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joseph mawle

  • Kill your friends

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    Notre pote Steven Stelfox (Nicholas Hoult) est Directeur artistique de musique et pour réussir dans ce métier, il faut se montrer ambitieux. Chaque année, ce sont plus de 500 000 démos qui défilent et au mieux 10 contrats seront signés, autant vous dire que vous aurez certainement plus de chances à la loterie nationale. Pour Steven, la difficulté est donc de trouver la perle rare, le titre qui aura le potentiel de devenir un hit et donc d’assurer son avenir. Son objectif est de devenir Directeur artistique en chef mais d’autres collègues sont également de possibles candidats à ce poste … pour le moment !

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    Adaptation du roman éponyme de John Niven, Kill your friends nous donne ainsi l’opportunité d’observer les coulisses de l’industrie du disque. Si cela vous évoque directement des soirées se terminant en orgie où se mêlent sexe et drogues alors vous avez tapé dans le mille ! Le plus intéressant restant tout de même l’attitude désinvolte de Steven, anti-héros par excellence et brillamment interprété par Nicholas Hoult. Réalisation dynamique pour le premier long-métrage d'Owen Harris qui nous offre aussi quelques apartés en tête à tête avec le personnage principal ; un film assez fun parsemé de quelques scènes assez violentes.

     


    Il faut le voir pour : Arrêter de croire le mec qui vous a dit qu’il avait aimé le 3ème morceau de votre album !

  • Abraham Lincoln : Chasseur de vampires

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    En 1818, notre pote Abraham Lincoln (Lux Harney-Jardine/Benjamin Walker) n’est encore qu’un enfant lorsqu’il perd sa mère dans d’étranges circonstances. Témoin direct de cette nuit d’horreur, il sait que le responsable de sa mort n’est autre que Jack Barts (Marton Csokas) mais à ce moment là il ignorait encore qu’il s’agissait d’un vampire ! Ce n’est que 9 ans plus tard qu’il découvrira la vérité révélée par Henry Sturgess (Dominic Cooper) qui a dédié sa vie à exterminer ces créatures. Abraham veut lui aussi participer à leur destruction e si pour cela il doit oublier toute notion de vengeance, il sait qu’un jour ou l’autre il aura la peau de Barts. L’homme s’illustre aussi à travers un autre combat ; celui contre l’esclavagisme et qui va le conduire à devenir le 16ème président des Etats-Unis !

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    Voilà comment rendre l’histoire intéressante ; il suffit d’y parsemer des vampires et c’est tout de suite plus captivant n’est ce pas ? Bien entendu, on repassera pour découvrir un biopic sur Lincoln et on appréciera à sa juste valeur ce divertissement qui n’est là que pour vous vider l’esprit. Adaptation d’un roman de Seth Grahame-Smith, on délaissera tout ce qui est autour des scènes d’action pour se contenter d’un spectacle constitué de décapitations et de bastons en slow-motion agréable mais peu impressionnant sans compter que le héros Benjamin Walker manque cruellement de charisme. J’aurais bien aimé que Timur Bekmambetov assume ce Abraham Lincoln : Chasseur de vampires jusqu’au bout et nous propose un film d’action un peu plus excitant ; on se contentera d’une légère récréation.

     

    Il faut le voir pour : Toujours avoir un plan de secours !

  • Sans issue

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    Les vacances ont débuté sous de mauvais auspices pour notre pote Will Shaw (Henry Cavill) ; à peine arrivé en Espagne, il apprend que sa valise est restée bloquée aux États-Unis. Il se réjouissait pourtant à la perspective de retrouver sa famille mais un coup de fil professionnel va l’obliger à écourter son séjour ce qui ne semble pas plaire à son père Martin (Bruce Willis). L’ambiance est électrique sur le bateau familial et Will décide d’aller se calmer en ville mais à son retour, il découvre un voilier vide et vraisemblablement il s’est passé quelque chose de grave. Après avoir sollicité l’aide de la police locale qui va s’avérer inutile, son père vient à sa rescousse avec une révélation de taille : il n’est pas attaché culturel mais un agent d’une branche de la CIA !

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    Il nous avait étonné avec son JCVD, Mabrouk El Mechri signe cette fois Sans issue, un thriller au fort accent hispanique mais le résultat final est loin de combler nos espérances. S’il y a un certain plaisir à revoir Sigourney Weaver, son rôle est insipide tout comme la participation de Bruce Willis, reste alors Henry Cavill et sa belle gueule mais qui ne possède pas le charisme nécessaire pour porter sur ses épaules ce film d’action comme c’était déjà le cas avec Les immortels. Les scènes se succèdent sans conviction faisant au passage une petite visite guidée de Madrid mais devant un spectacle aussi soporifique, le spectateur sera plus tenté de trouver l’issue de secours de la salle !

     

    Il faut le voir pour : Lâcher votre portable quand vous êtes en famille ou sinon on s’en occupera pour vous !