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jaimie alexander

  • Intersections

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    C’est dans un luxueux hôtel isolé dans le désert saharien que nos potes Taylor & Scott (Jaimie Alexander & Frank Grillo) ont décidé de passer leur lune de miel mais derrière ce couple heureux se cache une autre réalité. Riche financier, Scott ignore qu’il est l’objet d’un complot fomenté par sa propre femme et avec l’aide d’un certain Travis (Charlie Bewley) et ils vont bientôt agir mais leur plan ne va pas se dérouler comme prévu. Après une course-poursuite, leurs véhicules percutent d’autres voitures qui étaient à l’arrêt et surtout l’accident fait plusieurs victimes. Au milieu de nulle part, ils se retrouvent coincés avec Omar (Moussa Maaskri), un prisonnier et Audrey (Marie-Josée Croze) accompagnée de son bébé avant que débarque Saleh (Roschdy Zem).

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    Comme tout film choral qui se respecte, l’intrigue d’Intersections se dévoile tel un sablier qui s’égraine et ça ne manque pas de retournements de situations prenant parfois des tournures rocambolesques. Un scénario poussif qui n’aide vraiment pas à ce qu’on s’intéresse au destin des différents protagonistes qu’ont sent parachutés là pour essayer de monter une histoire. Roschdy Zem est là pour remettre un peu d’ordre à la situation, Moussa Maaskri occupe le rôle du méchant de service et Marie-Josée Croze joue les baby-sitters mais tout ça n’offre pas de réelle cohérence au long métrage qui devient vite insignifiant. Le désert ne semble donc pas servir uniquement de décor !

     

    Il faut le voir pour : Faire attention à la circulation quand vous roulez dans le désert saharien.

  • Le dernier rempart

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    Las Vegas. Un important dispositif a été mis en place dans le cadre du transfert de Gabriel Cortez (Eduardo Noriega), un dangereux criminel et en dépit de toutes les précautions prises, il est parvenu à s’évader. On retrouve vite sa trace à bord d’une Corvette ZR1 dont on a signalé le vol quelques jours plus tôt et il se dirige vers le Mexique accompagné d’un otage. Pour traverser la frontière, il va devoir passer par une petite ville d’Arizona ; Somerton dont le shérif se nomme Ray Owens (Arnold Schwarzenneger). Cet ancien officier des stups s’était retiré ici en pensant trouver le calme mais il va devoir reprendre les armes pour défendre avec ses potes d’enfance leur territoire et ça va être méchamment violent !

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    "I’ll be back" Il nous l’avait promis et après de brèves apparitions chez son pote Sly, Arnold Schwarzenneger est de retour au cinéma 10 ans après le peu mémorable Terminator 3. Pas de surprises, on a rendez-vous avec un film d’action rythmé par la chasse d’une Corvette boostée et quelques gunfights qui font plutôt mal pas étonnant quand on sait que derrière la caméra il y a Kim Jee-woon (Le bon, la brute et le cinglé / J’ai rencontré le diable …). Comme de tradition, le réalisateur effectuant sa première expérience aux states est quelque peu entravé par la machine hollywoodienne Pour détendre un peu l’atmosphère, Johnny Knoxville & Luis Guzman viennent instiller quelques notes d’humour dans cet univers de violence. Amusant tout simplement.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de vous garer n’importe où !