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romance

  • Monsieur

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    C’est en catastrophe que notre pote Ratna (Tillotama Shome) a dû quitter sa famille et retourner à Mumbai pour reprendre son poste de servante. Son employeur, Ashwin (Vivek Gomber) était parti pour se marier mais il est revenu sans donner de véritables explications ; ce qui est sûr c’est qu’il est effondré. Le quotidien a repris doucement son cours, quand Ratna n’a pas à s’occuper du ménage dans l’appartement ou des repas, elle apprend la couture ou du moins elle se donne les moyens de le faire. Alors qu’Ashwin se remet doucement de ce mariage avorté, il s’intéresse aussi davantage à la vie de son employée et leur relation va progressivement évolué. Ils vont ainsi se rapprocher l’un et l’autre jusqu’à ce qu’ils laissent leurs sentiments s’exprimer.

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    Elle s’est d’abord essayée au documentaire, c’est désormais avec la réalisation d’un premier long-métrage que l’on retrouve notre pote Rohena Gera. Monsieur met en opposition deux mondes opposés ; Ashwin et son mode de vie aisé et Ratna aux origines bien plus modestes. Si on comprend rapidement que l’histoire va se muer en romance, cette héroïne se montre bien plus intéressante que celle qu’on a l’habitude de voir dans ce genre de films. On a en effet devant nous une femme qui a traversé d’importantes épreuves façonnant une forte personnalité ; sa détermination en fait un personnage solaire. Le charme de l’actrice Tillotama Shome fait alors clairement son effet nous faisant presque oublier une conclusion un peu trop téléphonée.

    Il faut le voir pour : Offrir des cours de couture à votre femme, elle arrêtera d’acheter des vêtements !

  • 50 nuances plus claires

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    Ils se sont dit Oui ! Nos potes Anastasia & Christian (Dakota Johnson & Jamie Dorman) sont maintenant mariés et ils profitent pleinement de leur lune de miel avec un magnifique voyage en France. Ils sont toutefois ramenés brusquement à la réalité lorsqu’ils apprennent qu’un incendie d’origine criminelle s’est déclarée dans les bureaux de Christian. Avec l’aide de la vidéosurveillance, le coupable est rapidement identifié et ce n’est autre que Jack Hyde (Eric Johnson) mais celui-ci reste jusqu’à présent introuvable. Le mariage a changé beaucoup de choses pour Anastasia qui doit notamment s’habituer à vivre avec des gardes du corps à ses côtés.

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    Sortez les fouets et les menottes, nos potes Dakota Johnson & Jamie Dorman viennent (enfin) conclure la saga érotique née de l’imagination de l’auteure E.L. James. Avec 50 nuances plus claires, on reste dans la continuité des précédents opus à savoir une intrigue aussi légère que les tenues arborées par Anastasia et une louchette de scènes érotiques pour faire monter la température.En dehors de ça, rien de nouveau à l’horizon et en se fiant à ces adaptations cinématographiques, il est bien difficile de comprendre comment tout ceci a pu se métamorphoser en un phénomène mondial. Pour souffrir pas toujours besoin d’accessoires, un film peut suffire !



    Il faut le voir pour : Laisser plus souvent le volant à votre femme et surtout trouver une place de parking discrète !

  • Free dance

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    Passionnée par la danse, Ruby (Keenan Kampa) vit actuellement un rêve éveillé puisqu’elle a l’opportunité de rejoindre le prestigieux Conservatoire des arts de Manhattan. Pour la jeune femme, le plus dur commence car les cours qui y sont dispensés requièrent une extrême exigence mais elle pourra compter sur le soutien de sa nouvelle pote d’enfance Jasmine (Sonoya Mizuno). Ruby fera également la connaissance de Johnnie Blackwell (Nicholas Galitzine), un violoniste talentueux qui n’a malheureusement comme public que les usagers du métro new-yorkais. Si l’amour va les réunir, ils ont aussi décidé de se lancer dans un concours qui pourrait résoudre bon nombre de leurs problèmes.

