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  • Captain Marvel

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    1995. En voulant échapper à ses geôliers, notre pote Vers (Brie Larson) a atterri en catastrophe sur Terre en plein milieu d’un vidéo-club de Los Angeles. Cette planète lui semble étrangement familière alors qu’elle est persuadée de n'être jamais venu et pourtant … Son arrivée n’est d’ailleurs pas passé inaperçu puisque très vite un certain Nick Fury (Samuel L. Jackson) arrive sur les lieux. C’est là qu’il apprend que des extraterrestres capables de changer d’apparence sont sur Terre, il s’agit des Skrulls ! Bien entendu, il a bien du mal à croire à cette histoire à dormir debout mais il va rapidement changer d’avis. Il décide alors de prêter main forte à la jeune femme qui part à la recherche d’une base militaire et cette quête va réveiller chez elle de profonds souvenirs.

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    C’est peu dire qu’on l’attendait depuis son arrivée annoncée dans Avengers Infinity War. Le Marvel Cinematic Universe donne ainsi pour la première fois la vedette à une super héroïne incarnée par Brie Larson qui devrait s’installer sur la durée. L’actrice confirme rapidement qu’on ne s’est pas trompé en la choisissant mais Captain Marvel apporte aussi son lot de déceptions. Si l’esprit des années 90 et les notes d’humour (un peu trop poussé à mon goût) savent faire leur effet, on regrette avant tout l’absence d’un véritable personnage pour lui tenir tête. Une fois mis de côté l’aspect buddy movie, les scènes d’action s'enchaînent sans réellement nous enchanter. Disons que c’est un bon amuse-bouche avant le dantesque Avengers Endgame !


    Il faut le voir pour : Surveiller votre chat, des fois que …

  • Spy

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    Si l'agent Bradley Fine (Jude Law) se trouve être d'un des meilleurs éléments de la CIA, il le doit aussi à sa pote d'enfance Susan Cooper (Melissa McCarthy). Cette dernière le guide dans chacune de ses missions grâce à une oreillette et jusqu'à présent c'est un duo qui a toujours fonctionné à merveille. Malheureusement alors que Bradley traquait la redoutable Raina Boyanov (Rose Byrne), il tombe dans un piège et se fait abattre par cette femme. Pire encore, cette dernière annonce avoir mis la main sur l'identité de tous les agents de terrain de la CIA et n'hésitera pas à en éliminer d'autres s'il le faut. C'est l'occasion pour Susan d'avoir un rôle plus actif et de venger ainsi son ami disparu.

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    Autant le réalisateur Paul Feig m'avait éclaté avec Mes meilleures amies autant c'était la douche froide avec Les flingueuses. Spy lui offre l'opportunité de se rattraper à travers une comédie teintée d'espionnage avec un agent vraiment pas comme les autres. Elle n'a pas la classe d'un James Bond, la plastique d'une Lara Croft ou l'énergie d'un Jason Bourne mais ce qui nous intéresse surtout c'est que Melissa McCarthy parvienne à nous faire marrer. On appréciera aussi la présence de Jason Statham qui ne manque pas une occasion lui non plus de déclencher quelques rires en faisant preuve d'une belle autodérision tout comme Rose Byrne. Si on n'est pas en présence d'une comédie extraordinaire, en tant que petit divertissement ça se montre tout à fait à la hauteur.

     

    Il faut le voir pour : Laisser les gens se servir avant vous quand vous allez au restaurant, c'est plus sur !

  • The Grand Budapest Hotel

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    Autrefois, le Grand Budapest Hotel faisait la fierté de Zubrowka. Ce n’était pas qu’un simple hôtel ; il s’agissait d’une véritable institution ! Le propriétaire se nomme Zero Moustapha (F. Murray Abraham / Tony Revolori) et à chacun de ses passages, il occupe toujours la même chambre, une petite chambre de bonne située au dernier étage. Ça pourrait vous étonner mais lorsqu’il a fait ses premiers pas dans ce lieu magique, il n’était qu’un simple Lobby boy. Il sera alors pris sous l’aile de M.Gustave (Ralph Fiennes), le concierge avec lequel il s’apprête à vivre une incroyable aventure. Assassinat, héritage, amour et pâtisseries ; après ça la vie de Zero ne sera plus jamais la même !

