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  • Casse-tête chinois

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    Après L’auberge espagnole et Les poupées russes, Xavier (Romain Duris) planche sur l’écriture de son prochain livre. Le titre est tout trouvé et résume parfaitement ce qu’est sa vie actuelle ; un véritable casse-tête chinois ! Qu’il est loin le temps où il vivait heureux en compagnie de Wendy (Kelly Reilly) et de leurs 2 enfants Tom & Mia (Pablo Mugnier-Jacob & Margaux Mansart) ; beaucoup de choses ont changé. Wendy a décidé de s’installer à New York en emmenant les enfants et s’il veut continuer à les voir, Xavier doit se débrouiller pour dénicher un appartement, un boulot et aussi trouver un moyen pour rester aux Etats-Unis. Pour le moment il squatte chez sa pote d’enfance Isabelle (Cécile de France) qui attend un enfant … dont Xavier est le père !

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    Plus de 10 ans ont déjà passé depuis qu’on a fait la connaissance de cette belle bande de potes d’enfance dans L’auberge espagnole et pour beaucoup d’entre nous c’est un véritable plaisir de les retrouver dans ce 3ème volet. Après Barcelone ou encore Saint-Pétersbourg, c’est de l’autre coté de l’Atlantique que Romain Duris & co poursuivent leurs invraisemblables aventures et ponctuées d’un humour qui fonctionne toujours à merveille. Mieux vaut tout de même connaitre les 2 précédents épisodes pour apprécier comme il se doit ce Casse-tête chinois qui ne déçoit pas et on se dit même qu’on ne serait peut-être pas contre le fait de revoir tout ce beau monde quand ils affronteront la cinquantaine ! En tout cas on va déjà profiter de ce nouveau Coup de cœur Ciné2909.

     

    Il faut le voir pour : Prendre le taxi si vous cherchez quelqu’un pour vous marier !

  • Flight

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    C’était un petit vol entre Orlando & Atlanta qui attendait notre pote le Capitaine Whip Whitaker (Denzel Washington) avant un jour de repos bien mérité. Ce pilote va cependant vivre un véritable enfer car au moment où l’appareil atteignait sa destination, un problème met en péril les 102 passagers dont  5 membres d’équipage. Le SouthJet 227 pique soudainement du nez et grâce à son sang-froid et à une manœuvre insensée, il parvient à empêcher le crash. S’il n’a pu sauver la vie de 6 personnes, il a évité une catastrophe et devient ainsi un héros bien que le public ignore que Whip était à ce moment-là totalement ivre !

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    Bon déjà si vous devez prendre l’avion dans les prochains jours, il vaudrait peut-être mieux éviter ce film de Robert Zemeckis. Flight c’est le portrait d’un pilote d’avion qui aime planer que ce soit au sens propre comme au sens figuré et qui doit se remettre en question. Après une scène de crash plutôt palpitante, le film s’arrête ensuite sur ce "héros" peu commun et bien que ça s’étale un peu en dialogues, avec l’impeccable Denzel Washington on ne voit pas le temps passer. Il y a aussi du beau monde à ses cotés à commencer par Kelly Reilly, Don Cheadle ou encore John Goodman qui apportent un peu d’animation. Sans atteindre le 7ème ciel, le film se repose entièrement sur son acteur principal.

     

    Il faut le voir pour : Demander à votre pilote d’avion de passer l’alcotest avant le décollage !

  • Sherlock Holmes 2 : Jeu d’ombres

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    A l’aube du 20ème siècle, les relations entre la France et l’Allemagne n’ont jamais été aussi tendues et le récent attentat qui a frappé Strasbourg ne va pas apaiser la situation. Ces attaques sont mises sur le dos des anarchistes mais notre pote Sherlock Holmes (Robert Downey Jr.) est lui sur une tout autre piste menant droit vers le Dr. James Moriarty (Jared Harris). Bien loin de ces affaires, John Watson (Jude Law) ne pense lui qu’à son mariage avec la charmante Mary (Kelly Reilly) mais leur voyage de noces va tourner court. Entre Moriarty et Holmes commence effectivement une passionnante partie d’échecs à grande échelle où tous les coups sont permis ! Le détective a trouvé un adversaire de taille face auquel il est vulnérable et l’issue est plus qu’incertaine.

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    Guy Ritchie avait réussi à redonner vie, avec l’adhésion du public, au célèbre duo de détectives ce qui l’a conduit à mettre en route cette suite dans la foulée qui reste ainsi dans l’esprit de l’épisode précédent. On retrouve bien entendu les vedettes que sont Downey Jr. & Law ainsi qu’une brève apparition de Rachel McAdams dans un film qui sait allier le spectaculaire et un scénario faussement complexifié. L’esprit de déduction de l’inspecteur de Baker street est plus que jamais magnifié par le réalisateur qui a tout de même le bon sens de ne pas trop nous abreuver de ce genre d’artifices. Sherlock Holmes 2 : Jeu d’ombres apparait plus adapté au grand public pour ne pas dire banalisé mais se révèle dans l’ensemble assez efficace, en résumé un bon divertissement ni plus ni moins.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre l’art du camouflage urbain !


