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policier

  • Undercover- Une histoire vraie

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    Alors que d’autres adolescents de son âge passeraient plutôt leur temps sur les terrains de football ou devant leurs jeux vidéos, Rick (Richie Merritt) a une toute autre occupation. En compagnie de son père Richard Sr (Matthew McConaughey), il écume les salons de vente d’armes à feu en quête de bonnes affaires. une fois achetées, ils essayent d’apporter des améliorations comme par exemple en ajoutant un silencieux puis ils les revendent. Une activité qui ne passe pas vraiment inaperçu notamment aux yeux du FBI puisque les enquêteurs Snyder & Byrd (Jennifer Jason Leigh & Rory Cochrane) vont se manifester. Ils vont ainsi convaincre notre pote Rick de leur donner un coup de main en devenant leur indic officieux.

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    Au cas où vous l'ignorez - et pourtant ils ont fait le nécessaire avec le titre français - ce film est basé sur des faits réels. En l'occurrence, il s’agit de l’histoire de Richard Wershe Jr. connu aussi sous le surnom de White Boy Rick, le plus jeune des indics. Si Undercover - Une histoire vraie peut compter sur les présences de Matthew McConaughey ou Jennifer Jason Leigh, le véritable héros du film reste Richie Merritt dont le jeu d’acteur n’a rien d’exceptionnel. Il faut dire que le jeune homme décroche là son tout premier rôle. On ne peut pas dire non plus que le scénario se montre extravagant bien au contraire, son déroulement est hélas on ne peut plus prévisible. On passe un bon moment devant ce second long-métrage du français Yann Demange mais il ne restera pas dans les mémoires !

     

    Il faut le voir pour : Vous remettre aux patins à roulettes !

  • Un beau voyou

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    Policier proche de la retraite, notre pote le Commissaire Beffroi (Charles Berling) est sur une enquête plutôt atypique. Cela a commencé lorsqu’une femme a constaté un cambriolage et le butin était ciblé puisqu’il s’agissait d’une toile qui avait tout de même une certaine valeur. Il découvrira par la suite qu’il ne s’agit pas d’un acte isolé puisque d’autres particuliers ont eux aussi été victimes de vol et tout laisse croire qu’un voleur en série traîne à Paris. Au cours de son investigation, le commissaire va entrer en contact avec Justine (Jennifer Decker) et son père Charles (Jean-Quentin Châtelain) qui sont tous deux restaurateurs de tableaux. Au cours d’un dîner inattendu, le policier va ensuite rencontrer un certain Bertrand (Swann Arlaud), le petit-ami de Justine qui a lui aussi un goût prononcé pour l’art !

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    Lucas Bernard signe avec Un beau voyou son premier long-métrage et il arrive à se distinguer à la fois avec son histoire et ses personnages atypiques. Dès les premières minutes, on se familiarise avec un policier aux méthodes peu orthodoxes et qui attire tout de suite la sympathie.Il en est de même avec le duo haut en couleurs formé par une rayonnante Jennifer Decker & Jean-Quentin Châtelain malheureusement une fois la scène du dîner passé, l'intérêt retombe au fur et à mesure que les minutes s’égrainent. Malgré tout le talent que l’on connaît à notre pote Swann Arlaud, le film a bien du mal à retrouver du rythme et c’est bien dommage car le sujet était original.


    Il faut le voir pour : Arrêter de confondre le Moderne et le Contemporain !

  • Braqueurs

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    Le braquage de convoi d'argent ; c'est ce qui excite notre pote Yanis (Sami Bouajila) et jusqu'à présent il a toujours réussi à passer entre les mailles du filet. Entouré d'une équipe fiable à laquelle s'est récemment joint Eric (Guillaume Gouix), leur dernier coup leur a permis de mettre la main sur des passeports vierges qu'ils ont pu revendre à prix d'or. Tout s'était bien déroulé jusqu'au moment où Amine (Redouane Behache), le frère de Yanis a voulu revendre une des armes ayant servi au braquage. Un certain Salif (Kaaris), dealer à Sevran, menace de les dénoncer s'ils ne font pas ce qu'il leur demande : attaquer un go fast. Une mission bien plus dangereuse que ce que cette équipe a l'habitude de faire mais ils n'ont pas d'autres alternatives.

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    Un titre simple et efficace, c'est ce qu'on pourrait dire également de ce 4ème long-métrage de notre Julien Leclercq. Ce n'est certainement pas pour son scénario - la phrase d'accroche de l'affiche résumant bien la chose - qu'on se jettera sur Braqueurs mais il faut bien reconnaître qu'en matière d'action, ça fait le job ! L'autre point positif concerne un casting réussi où notre pote Sami Bouajila se montre un ton au-dessus de ses camarades Guillaume Gouix & Youssef Hajdi. A défaut de jouer la carte de l'originalité, voilà un film qui est mené sans temps morts, avec quelques scènes de fusillades musclées et qui n'a aucun mal à nous faire passer un bon moment.

     


    Il faut le voir pour : Toujours surveiller ce que fait votre petit frère !

