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nelly antignac

  • Ici bas

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    Plongé en plein cœur de la Seconde Guerre Mondiale et de l’occupation allemande, la France vit une des heures les plus sombres de son histoire. Autrefois prêtre, notre pote Martial (Eric Caravaca) a pris une décision lourde de conséquence en délaissant sa soutane pour revêtir l’habit de résistant ; un nouveau rôle qui n’est pas sans danger. Lors d’une mission, il se retrouve touché par une balle et en réchappe de justesse grâce notamment aux soins prodiguées par Sœur Luce (Céline Sallette). Pour cette dernière, la rencontre avec cet homme va être déterminante ; elle est totalement subjuguée par lui et est même prête à tout abandonner pour le rejoindre mais les sentiments sont-ils réellement réciproques ?

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    Bon je sais bien que le cinéma français a fait de beaux progrès ces dernières années mais quand je me retrouve devant Ici bas, je me croirais revenir dans les années 1990. Tout semble concourir pour que ça ait l’air vieillot alors forcément la différence est juste flagrante avec des productions plus modernes. Cet aspect finit donc par prendre le pas sur une histoire plutôt correcte inspirée d’un véritable fait-divers et servie par une double interprétation de qualité mais ça n’empêche pas que ce soit en compagnie d’un profond ennui qu’on va passer toute la séance. Si le fait de voir un espèce de téléfilm digne du dimanche après-midi de France 3 ne vous rebute pas alors peut-être vous laisserez-vous tenter.



    Il faut le voir pour : Ne jamais tromper une bonne soeur !

  • De bon matin

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    C’est une nouvelle journée qui commence pour notre pote Paul Wertret (Jean-Pierre Darroussin) ; comme chaque matin il se prépare pour se rendre au travail. A son arrivée à la banque BICF, c’est un homme déterminé et armé d’un pistolet qui pénètre dans les bureaux ; des coups de feu retentissent et des employés hurlent et courent dans tous les sens. Le calme et le silence reviennent, Paul s’installe à son bureau et réalise la tragédie qui vient de se jouer. Comment ce père de famille et employé jusque-là exemplaire a-t-il pu en arriver à cette extrémité ? Quels sont les évènements tant au niveau de sa vie privée que professionnelle ont rendu ce drame inévitable ?

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    En écho à certaines histoires qui ont défrayé les chroniques des faits-divers, De bon matin s’intéresse à l’aliénation d’un homme tout ce qu’il y a de plus ordinaire par son milieu professionnel et qui va soudainement commettre l’irréparable. Les premières minutes ne nous ménagent pas, on entre de plein pied dans le drame avant d’être exposé au portrait de cet homme et c’est là que le film perd parfois le spectateur. Evidemment, les séquences de flashback sont là pour apporter un éclairage sur les motivations de cet homme mais certains détails restent du domaine de l’insignifiant comme sa relation avec son fils ou la présence de Youssef. Le temps parait donc parfois bien long même si on ne peut rien reprocher à Darroussin.

     

     

    Il faut le voir pour : Poser un RTT pour demain !