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    Échange de regards au ralenti, baiser langoureux avec une caméra tournant à 360°, un scénario pondu par un Bisounours ; non décidément Free dance ne nous épargne rien au niveau des clichés. Il faut aussi souligner des dialogues profonds dont on retiendra le "Une danseuse, ça danse !" qui s’inspire certainement de l’expression "L’eau ça mouille". Comment ne pas avoir le sourire en coin également devant certaines scènes comme cette confrontation à l’archer de violon digne d’un combat de sabres laser de chez Star Wars. Autant une saga comme Sexy Dance assure le spectacle autant ce film de Michael Damian est d’une infinie tristesse.

     

    Il faut le voir pour : Trainer dans le métro, vous y verrez peut-être une battle de danse !

  • Joyeuse fête des mères

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    Bien que divorcés, nos potes Sandy & Henry (Jennifer Aniston & Timothy Olyphant) ont gardé d'excellents rapports pour le plus grand bonheur de leurs deux fils. La jeune femme femme a remarqué un changement dans le comportement de son ex-mari et elle commence à se demander s'il n'essaierait pas de recoller les morceaux. Pendant ce temps, à l'approche de la fête des mères, Jesse (Kate Hudson) se met à penser à la sienne avec laquelle elle s'était disputé et à qui elle n'a pas adressé la parole depuis. Poussée par sa sœur Gabi (Sarah Chalke), elle se décide à la recontacter sans se douter que cela va provoquer des retrouvailles qui s'annoncent animées !

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    On dirait bien que Garry Marshall a trouvé un bon filon pour pérenniser sa carrière de réalisateur puisque après Valentine's day & Happy new year ; voilà qu'il vient nous souhaiter une Joyeuse fête des mères ! La formule n'a pas changé d'un iota avec la présence d'une multitude de personnages et d'histoires oscillant entre l'émotion (les histoires de Bradley & Kristin) et le vaudeville de bas-étage (Jesse et ses parents). Mielleux à souhait et aussi prévisible qu'un discours politique en pleine campagne présidentielle, la comédie est digne de ses prédécesseurs à savoir un produit sans saveur. Vous aurez peut-être envie d'aller le voir avec votre mère mais je ne suis pas certain qu'elle prenne cela comme un cadeau !


    Il faut le voir pour : Apprendre à tweeter si vous voulez être une maman branchée !

     

    En savoir plus sur Valentine's day ?

    En savoir plus sur Happy new year ?

  • Alaska

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    Paris. Notre pote Nadine (Astrid Bergès-Frisbey) est venue pour passer un casting et c'est à cette occasion qu'elle rencontre Fausto (Elio Germano). Lui est un employé de l’hôtel où se déroule le casting et en voulant impressionner la jeune femme, il lui a proposé d'aller visiter la plus luxueuse chambre de l’établissement. Ils seront cependant surpris par le client et éclate ensuite une bagarre qui condamnera Fausto à 2 ans de prison. Durant son incarcération, il ne cessera de penser à Nadine qui entretemps est devenue mannequin et qui vit désormais à Milan. Elle ne lui a donné aucunes nouvelles mais sera présente lorsqu'il retrouve la liberté.

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    Le bonheur des uns fait le malheur des autres, une expression qui est encore plus difficile à vivre lorsqu'il est ramené au duo Nadine / Fausto. Pour son 3ème long-métrage, le réalisateur italien Claudio Cupellini a donc choisi de nous présenter l'histoire de ce couple qui s'étale sur plusieurs années. Une relation évidemment empreinte d'amour et de passion mais traversée aussi par les moments de doute et les drames. Si Alaska se montre passionnant c'est en grande partie grâce aux présences de ces amants magnifiques que sont Astrid Bergès-Frisbey & Elio Germano qui sont simplement impeccables. Un beau film qui nous rappelle qu'il n'est pas toujours facile d'aimer !

