultat le voilà en fuite en compagnie de Sonia (Vanessa David) ; une femme qu'il a rencontré quelques heures plus tôt et qui a participé sans le savoir à un enlèvement. Dans quelques jours, Ivan doit se rendre en Pologne pour régler une histoire mais avant cela, il doit trouver de l'argent. Quant à Sonia ; il aimerait bien s'en débarrasser mais comme il n'a pas de permis, il est obligé d'impliquer la jeune femme dans toutes ses combines.

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    On ne sait pas trop à quoi s'attendre quand on entre dans la salle et quand on n'en sort qu'on est toujours aussi dubitatif. Ça commence comme une légère comédie puis ça se transforme en une sorte de road-trip où Vincent Elbaz essaye de régler ses problèmes financiers. Les rencontres atypiques s'enchaînent et il y a souvent des moments de solitude, des errements que l'on mettra sur le compte de la première réalisation d'Emma Lucchini. Sweet valentine n'a pas assez de charmes pour réellement nous convaincre, copie à revoir !


    Il faut le voir pour : Ne plus répondre aux sondages dans la rue.

  • Comme les 5 doigts de la main

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    Cela fait 6 ans que David (Vincent Elbaz) n'a plus donné signe de vie à sa famille et notamment à ses 4 frères. C'est un avis de recherche lancé par la police de Marseille qui permet à Dan, Jonathan, Julien & Michael (Patrick Bruel,Pascal Elbé, Eric Caravaca & Mathieu Delarive) d'avoir des nouvelles de leur frère et ce dernier réapparait soudainement en étant gravement blessé. Il est en grand danger, poursuivi par Samy Boban (Moussa Maaskri), dangereux criminel à qui David a dérobé une forte somme d'argent. Malgré toutes les erreurs qu'a pu faire David, les frères Hayoun sont solidaires comme les 5 doigts de la main et décident de lui venir en aide.

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    Entre Patrick Bruel, Vincent Elbaz, Pascal Elbé ou encore Eric Caravaca, le casting était plutôt alléchant surtout quand on y ajoute la belle Caterina Murino. L'histoire elle est presque banale, un frère noyé dans les ennuis qui va se voir soutenir par ses frères malgré ses actes passés car les liens familiaux sont inaliénables. Et puis ensuite, Comme les 5 doigts de la main part en vrille ; les frères deviennent tout à coup des gangsters et surtout les préjugés pleuvent (les islamistes fournisseurs officiels d'armes à feu c'est quand même gros !). Ça commençait plutôt bien mais ça se finit en eau de boudin.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas vous étonner si un jour vous mangez des spaghettis au nuoc-mâm !

  • Tellement proches

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    Il aura tout tenté mais notre pote Alain (Vincent Elbaz) n’y échappera pas ; il va devoir se coltiner un diner avec sa belle famille. Difficile pour lui de supporter Jean-Pierre (François-Xavier Demaison) et sa famille parfaite mais Nathalie (Isabelle Carré), la femme d’Alain ne lui a pas vraiment laissé le choix. Dès leur arrivée, les premières remarques fusent puisqu’ils n’ont pas pu faire garder leur fils Lucien (Max Clavelly), une véritable tornade ambulante et ce n’est pas ce soir qu’il va se calmer. Et puis il reste encore à attendre Roxanne (Joséphine de Meaux) qui va débarquer avec son nouveau compagnon rencontré il y a à peine quelques heures.

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    Après nous avoir fait passer de belles vacances avec Nos jours heureux, le duo Eric Toledano & Olivier Nakache s’attaque désormais à la famille et une fois encore c’est une comédie savoureuse qui nous est servi. S’appuyant sur la légendaire mésentente avec la belle famille, Tellement proches nous dresse un portrait magnifique où chaque membre enrichit réellement le scénario. De Vincent Elbaz en mari immature à la géniale Audrey Dana prête à se convertir au Judaïsme pour assurer l’avenir de sa fille ; le casting est parfait. Pas étonnant donc de rire et même de verser une petite larme émue devant ce nouveau Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Retenir l’histoire de l’architecte des immeubles de Créteil.

  • Les randonneurs à Saint-Tropez

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    Depuis que nos potes d’enfance Coralie, Nadine, Louis & Mathieu (Karin Viard, Géraldine Pailhas, Philippe Harel & Vincent Elbaz) se sont rencontrés lors d’une randonnée, ils ne se sont plus jamais quitté. Quand arrivent les vacances, c’est l’occasion de se retrouver et de passer du bon temps pour oublier les tracas du quotidien. Cette année, ils ont décidé de partir du coté de Sainte-Maxime et profiter ainsi du soleil de la cote. Par le plus grand des hasards, ils vont retrouver Eric (Benoit Poelvoorde), le guide qu’ils avaient rencontré en Corse 10 ans auparavant et accessoirement l’ex de Nadine. C’est qu’il en a fait du chemin depuis la randonnée devenant ainsi un mec plein aux as.

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    Réaliser la suite d’un film est toujours un exercice délicat qui laisse souvent place à de la déception. Le premier bon point avec Les randonneurs à Saint-Tropez, c’est d’avoir réussi à réunir le casting originel et … c’est à peu près tout ! Inutile de tergiverser, pour une comédie on s’ennuie ferme et les retrouvailles tourne donc vite à la mauvaise surprise. Karin Viard tente bien de nous amuser tandis que Pailhas, Elbaz & Harel semblent totalement absent. Même Poelvoorde se remet dans la peau d’Eric sans trop y croire. On va donc tout faire pour oublier rapidement cet épisode qui n’aurait jamais du voir le jour et on préfèrera revoir Les randonneurs pour passer du bon temps.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre le geste qui sauve si quelqu’un avale une arête !