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jacques spiesser

  • Le dernier diamant

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    Notre pote Julia (Bérénice Béjo) est encore sous le choc de la disparition de sa mère retrouvée morte dans sa voiture. Pour lui rendre un dernier hommage, elle décide d’organiser la vente du Florentin, un diamant de 137 carats dont la valeur est estimée à plus de 40 millions d’euros. Sa mère avait passé près de 12 ans à le chercher et Julia souhaite donc prendre sa suite et alors que la vente aux enchères se met en place, un certain Simon (Yvan Attal) se présente à elle. Cet homme a autrefois collaboré avec sa mère et s’est notamment occupé d’analyser les systèmes de sécurité entourant les ventes. Ce qu’elle ignore c’est que Simon est en réalité un voleur extrêmement doué qui veut mettre la main sur le Florentin.

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    Un joli diamant, une belle femme et un voleur particulièrement malin ; on ne va pas se mentir on sait déjà comment tout ça va finir mais ce film d’Eric Barbier se montre assez efficace. Si le casting se montre moins resplendissant qu’un Ocean’s eleven, Bérénice Béjo & Yvan Attal forment néanmoins un bien joli couple. On sera beaucoup moins séduit par ceux qui les entourent mais ce sont surtout les personnages qu’ils incarnent qui manquent d'éclat, d’envergure pour donner le change au duo vedette. Une autre fausse note avec Le dernier diamant reste quand même l’incroyable bévue dans le dénouement du film qui frise le ridicule et qui gâche un peu l’intérêt global.

     

    Il faut le voir pour : Se méfier des hommes nus dans les couloirs d’hôtel.

  • Ici bas

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    Plongé en plein cœur de la Seconde Guerre Mondiale et de l’occupation allemande, la France vit une des heures les plus sombres de son histoire. Autrefois prêtre, notre pote Martial (Eric Caravaca) a pris une décision lourde de conséquence en délaissant sa soutane pour revêtir l’habit de résistant ; un nouveau rôle qui n’est pas sans danger. Lors d’une mission, il se retrouve touché par une balle et en réchappe de justesse grâce notamment aux soins prodiguées par Sœur Luce (Céline Sallette). Pour cette dernière, la rencontre avec cet homme va être déterminante ; elle est totalement subjuguée par lui et est même prête à tout abandonner pour le rejoindre mais les sentiments sont-ils réellement réciproques ?

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    Bon je sais bien que le cinéma français a fait de beaux progrès ces dernières années mais quand je me retrouve devant Ici bas, je me croirais revenir dans les années 1990. Tout semble concourir pour que ça ait l’air vieillot alors forcément la différence est juste flagrante avec des productions plus modernes. Cet aspect finit donc par prendre le pas sur une histoire plutôt correcte inspirée d’un véritable fait-divers et servie par une double interprétation de qualité mais ça n’empêche pas que ce soit en compagnie d’un profond ennui qu’on va passer toute la séance. Si le fait de voir un espèce de téléfilm digne du dimanche après-midi de France 3 ne vous rebute pas alors peut-être vous laisserez-vous tenter.



    Il faut le voir pour : Ne jamais tromper une bonne soeur !