     


    Il faut le voir pour : Ne pas dire à votre conjoint où vous planquez vos économies !

  • Carol

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    1952 à New York. Therese Belivet (Rooney Mara) est vendeuse dans le rayon jouets du grand magasin Frankenberg. Nous sommes à quelques jours de Noël et c'est en ce lieu qu'elle va faire la connaissance de Carol Aird (Cate Blanchett), une cliente à la recherche d'un cadeau pour sa fille. A son départ, la mère de famille oublie ses gants que Therese va prendre soin de lui renvoyer. C'est ainsi que les deux femmes reprennent contact et vont passer de plus en plus de temps ensemble ce que ne semble pas apprécier Harge (Kyle Chandler), le mari de Carol. Ce couple semble se désunir jour après jour mais ils font tout leur possible pour préserver leur fille Rindy (Kennedy K. Heim).

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    Adaptation du roman de Patricia Highsmith (en partie autobiographique), cette romance entre deux femmes n'aura pas manqué de provoquer quelques remous dans l'Amérique du début des années 1950. Une histoire d'amour qui se heurte à l'incompréhension de l'époque notamment à travers le personnage de Carol tiraillée entre sa condition de femme et celle de mère. La réalisation de Todd Haynes fait preuve d'une grande délicatesse à laquelle vient s'ajouter un formidable duo d'actrices. Si Cate Blanchett livre une nouvelle fois une prestation parfaite, on en oublie pas pour autant sa partenaire Rooney Mara. Un film à découvrir avant tout pour l'interprétation car l'histoire elle, reste somme toute assez classique.

     

    Il faut le voir pour : Offrir un train électrique à votre fille ça la changera des poupées !

  • Flashdance

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    Le jour elle travaille sur un chantier de Pittsburgh et il faut attendre la nuit tombée pour découvrir la véritable Alexandra Owens (Jennifer Beals) ! En effet, c'est au Mawby's bar qu'elle peut s'exprimer librement à travers sa seule et unique passion : la danse ! Du talent elle en a indéniablement, il n'y a qu'à voir tous ces regards scotchés durant chacune de ses prestations, la seule chose qui lui manque c'est de la confiance. Alexandra n'a jamais eu l'occasion de fréquenter les écoles de danse et a tout appris seule. Lorsqu'elle se présente dans des concours, elle se sent dévalorisé face aux autres mais grâce à son entourage, ses rêves pourraient un jour se réaliser.

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    Classique des années 1980, c'est toutefois en 2015 que je découvre pour la première fois ce film d'Adrian Lyne (et produit par Don Johnson & Jerry Bruckheimer !) ; une précision qui a son importance quand a défilé devant mes yeux les Sexy Dance ou Street Dance. Flashdance a été l'un des précurseurs du genre puisqu'on retrouve le schéma maintenant bien connu de la jeune femme sympa, pas avare d'efforts, qui va tomber amoureuse bref tout ce qu'il faut pour s'attirer la compassion des spectateurs. Le plus décevant reste toutefois que visuellement c'est pauvre, on a que peu l'occasion de voir Jennifer Beals - ou du moins sa doublure - en action. Cela ne compense pas ses faiblesses mais le film a tout de même eu droit à une belle bande originale.

  • Le goût des Merveilles

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    A la disparition de son mari, notre pote Louise (Viriginie Efira) a repris ses activités dans l'agriculture mais elle rencontre de nombreuses difficultés financières. Heureusement, elle peut compter sur le soutien de ses enfants Emma & Felix (Lucie Fagedet & Léo Lorléac'h) mais la vie de cette famille va être bouleversée avec l'arrivée de Pierre (Benjamin Lavernhe). Tout a commencé lorsque Louise l'a percuté avec sa voiture et l'a invité à la maison pour le soigner mais il s'avère que cet homme est différent. Il va ainsi passer la nuit chez Louise où il se sent particulièrement bien ce qui est plutôt curieux lui qui n'est d'ordinaire pas l'aise avec les inconnus.