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    Ce qui est sur c’est qu’on oublie rarement un film de Wes Anderson et ça peut être aussi bien dans le sens positif que négatif. Une nouvelle fois, il nous entraine dans une drôle d’histoire en compagnie de Ralph Fiennes et du jeune Tony Revolori. En chemin, on a alors le loisir de croiser la méconnaissable Tilda Swinton ou encore d’apprécier le doigté de Willem Dafoe. Pas de doute, The Grand Budapest Hotel est une démonstration de la maitrise du réalisateur américain cependant on a un peu de mal à accrocher avec une première partie d’abord confuse puis laissant place à un certain ennui. Pour le reste il n’y a rien à dire on a une comédie haute en couleurs et surtout imprévisible, vous pouvez y réserver une chambre immédiatement !

     

    Il faut le voir pour : Constater qu’un chat ne retombe pas toujours sur ses pattes !

  • Effets secondaires

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    Après avoir été reconnu coupable de délit d’initié, notre pote Martin Taylor (Channing Tatum) a été condamné à une peine de prison dont il s’est aujourd’hui acquitté. C’est un soulagement pour sa femme Emily (Rooney Mara) mais dans le même temps celle-ci montre quelques signes inquiétants et elle ira jusqu’à provoquer un accident qui aurait pu lui couter la vie. C’est à l’hôpital que la jeune femme va faire la connaissance du Docteur Jonathan Banks (Jude Law) et ce psychiatre va alors prendre cette nouvelle patiente sous sa responsabilité. Il va également en profiter pour tester un médicament mais ignore encore que les effets secondaires de ce produit va couter la vie à quelqu’un. 

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    Après nous avoir rendu paranoïaque avec Contagion, Steven Soderbergh persiste et signe avec ce qui devrait être son dernier film ; Effets secondaires. On le sait, il reste difficile de savoir exactement ce qu’on ingurgite surtout quand il s’agit de médication, domaine qui peut réserve de bonnes comme de mauvaises surprises. Premier symptôme positif, un casting remarquable réunissant Catherine Zeta-Jones, Jude Law, Channing Tatum et surtout l’excellente Rooney Mara vraiment impeccable dans son rôle. On est moins charmé par une intrigue qui trouve son apothéose avec un joli twist mais qui n’arrive pas malgré tout à nous emballer, il faut croire qu’on nous a refilé là un générique !

     

    Il faut le voir pour : Surveiller votre femme quand elle prend ses médicaments !

  • Anna Karenine

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    Russie impériale en 1874. Afin de consoler sa belle-sœur Dolly (Kelly Macdonald), Anna Karénine (Keira Knightley) laisse pendant quelque temps mari et enfant pour se rendre à Moscou. A son arrivée, elle croise le regard du Comte Vronski (Aaron Taylor-Jonhson) et le coup de foudre est aussi instantané qu’il est réciproque mais l’officier est déjà engagé auprès de Kitty (Alicia Vikander). Pour éviter un scandale, Anna décide de retourner auprès de sa famille à Saint-Pétersbourg mais à sa grande surprise, Vronski l’a suivi. Elle aura tout fait pour résister à cette tentation mais l’amour est plus fort que tout et très vite des rumeurs naissent sur leur relation qui arrivent aux oreilles de l’époux d’Anna, Alexei (Jude Law).

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    L’œuvre de Tolstoï n’en est pas à sa première adaptation cinématographique aussi fallait-il que le réalisateur Joe Wright nous propose quelque chose d’inédit. C’est donc à travers une mise en scène particulièrement soignée que vous allez (re-)découvrir les malheurs d’Anna Karenine et c’est un spectacle plutôt enchanteur du moins au début. Le spectateur se retrouve dans les mêmes conditions que dans une salle de théâtre, de simples décors succèdent à de véritables paysages et tout ça apporte un vrai dynamisme qui s’éteint assez soudainement. Reste alors plus qu’à suivre les échanges entre Knightley, Taylor-Jonhson & Law qui finissent rapidement par rendre le film bien monotone.

     

    Il faut le voir pour : Préparer une soupe aux choux à la russe pour votre diner.