  • Legend

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    A Londres dans les années 1960, le simple nom des frères Kray suffit à faire trembler toute une partie de la population. Bien que Reginald & Ronald (Tom Hardy) soient jumeaux, ils sont aussi radicalement différents. Il se dit gérant de club mais notre pote Reginald a bien d'autres activités et Frances (Emily Browning) ne se trompe pas lorsqu'elle le qualifie de gangster. Malgré cette réputation et les avertissements de sa mère, la jeune femme tombe sous le charme. Il ne faudrait pas oublier trop vite Ronald qui a retrouvé la liberté grâce à son frère alors qu'il était interné et celui-ci va causer quelques soucis à Reginald.

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    Des frères gangsters on en a déjà vu mais des jumeaux c'est quand même une première et pour l'occasion notre pote Tom Hardy s'est carrément dédoublé ! Une curiosité qui donne un peu d’intérêt à Legend car il est bien difficile d'en trouver ailleurs. En dehors d'une bonne baston à base de coups de poings américains et de marteaux ou des quelques éclats de Ronald, on ne peut pas dire que le parcours de ces gangsters se montre véritablement excitant. La romance avec Frances est là pour combler les trous mais cela ne fait que prolonger un film monotone. Un biopic qui s'annonçait plutôt intéressant mais qui est loin de faire ses preuves.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus accepter les cigarettes qu'on vous propose !

  • Strictly criminal

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    South Boston dans les années 1970. Alors que Bill Bulger (Benedict Cumberbatch) est en passe de devenir sénateur, son frère Whitey (Johnny Depp) a lui pris un chemin très différent. Après quelques années passé derrière les barreaux, ce dernier joue en effet les parrains dans son quartier flirtant avec la légalité et n'hésitant pas, s'il le faut, à se débarrasser de ses rivaux. C'est alors qu'un agent du FBI le contacte mais pas n'importe lequel puisqu'il s'agit de son pote d'enfance John Connelly (Joel Edgerton) ! Au nom de leur éternel amitié il y aura ainsi un échange de bons procédés entre eux et Whitey va surtout en profiter supprimer la concurrence en toute impunité.

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    Adepte de la transformation, notre pote Johnny Depp se grime cette fois en caïd en incarnant James "Whitey" Bulger. Autour de lui, on ne peut qu'apprécier les présences de Benedict Cumberbatch & Joel Edgerton ou encore Kevin Bacon qui viennent s'ajouter à un beau casting tout cela supervisé par le réalisateur Scott Cooper. Clairement ce Strictly criminal ne manque pas sa cible grâce à ces protagonistes charismatiques, son atmosphère anxiogène et ses règlements de compte à l'ancienne. Il n'y a pas longtemps à hésiter ; voilà tout simplement un policier solide comme on les aime et un biopic réellement passionnant.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais dévoiler une recette de famille !

  • Dangerous people

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    Ils ont quitté Chicago pour donner un nouvel élan à leur vie mais nos potes Anna & Tom (Kate Hudson & James Franco) n’en n’ont pas fini avec les ennuis. Installés à Londres où ils voulaient rénover une maison dont ils ont hérité, le couple se rend compte que ce projet est un vrai gouffre financier. Comme si cela ne suffisait pas, voilà qu’ils vont bientôt être expulsés de leur appartement mais un événement pourrait tout changer. Ben (Francis Magee) à qui ils louaient une partie de l’appartement est retrouvé mort, victime d’une overdose et c’est en rangeant ses affaires qu’ils trouvent un sac contenant près de 220 000 livres sterlings !

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    Adaptation du roman Good People écrit par Marcus Sakey, il est difficile de ressortir quelque chose de positif de ce Dangerous people ; le scénario tout comme la réalisation de l'inconnu Henrik Ruben Genz. Un couple endetté, un sac rempli de billets et le début des ennuis pour le couple Hudson / Franco pris dans un terrible engrenage. A la limite, seul le personnage joué par Tom Wilkinson aurait pu connaître un développement intéressant au lieu de quoi il n'est pas loin de faire de la simple figuration. On pourra toujours se réjouir de voir notre pote Omar Sy étoffer son CV international mais ce film ne propose rien d’excitant ce qui le destine à tomber dans l’oubli.

  • Antigang

     

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    Notre pote Serge Buren (Jean Reno) est à la tête d'une équipe de la BRI assez particulière puisqu'elle n’hésite pas à employer des méthodes peu orthodoxes. Si les résultats sont au rendez-vous, ce n'est pas au goût de tout le monde et notamment de Becker (Thierry Neuvic). Pour ne rien arranger, ce dernier vient d’être nommé au poste de Commissaire devenant ainsi son supérieur hiérarchique avec comme but avoué de dissoudre l'unité de Serge. Entre les deux hommes, les relations sont donc plus que tendues mais ils vont devoir faire abstraction de tout ça pour le moment car un braquage sanglant vient d'avoir lieu dans une bijouterie.