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    L'air pur de la campagne et un brin de romance ; voilà ce qui vous attend avec Le goût des Merveilles. Inutile de s'interroger très longtemps sur l'issue de la comédie d'Eric Besnard mais elle a tout de même la spécificité de nous présenter un personnage atypique et c'est pour nous l'occasion de découvrir un peu plus Benjamin Lavernhe, pensionnaire de la Comédie française. Pierre c'est un peu le mélange de Rain man et Forrest Gump ce qui le rend évidemment attachant mais le jeu de l'acteur peut aussi par moments agacer. Un film qui offre un petit moment d'évasion malgré des personnages beaucoup trop lisses.

     

    Il faut le voir pour : Pincer les gens quand vous les aimez !

  • Marguerite et Julien

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    Ils se connaissent depuis toujours et sont quasiment inséparables ; Marguerite (Anaïs Demoustier) aime Julien (Jérémie Elkaïm) et c’est réciproque mais de tels sentiments sont inappropriés aux yeux de leur entourage et pour cause ils sont frère et sœur ! Une relation que surveille de près leur oncle qui ira jusqu’à convaincre leurs parents de les séparer. C’est ainsi que durant de nombreuses années Julien et son frère Philippe (Bastien Bouillon) quittent leur foyer pour parfaire leur éducation. Durant tout ce temps, Marguerite refusera tous les prétendants qui se présentent à elle jusqu’au retour tant attendu de son frère.

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    Valérie Donzelli n’entend pas entrer dans le moule des réalisateurs et le prouve une fois de plus avec cette romance pour le moins particulière. Difficile en effet de ne pas se laisser envahir par le sentiment de malaise devant cette relation incestueuse qui se dévoile devant nos yeux. Ce scénario peu ordinaire s’est inspiré de la véritable histoire du couple Marguerite et Julien De Ravalet datant du 17ème siècle et comme pour souligner l’aspect hors-norme du récit, le film se retrouve truffé d’anachronismes. Marguerite et Julien ne peut pas laisser indifférent tout comme la belle prestation d’Anaïs Demoustier qui ne trouve que peu d’écho face à un Jérémie Elkaïm bien fade.

     


    Il faut le voir pour : Se réjouir d’être enfant unique !

  • Mon roi

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    C'est au terme d'une soirée en boite de nuit que nos potes Tony & Georgio (Emmanuelle Bercot & Vincent Cassel) se sont rapprochés. L'attirance mutuelle entre les deux sautait aux yeux, leur complicité naissante a fait le reste pour un couple qui n'attendait qu'à couler des jours heureux. Le bonheur est cependant toujours fragile et Agnès (Chrystèle Saint-Louis Augustin), l'ex-compagne de Georgio va avoir un rôle important dans leur histoire. Elle supporte mal le fait de voir son ancien compagnon refaire sa vie et ce dernier n'est pas non plus exempt de tous reproches. Du rire aux larmes, de l'amour à la haine ; les frontières peuvent rapidement être franchies.

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    C'est une réalisatrice qui ne peut pas vous laisser indifférente et c'est pourquoi Maïwenn était encore une fois attendue avec Mon roi. Le film s'ouvre sur une femme brisée à la fois physiquement et mentalement ; les origines de ce mal nous sont alors dévoilés progressivement à renforts de flashbacks. Évidemment tous nos regards sont braqués sur une formidable Emmanuelle Bercot très justement récompensée par le Prix d'interprétation féminine durant le Festival de Cannes 2015. Un film intense qui nous fait passer par toutes les émotions servi par un casting solide et une mise en scène moderne.

     


    Il faut le voir pour : Essayer le coup du "Tu prends mon téléphone ?" mais peut-être pas avec votre dernier Samsung Galaxy S6.