  • 360

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    Après mure réflexion et convaincue qu’elle n’a d’autres alternatives, notre pote Mirka (Lucia Siposová) s’est résignée à vendre son corps avec l’espoir de rencontrer un riche client qu’elle pourra dépouiller. Son premier boulot arrive dans la foulée ; elle doit retrouver un certain Michael Daly (Jude Law) mais ce dernier s’est défilé à la dernière minute. En voyage d’affaires, ce mari & père de famille a manque dé discrétion et cela pourrait avoir d’autres conséquences. Pendant ce temps, à Londres un couple vient de se séparer ; Laura (Maria Flor) a appris que son petit-ami Rui (Juliano Cazarré) avait une liaison et c’est pourquoi elle a claqué la porte pour retourner vivre au Brésil. Au cours de ce voyage, elle va croiser Tyler (Ben Foster), délinquant sexuel tout juste libéré de prison.

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    Après les favelas brésiliens ou avoir plongé le monde dans le noir, Fernando Meirelles s’essaye maintenant au film choral en adaptant la pièce de théâtre La ronde d’Arthur Schnitzler. Ce sont donc une petite dizaine de personnages qui nous sont présenté seulement chacun ne va pas avoir droit au même traitement. Si 360 développe certaines histoires, il en délaisse aussi d’autres comme celles du couple Jude Law / Rachel Weisz ou encore l’aventure de notre cher Jamel Debbouze. Un déséquilibre plutôt étrange associé à des portraits peu captivants (le seul intéressant étant celui de Tyler) font qu’on a là un résultat décevant qui ne déchainera pas les passions dans les salles obscures.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de donner votre vrai nom quand vous souhaitez tromper votre femme avec une prostituée !

  • Sherlock Holmes 2 : Jeu d’ombres

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    A l’aube du 20ème siècle, les relations entre la France et l’Allemagne n’ont jamais été aussi tendues et le récent attentat qui a frappé Strasbourg ne va pas apaiser la situation. Ces attaques sont mises sur le dos des anarchistes mais notre pote Sherlock Holmes (Robert Downey Jr.) est lui sur une tout autre piste menant droit vers le Dr. James Moriarty (Jared Harris). Bien loin de ces affaires, John Watson (Jude Law) ne pense lui qu’à son mariage avec la charmante Mary (Kelly Reilly) mais leur voyage de noces va tourner court. Entre Moriarty et Holmes commence effectivement une passionnante partie d’échecs à grande échelle où tous les coups sont permis ! Le détective a trouvé un adversaire de taille face auquel il est vulnérable et l’issue est plus qu’incertaine.

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    Guy Ritchie avait réussi à redonner vie, avec l’adhésion du public, au célèbre duo de détectives ce qui l’a conduit à mettre en route cette suite dans la foulée qui reste ainsi dans l’esprit de l’épisode précédent. On retrouve bien entendu les vedettes que sont Downey Jr. & Law ainsi qu’une brève apparition de Rachel McAdams dans un film qui sait allier le spectaculaire et un scénario faussement complexifié. L’esprit de déduction de l’inspecteur de Baker street est plus que jamais magnifié par le réalisateur qui a tout de même le bon sens de ne pas trop nous abreuver de ce genre d’artifices. Sherlock Holmes 2 : Jeu d’ombres apparait plus adapté au grand public pour ne pas dire banalisé mais se révèle dans l’ensemble assez efficace, en résumé un bon divertissement ni plus ni moins.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre l’art du camouflage urbain !


    En savoir plus sur Sherlock Holmes ?

  • Hugo Cabret

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    Ce sont des milliers et des milliers de personnes qui traversent chaque jour cette gare et c’est là qu’habite notre pote Hugo Cabret (Asa Butterfield). Enfin, pour être tout à fait exact, il vit dans les entrailles du bâtiment là où personne ne peut soupçonner sa présence et il s’occupe de remonter toutes les horloges de la gare. Le jeune garçon est féru de mécanique et a en sa possession un objet inestimable : un automate que lui avait présenté son père aujourd’hui disparu. Pour le réparer, Hugo doit dénicher de nombreuses pièces mécaniques et pour cela il s’approvisionne (de manière plus ou moins légale) chez le marchand de jouets, un certain Georges (Ben Kingskey). Lorsque ce dernier s’en rend compte, la rencontre avec le jeune voleur provoque des étincelles.

