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anne azoulay

  • Bird people

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    10 heures par semaine ! Voilà le temps que passe notre pote Audrey Camuzet (Anaïs Demoustier) pour se rendre à son travail à l’hôtel Hilton près de l’aéroport Roissy Charles De Gaulle. Elle s’occupe du ménage dans les chambres et c’est aussi là que Gary Newman (Josh Charles) va résider pour quelques heures. Il est là pour un rendez-vous professionnel mais doit repartir dès le lendemain pour Dubaï mais il ne prendra finalement pas ce vol. Après une nuit très agitée, il prend une décision importante puisqu’il est déterminé à tout plaquer que ce soit son travail ou sa vie aux Etats-Unis où l’attend notamment sa femme Elisabeth (Radha Mitchell).

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    Si vous avez un conjoint qui a l’habitude des déplacements professionnels, vous risquez de ne plus le laisser partir après avoir regardé Bird people ! On pose d’abord les bases du film à savoir la vie dans cet hôtel et à  partir de là, un premier portrait se dresse ; celui de Gary voguant entre le burn-out et la dépression puis celui consacré à Audrey. C’est dans ce dernier que la réalisatrice Pascale Ferrand nous réserve une drôle de surprise qui risque d’en perturber plus d’un. Composé de rencontres plus  ou moins furtives, c’est un film qui n’est pas toujours passionnant mais duquel ressortent les belles prestations de Josh Charles & Anaïs Demoustier.

     

    Il faut le voir pour :Laisser vos fenêtres ouvertes pour les oiseaux !

  • Tristesse club

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    Lorsque notre pote Bruno (Vincent Macaigne) entend son frère Léon (Laurent Lafitte) évoquer une bonne nouvelle, il ne s’attendait pas vraiment à apprendre le décès de leur père. Entre eux, ça n’a pas été le grand amour aussi cette disparition ne semble pas émouvoir plus que cela les deux frères qui vont se retrouver pour lui rendre un dernier hommage. Surprise, lorsqu’ils arrivent au crématorium ils n’y trouveront qu’une jeune femme du nom de Chloé (Ludivine Sagnier) qui se trouve être leur demi-sœur. Il reste quand même un mystère, où est donc passé ce père et on en vient même à se demander s’il est vraiment mort ?

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    Avec Tristesse club, notre pote Vincent Mariette signe son premier long-métrage avec une histoire assez décalée. Ça commence avec un trio assez atypique composé d’un tennisman à la carrière gâchée et fauché, d’un créateur de site de rencontres célibataire et d’une demi-sœur énigmatique. Si on passe plutôt un bon moment en leur compagnie, on regrette que le réalisateur ne nous ait pas proposé davantage de folie à l’image de cette visite incongrue chez Noémie Lvovsky. Cela d’autant plus que le coté thriller n’arrive pas non plus à nous emballer si bien qu’on finit par devenir insensible devant ce film en dépit d’excellents comédiens.

     

    Il faut le voir pour : Fabriquer un lance-balles de tennis pour votre fils, il sera content … ou pas !