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roschdy zem

  • Chocolat

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    1897, dans le Nord de la France. Il est connu sous son nom de clown ; Footit (James Thierrée) cherche aujourd'hui à se faire engager dans la troupe du Cirque Delvaux. Malheureusement son numéro ne convainc pas, on le juge dépassé alors qu'on cherche quelque chose de plus novateur. Footit va avoir une idée en assistant au spectacle où il y découvre Rafaël Padilla (Omar Sy) qui incarne un cannibale africain. Un duo inédit va alors naître et les débuts de Footit & Chocolat sont couronnés de succès au point que M. Oller (Olivier Gourmet) va les inviter à rejoindre Paris. Un nouveau triomphe mais Rafaël va traverser des périodes difficiles à cause de son addiction aux jeux et à l'alcool.

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    Tombé dans l'oubli, le nom de Rafaël Padilla qui aura connu la gloire avec le personnage de Chocolat brille de nouveau. Une initiative que l'on doit à Roschdy Zem qui repasse derrière les caméras et revient sur le destin de celui qui fut le tout premier artiste noir français. En guise de scénario, c'est un parcours assez familier qui nous est offert avec l'ascension avant que ne viennent se manifester les premières nuances du portrait. De film en film , Omar Sy se montre chaque fois plus étonnant mais il faut aussi saluer l'excellente prestation de son partenaire James Thierrée. Voilà donc un bel hommage qui permettra de faire connaître cet artiste au plus grand nombre.

     

    Il faut le voir pour : Se souvenir de Rafaël Padilla

  • On a failli être amies

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    Carole (Emmanuelle Devos) aimerait donner un nouvel élan à sa vie. Bien sur en apparence elle a tout pour être heureuse auprès de Sam (Roschdy Zem), grand chef cuisinier qui fait le succès du restaurant le Moulin blanc. Dans le plus grand des secrets, elle va donc effectuer un bilan de compétences et c’est à cette occasion qu’elle va faire la connaissance de sa future pote d’enfance Marithé (Karin Viard). Alors que Carole se pose de nombreuses questions sur son avenir aussi bien d’un point de vue professionnel que personnel, Marithé éprouve bien du mal à résister à la cuisine et surtout au charme de Sam.

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    Derrière ses atours de comédie, le film d’Anne Le Ny s'intéresse à un thème résolument moderne à savoir la reconversion professionnelle et l'épanouissement personnel. Envie de renouveau pour Emmanuelle Devos, engagement total au point de s’oublier pour Karin Viard ou expression d’une passion pour Roschdy Zem ; ce sont autant de portraits qui vont au final composer un triangle amoureux attachant. Grâce à cette distribution irréprochable, On a failli être amies se révèle ainsi plutôt sympathique dans l'ensemble sans pour autant laisser une véritable empreinte dans la tête des spectateurs.

     

    Il faut le voir pour : Penser à votre future reconversion dans la fauconnerie !

  • On a failli être amies

    Dans On a failli être amies, Emmanuelle Devos avait besoin d'un bilan de compétences pour trouver un travail où elle pourrait réellement s'épanouir. C'est ainsi qu'elle fait la connaissance de Karin Viard qui va devenir une vraie pote d'enfance jusqu'à ce que celle-ci se rapproche un peu trop de Roschdy Zem.

    Date de sortie : 25 Juin 2014.


  • Bird people

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    10 heures par semaine ! Voilà le temps que passe notre pote Audrey Camuzet (Anaïs Demoustier) pour se rendre à son travail à l’hôtel Hilton près de l’aéroport Roissy Charles De Gaulle. Elle s’occupe du ménage dans les chambres et c’est aussi là que Gary Newman (Josh Charles) va résider pour quelques heures. Il est là pour un rendez-vous professionnel mais doit repartir dès le lendemain pour Dubaï mais il ne prendra finalement pas ce vol. Après une nuit très agitée, il prend une décision importante puisqu’il est déterminé à tout plaquer que ce soit son travail ou sa vie aux Etats-Unis où l’attend notamment sa femme Elisabeth (Radha Mitchell).

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    Si vous avez un conjoint qui a l’habitude des déplacements professionnels, vous risquez de ne plus le laisser partir après avoir regardé Bird people ! On pose d’abord les bases du film à savoir la vie dans cet hôtel et à  partir de là, un premier portrait se dresse ; celui de Gary voguant entre le burn-out et la dépression puis celui consacré à Audrey. C’est dans ce dernier que la réalisatrice Pascale Ferrand nous réserve une drôle de surprise qui risque d’en perturber plus d’un. Composé de rencontres plus  ou moins furtives, c’est un film qui n’est pas toujours passionnant mais duquel ressortent les belles prestations de Josh Charles & Anaïs Demoustier.