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    Autant vous l'annoncer tout de suite, Antigang est un film bien bourrin mais clairement efficace pour le spectateur qui cherche à reposer son cerveau. De la baston à coups de battes de base-ball, des gunfights, des poursuites à 100 à l'heure ; la réalisation de Benjamin Rocher propose des scènes d'action qui ne manquent pas de punch. Néanmoins, la contrepartie de tout ça c'est que le scénario est basique et les personnages bien trop stéréotypés. Outre le face à face aux effluves de testostérone opposant Jean Reno à Thierry Neuvic, on est ravi de voir la présence au casting d'Alban Lenoir qui semble bien s'éclater. A voir sans prise de tête avec son petit paquet de pop-corn.

     

    Il faut le voir pour : Vous tenir loin des policiers armés de battes de base-ball !

  • Charlie Mortdecai

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    Bien qu’il arbore fièrement sa nouvelle moustache, notre pote Charlie Mortdecai (Johnny Depp) a d’autres soucis en tête comme ses ressources financières. Comme lui rappelle si bien sa femme Johanna (Gwyneth Paltrow), ils seront bientôt sur la paille et sont même déjà en train de vendre quelques effets personnels pour s’en sortir. La solution pourrait venir de l’Inspecteur Martland (Ewan McGregor) qui a besoin des services de Charlie afin de retrouver une toile de Goya qui a été volée. Cette peinture aurait été confiée à Bronwen (Norma Atallah) pour être restaurée mais celle-ci a été retrouvée morte ce qui laisse à croire qu’elle aurait fait une découverte importante.

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    Avant toute chose, il convient de préciser que Charlie Mortdecai doit se regarder avec beaucoup de second degré tant par son histoire que par l’interprétation des acteurs qui n’hésitent pas à surjouer. Le genre de rôle que Johnny Depp maitrise depuis quelques années maintenant et à moins de l’adorer, il faut avouer qu’il ne nous amuse plus vraiment. A partir de là il est donc difficile d’apprécier cette comédie aux traits grossiers, aux gags répétitifs même si elle propose un mixte pas non plus désagréable entre humour, action et enquête policière. Un film devant lequel on ne s’enthousiasme pas vraiment.

     

    Il faut le voir pour : Porter une moustache !

  • Hard Day

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    Sale période pour notre pote Ko Gun-Su (Lee Seon-gyoon) qui s’apprêtait à mettre en bière sa mère récemment disparue et il est alors appelé d’urgence par ses collègues de la brigade criminelle. Son service fait l’objet d’un contrôle de l’inspection et disons que ce lieutenant de police et ses partenaires auraient peut-être touché de l’argent de manière pas très légale. Il doit donc se rendre en vitesse au bureau mais sur la route, en voulant éviter un chien, il percute un homme qui meurt sur le coup. Dans la panique Gun-Su décide de mettre le corps dans son coffre et il va vite devoir trouver un moyen de s’en débarrasser.

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    Entre ce flic qui décide de maquiller un crime et ses collègues véreux, Hard Day ne va pas faire du bien à l’image des forces de l’ordre. On ne peut pas dire non plus que le scénario de ce policier coréen va révolutionner le genre ce qui ne l’empêche pas d’être particulièrement efficace. Pour son premier long-métrage, le réalisateur Kim Seong-hun fait du bon boulot avec une mise en scène dynamique où s’ajoutent également notes d’humour et de la bonne baston. Sans jamais se montrer réellement étincelant, il y a là largement de quoi contenter le spectateur qui trouvera un divertissement digne de ce nom.

     

    Il faut le voir pour : Penser à récupérer le portable avant de vous débarrasser d’un corps.

  • Valentin Valentin

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    Le corps sans vie de Valentin (Vincent Rottiers) a été retrouvé sous le petit pont. C’est une tragédie qui émeut tout un quartier où le jeune homme était apprécié de tous. A bientôt 30 ans, il avait touché un gros héritage de sa tante qui l’avait décidé de prendre une année sabbatique et à s’acheter un appartement. Au sein de cet immeuble, l’arrivée de Valentin n’a pas laissé insensible Noor, Florence & Elodie (Victoria Lafaurie, Agathe Bonitzer & Marilou Berry) qui vivent en colocation. Son charme semble opérer auprès de toutes les femmes et pourtant il va choisir la complication en s’engageant dans une relation avec Claudia (Marie Gillain) qui n’a aucuns scrupules à tromper son mari.

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    Dès les premiers instants, le spectateur est averti qu’un drame va se jouer. Le film choral s’installe et nous permet de découvrir le quotidien d’un immeuble à travers les portraits des différents habitants. Tout cela n’est qu’un prétexte pour multiplier les pistes conduisant à ce crime et nous poussant à échafauder tous les mobiles et donc coupables imaginables ; atmosphère que connait bien Pascal Thomas pour avoir adapté quelques œuvres d’Agatha Christie. C’est cette fois le roman La maison du lys tigré de Ruth Rendell qui donne naissance à Valentin Valentin, un policier qu’on appréciera surtout pour son casting éclectique et dynamique. Malgré une conclusion décevante, on passe plutôt un bon moment.

     

    Il faut le voir pour : Demander à votre femme de ne plus s’épiler les aisselles !