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    Si le grand Martin Scorcese n’était pas derrière les caméras, on pourrait facilement croire que ce Hugo Cabret n’est qu’un petit film destiné aux enfants. Adaptation du roman de Brian Selznick, cette œuvre n’est pas qu’un simple récit d’aventures mais aussi un hommage au réalisateur français Georges Méliès. Si on est tout de suite séduit par son univers étonnant avec cette gare parisienne reconstituée qui nous engloutit littéralement à travers ses apparences steampunk, la première heure est loin d’être emballante ! Le film ne devient passionnant qu’à partir du moment où on découvre le vrai visage de Georges c’est dire s’il faut de la patience avant de se faire un peu plaisir. La magie n’opère pas donc on va rapidement l’oublier et on épargnera un long moment aux enfants.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir les origines des effets spéciaux du cinéma.

  • Contagion

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    Après un voyage professionnel à Hong-Kong, notre pote Beth Emhoff (Gwyneth Palthrow) est heureuse de retrouver sa famille mais elle ne se sent pas en grande forme. Les jours suivants, son état empire et elle est victime d’une violente crise qui va la terrasser ; sa mort n’est que le début d’une terrible épidémie. Partout à travers le monde ce mal inconnu frappe et la contagion s’effectue à une vitesse vertigineuse. Le contact avec une personne infectée ou d’un objet manipulé par celle-ci suffit pour transmettre le virus et en quelques jours ce sont donc des millions de victimes qui seront touchées. On tente bien entendu de mettre au point un vaccin mais cela s’avère extrêmement difficile et malheureusement le temps manque !

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    Déjà si vous êtes quelqu’un d’hypocondriaque, il est interdit d’aller voir le dernier film de Steven Soderbergh car vous risquez de ne plus dormir ! Contagion est plutôt efficace ; on plonge avec plaisir dans ce monde infecté et le réalisateur se plait à aiguiser notre paranoïa sur chaque plan. Jusque là tout va bien mais le seul souci c’est qu’au-delà d’une belle entrée en matière, l’histoire finit par se décomposer et par perdre tout intérêt. On piaffe d’impatience de voir arriver un dénouement bien décevant et on ressort avec un avis plutôt mitigé. Malgré son riche casting (et une Marion Cotillard au rôle presque anecdotique) et un scénario habile, on n’est pas complètement contaminé par ce film.

     

    Il faut le voir pour : Prendre rendez-vous chez votre médecin, vous lavez les mains, faire des provisions, vous lavez les mains, porter un masque, vous lavez les mains, rester enfermé chez vous pour les 29 prochaines années et …. vous lavez les mains !

  • Sherlock Holmes

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    Ils l'avaient pourtant vu de leurs propres yeux ; Blackwood (Mark Strong) avait été condamné à la pendaison et c'est John Watson (Jude Law) lui-même qui avait prononcé sa mort. Le Docteur et son compère de toujours Sherlock Holmes (Robert Downey Jr) ont donc été grandement étonnés lorsqu'ils ont appris sa réapparition et ils font preuve d'une extrême méfiance. Blackwood lui-même avait annoncé sa résurrection et il semble que sa passion pour la magie noire lui ait permis de revenir d'entre les morts. Foutaises selon Holmes qui va tout faire pour trouver une explication rationnelle mais le temps presse car Blackwood sème sur son chemin de nouveaux cadavres.

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    Le célèbre inspecteur de Baker Street renait grâce aux caméras de Guy Ritchie qui nous sert une version modernisée tout en restant respectueuse à l'œuvre originale de Sir Arthur Conan Doyle. Points positifs, le réalisateur a su créer un univers qui s'approche du steampunk et fait preuve parfois de génie dans la mise en scène. Avec son flegme légendaire, Sherlock Holmes nous entraine ainsi à travers des aventures teintées de magie noire sans oublier sa relation ambiguë avec son partenaire Watson. Le scénario est un peu trop obscur pour qu'on puisse réellement accrocher et puis le personnage de Blackwood est tout sauf captivant. Un essai prometteur mais qui demande à être transformé pour une suite déjà annoncée avec certainement le Dr Moriarty.

     

    Il faut le voir pour : Affuter votre sens de l'observation.


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