     

    Il faut le voir pour :Laisser vos fenêtres ouvertes pour les oiseaux !

  • Bird People

    Notre pote Josh Charles devait embarquer sur un avion pour se rendre à Dubaï mais décide finalement de rester dans sa chambre d'hotel près de Roissy. C'est d'ailleurs là que travaille notre pote Anaïs Demoustier qui pourrait elle aussi voir sa vie basculer dans Bird People.

    Date de sortie : 04 Juin 2014.


  • Intersections

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    C’est dans un luxueux hôtel isolé dans le désert saharien que nos potes Taylor & Scott (Jaimie Alexander & Frank Grillo) ont décidé de passer leur lune de miel mais derrière ce couple heureux se cache une autre réalité. Riche financier, Scott ignore qu’il est l’objet d’un complot fomenté par sa propre femme et avec l’aide d’un certain Travis (Charlie Bewley) et ils vont bientôt agir mais leur plan ne va pas se dérouler comme prévu. Après une course-poursuite, leurs véhicules percutent d’autres voitures qui étaient à l’arrêt et surtout l’accident fait plusieurs victimes. Au milieu de nulle part, ils se retrouvent coincés avec Omar (Moussa Maaskri), un prisonnier et Audrey (Marie-Josée Croze) accompagnée de son bébé avant que débarque Saleh (Roschdy Zem).

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    Comme tout film choral qui se respecte, l’intrigue d’Intersections se dévoile tel un sablier qui s’égraine et ça ne manque pas de retournements de situations prenant parfois des tournures rocambolesques. Un scénario poussif qui n’aide vraiment pas à ce qu’on s’intéresse au destin des différents protagonistes qu’ont sent parachutés là pour essayer de monter une histoire. Roschdy Zem est là pour remettre un peu d’ordre à la situation, Moussa Maaskri occupe le rôle du méchant de service et Marie-Josée Croze joue les baby-sitters mais tout ça n’offre pas de réelle cohérence au long métrage qui devient vite insignifiant. Le désert ne semble donc pas servir uniquement de décor !

     

    Il faut le voir pour : Faire attention à la circulation quand vous roulez dans le désert saharien.

  • Mains armées

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    Une vague de violents braquages frappent la France actuellement laissant derrière eux de nombreuses victimes. Les criminels sont munis de véritables armes de guerre dérobés à l’OTAN et écoulées aux bons soins d’une filière serbe très bien organisée. Le Commissaire Lucas Skali (Roschdy Zem) et son équipe se chargent de cette enquête qui va les mener à Paris où serait entreposé ce stock d’armes. Les circonstances l’amènent à prendre contact avec Maya Dervin (Leila Bekhti)qui travaille aux Stups mais qui est aussi sa fille ! Entre les deux, c’est loin d’être l’amour fou car Lucas n’a jamais assumer son rôle de père et Maya de son coté ne lui a jamais pardonné son absence.

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    C’est un retour aux sources pour le réalisateur Pierre Jolivet, son unique film policier étant également sa première œuvre à savoir Strictement personnel. Mené par le duo Roschdy Zem / Leila Bekhti, Mains armées nous catapulte au cœur d’une enquête de grande envergure avec en arrière-plan des retrouvailles familiales bien particulières. Arrestations, filatures, indics et aussi quelques arrangements à l’amiable sont de la partie mais coté action c’est plutôt discret. Quant à la relation entre ce père et sa fille, elle ne se résume qu’à de trop brèves échanges qui manquent de réellement nous convaincre.

     

    Il faut le voir pour : Demander à vos enfants ce qu’ils écoutent comme musique.

  • Sans issue

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    Les vacances ont débuté sous de mauvais auspices pour notre pote Will Shaw (Henry Cavill) ; à peine arrivé en Espagne, il apprend que sa valise est restée bloquée aux États-Unis. Il se réjouissait pourtant à la perspective de retrouver sa famille mais un coup de fil professionnel va l’obliger à écourter son séjour ce qui ne semble pas plaire à son père Martin (Bruce Willis). L’ambiance est électrique sur le bateau familial et Will décide d’aller se calmer en ville mais à son retour, il découvre un voilier vide et vraisemblablement il s’est passé quelque chose de grave. Après avoir sollicité l’aide de la police locale qui va s’avérer inutile, son père vient à sa rescousse avec une révélation de taille : il n’est pas attaché culturel mais un agent d’une branche de la CIA !