    En savoir plus sur Sherlock Holmes ?

  • L’auberge espagnole

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    Grace à l’appui de son père, notre pote Xavier (Romain Duris) s’est vu ouvrir les portes du Ministère de l’économie dans le cadre de l’obtention de son DEA. Un emploi lui est ainsi promis mais avant cela il va devoir se spécialiser dans un domaine particulier : il devra connaitre sur le bout des doigts le marché espagnol. C’est ainsi qu’il décide de poursuivre son cursus scolaire à Barcelone via le programme Erasmus. Les premières heures dans son nouveau pays ne sont pas faciles mais sa rencontre avec Anne-Sophie & Jean-Charles (Judith Godrèche & Xavier de Guillebon), un jeune couple croisé à l’aéroport va lui permettre de poser le pied. Par la suite, il va devoir éplucher les annonces pour trouver un toit mais les loyers sont chers et c’est ainsi qu’il va se retrouver dans un appartement à partager avec 5 autres étudiants, une véritable auberge espagnole !

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    Je vous l’accorde ce film ne restera pas dans les annales du cinéma mais il a, à n’en pas douter, véritablement marqué une génération de spectateurs et plus particulièrement d’étudiants. Alors que l’Europe commençait à s’unir autour d’une monnaie unique, Cédric Klapisch et son compère de toujours Romain Duris nous invitait à vivre au rythme de L’auberge espagnole, melting-pot culturel et social. Evidemment, tout y est idéalisé mais on ne peut résister bien longtemps à l’ambiance festive de ce film, aux paysages enchanteurs de Barcelone ; bref un vrai coup de pub pour le programme Erasmus. Qui n’a pas envisagé après ce film d’effectuer un petit séjour en Europe et rien que pour ça on n’oubliera jamais ce film.

     

    La scène à ne pas louper : Wendy au téléphone avec la mère de Xavier qui est parti à la "Fuck" !

  • Eyes of war

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    Nous sommes en 1988, Mark & David (Colin Farrell &Jamie Sives) sont deux potes d’enfance qui travaillent ensemble en tant que photographes de guerre. Cela fait déjà un mois qu’ils couvrent le conflit entre le Kurdistan et l’Irak et pour David, l’heure du retour à la maison a sonné. En effet, il n’en peut plus de rester éloigné de sa femme Diane (Kelly Reilly) d’autant plus que celle-ci est enceinte et devrait très bientôt accoucher. Les évènements font que les deux photographes se retrouvent séparés et après avoir échappé de peu à la mort, Mark retourne lui aussi en Angleterre. A son retour il est étonné de ne pas voir David et commence à se poser des questions.

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    Beaucoup de films ont souligné l’impact psychologique que pouvait revêtir une guerre sur les soldats mais on se rend moins compte des dommages collatéraux que cela peut provoquer sur des acteurs plus secondaires. Eyes of war s’intéresse ainsi aux reporters de guerre, spectateurs privilégiés mais néanmoins témoins directs des atrocités qui définissent ces conflits. Thème intéressant mais l’intrigue du film ne tient pas très longtemps, on devine rapidement de quoi sera fait le film et ce qui hante le personnage de Mark. Reconnaissons tout de même au film le mérite de nous faire découvrir le point de vue de ces photographes de l’extrême.

     

    Il faut le voir pour : Se contenter de prendre des photos de la nature.

  • Eden Lake

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    Notre pote Steve (Michael Fassbender) en est maintenant convaincu, Jenny (Kelly Reilly) est la femme de sa vie et il n’a maintenant qu’une envie ; que leur mariage soit célébré. A cette occasion, il a préparé un super week-end à Eden Lake, une crique qui sera prochainement ruinée par la construction de résidences. Si le lieu a tout d’un paradis, la tranquillité du jeune couple est perturbée par une bande d’adolescents irrespectueux rendant le séjour des plus désagréables. Les choses s’enveniment au moment où ces jeunes volent leur voiture abandonnant Steve & Jenny en plein milieu de la foret. En voulant regagner le village, ils se retrouvent nez à nez avec les coupables mais ne s’imaginent pas encore le calvaire qui va suivre.

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    Une sortie pas très médiatisée et c’est bien dommage. Première bonne nouvelle, on retrouve la très belle Kelly Reilly (mais si Wendy de l’Auberge espagnole et Les poupées russes) dans un genre où on ne l’attendait pas vraiment. La romance qui se profile pour ce jeune couple se transforme vite en une chasse à l’homme impitoyable illustrée par quelques scènes effectivement susceptibles d’heurter les esprits les plus sensibles. On entre vite dans ce climat d’angoisse instauré par des gamins imprévisibles mais totalement conscients de leurs actes, bref Eden Lake est un bon film que je vous conseille vivement de regarder !

     

    Il faut le voir pour : Se dire que finalement, un week-end à Paris ce n’est pas si mal.