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    Il nous avait étonné avec son JCVD, Mabrouk El Mechri signe cette fois Sans issue, un thriller au fort accent hispanique mais le résultat final est loin de combler nos espérances. S’il y a un certain plaisir à revoir Sigourney Weaver, son rôle est insipide tout comme la participation de Bruce Willis, reste alors Henry Cavill et sa belle gueule mais qui ne possède pas le charisme nécessaire pour porter sur ses épaules ce film d’action comme c’était déjà le cas avec Les immortels. Les scènes se succèdent sans conviction faisant au passage une petite visite guidée de Madrid mais devant un spectacle aussi soporifique, le spectateur sera plus tenté de trouver l’issue de secours de la salle !

     

    Il faut le voir pour : Lâcher votre portable quand vous êtes en famille ou sinon on s’en occupera pour vous !

  • Une nuit

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    Lorsque les lueurs du soleil s’éteignent, Paris dévoile son autre visage. C’est à ce même moment que notre pote Simon Weiss (Roschdy Zem) prend son service car il est flic au sein de la Mondaine, une unité spécialisée dans la répression du trafic des drogues et du proxénétisme. C’est lui notamment qui fait la pluie et le beau temps ; chaque établissement a besoin de son accord pour obtenir le droit d’ouvrir ou tout simplement de rester ouvert. Cette nuit, c’est Laurence (Sarah Forestier) qui va lui servir de chauffeur et elle va avoir pour compagnon un homme particulièrement nerveux. Il a en effet découvert qu’il avait l’IGS sur le dos et des bruits courent sur les pots-de-vin dont il bénéficierait et ça il ne le supporte pas, il y a des comptes à régler !

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    Comme toutes les grandes villes du monde, Paris a une vie nocturne des plus débridées et Une nuit nous entraine donc aux quatre coins de la capitale. Boite de nuit, bars, établissements de strip-tease ; on a droit à tout ce qui fait le charme du milieu de la nuit grâce à  notre guide Roschdy Zem qui carbure aux verres de scotch et cigarettes. Au terme des 20 premières minutes, on est tenté de dire que tout ça est bien mollasson et on va alors vite constater que ce thriller n’est pas là pour nous abreuver d’action. Il s’agit d’un film qui fait primer l’atmosphère, un scénario qui se construit minutieusement avec tout de même un bouleversement dans le dénouement mais pas suffisant pour passer une bonne nuit.



    Il faut le voir pour : Arrêter de fumer des cigarettes light et puis pourquoi pas arrêter de fumer tout court !

  • Omar m’a tuer

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    Le 24 Juin 1991, Ghilaisne Marchal était retrouvée sauvagement assassinée dans la cave de sa maison à Mougins. La police n’a pas eu à chercher bien loin le coupable de cette scène d’horreur puisqu’ils retrouvent sur les lieux une inscription qui deviendra célèbre Omar m’a tuer. Cette personne qu’elle désigne est Omar Raddad (Sami Bouajila) son jardinier et lorsque celui-ci est arrêté, il clame son innocence en vain. Arrivé en France depuis 6 ans, il n’arrive pas à s’exprimer clairement en français ce qui constitue un fort handicap pour sa défense mais on va rapidement s’apercevoir que l’enquête menée est truffée d’erreurs et d’incohérences. Des experts qui reviennent sur leurs conclusions, des éléments d’enquête qui disparaissent ; il semble que l’on fasse tout pour faire d’Omar le coupable idéal.

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    C’est un des fait divers les plus médiatiques de ces 20 dernières années, le meurtre de Ghislaine Marchal reste aujourd’hui encore un grand mystère irrésolu. Roschdy Zem revient sur cette erreur judiciaire avec brio à travers Omar m’a tuer et surtout avec un Sami Bouajila époustouflant. Cependant, il faut bien garder à l’esprit qu’il s’est basé sur le témoignage d’Omar Raddad dans son livre Pourquoi moi ? et d’Omar : la construction d'un coupable de Jean-Marie Rouart. C’est donc un vrai plaidoyer en faveur de l’ancien jardinier ce qui va à coups sur faire élever quelques voix. S’il faut juger simplement l’œuvre, on ne peut que se réjouir de voir se confirmer les talents de réalisateur de Roschdy Zem et saluer l’énorme performance de Bouajila qui habite totalement son personnage.

     

    Il faut le voir pour : Réviser votre conjugaison !