Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeff goldblum

  • Charlie Mortdecai

    star 02.jpg

    AFF.jpg

    Bien qu’il arbore fièrement sa nouvelle moustache, notre pote Charlie Mortdecai (Johnny Depp) a d’autres soucis en tête comme ses ressources financières. Comme lui rappelle si bien sa femme Johanna (Gwyneth Paltrow), ils seront bientôt sur la paille et sont même déjà en train de vendre quelques effets personnels pour s’en sortir. La solution pourrait venir de l’Inspecteur Martland (Ewan McGregor) qui a besoin des services de Charlie afin de retrouver une toile de Goya qui a été volée. Cette peinture aurait été confiée à Bronwen (Norma Atallah) pour être restaurée mais celle-ci a été retrouvée morte ce qui laisse à croire qu’elle aurait fait une découverte importante.

    01.jpg

    Avant toute chose, il convient de préciser que Charlie Mortdecai doit se regarder avec beaucoup de second degré tant par son histoire que par l’interprétation des acteurs qui n’hésitent pas à surjouer. Le genre de rôle que Johnny Depp maitrise depuis quelques années maintenant et à moins de l’adorer, il faut avouer qu’il ne nous amuse plus vraiment. A partir de là il est donc difficile d’apprécier cette comédie aux traits grossiers, aux gags répétitifs même si elle propose un mixte pas non plus désagréable entre humour, action et enquête policière. Un film devant lequel on ne s’enthousiasme pas vraiment.

     

    Il faut le voir pour : Porter une moustache !

  • Un week-end à Paris

    star 02.jpg

    aff.jpg

    Il fallait marquer le coup pour leur 30ème anniversaire de mariage et c’est ainsi que nos potes Meg & Nick Burrows (Lindsay Duncan & Jim Broadbent) ont programmé un joli week-end à Paris. Quoi de mieux que la ville la plus romantique au monde pour cet évènement mais à leur arrivée, tout ne se passe pas comme prévu. Il y a d’abord eu  un hôtel miteux où on a voulu leur donner une chambre aux couleurs beiges ce qui a fait sortir Meg de ses gonds. Après une visite de la ville en taxi, ils finissent par trouver refuge dans un luxueux hôtel, ce qui ne semble pas rassurer Nick qui surveille attentivement leurs finances.

    01.jpg

    En réunissant Lindsay Duncan & Jim Broadbent pour Un week-end à Paris, on s’attendait à voir le couple roucouler devant la Tour Eiffel mais c’est un couple fragile qui se présente à l’écran. Unis par l’amour, les nombreuses années partagées ensemble semblent avoir également fait place à des questionnements voire des doutes sur leur vie commune. D’accord les 2 comédiens sont sympathiques et donneraient presque envie de se lancer dans une escapade dans la capitale française mais le film finit par devenir totalement monotone pour ne pas dire ennuyeux. La cerise sur le gâteau étant ce diner avec un Jeff Goldblum parfait dans le rôle de maitre de cérémonie irritant.

     

    Il faut le voir pour : Demander la couleur de la chambre avant de réserver votre hôtel !

  • The Grand Budapest Hotel

    star 03.5.jpg

    aff.jpg

    Autrefois, le Grand Budapest Hotel faisait la fierté de Zubrowka. Ce n’était pas qu’un simple hôtel ; il s’agissait d’une véritable institution ! Le propriétaire se nomme Zero Moustapha (F. Murray Abraham / Tony Revolori) et à chacun de ses passages, il occupe toujours la même chambre, une petite chambre de bonne située au dernier étage. Ça pourrait vous étonner mais lorsqu’il a fait ses premiers pas dans ce lieu magique, il n’était qu’un simple Lobby boy. Il sera alors pris sous l’aile de M.Gustave (Ralph Fiennes), le concierge avec lequel il s’apprête à vivre une incroyable aventure. Assassinat, héritage, amour et pâtisseries ; après ça la vie de Zero ne sera plus jamais la même !

    01.jpg

    Ce qui est sur c’est qu’on oublie rarement un film de Wes Anderson et ça peut être aussi bien dans le sens positif que négatif. Une nouvelle fois, il nous entraine dans une drôle d’histoire en compagnie de Ralph Fiennes et du jeune Tony Revolori. En chemin, on a alors le loisir de croiser la méconnaissable Tilda Swinton ou encore d’apprécier le doigté de Willem Dafoe. Pas de doute, The Grand Budapest Hotel est une démonstration de la maitrise du réalisateur américain cependant on a un peu de mal à accrocher avec une première partie d’abord confuse puis laissant place à un certain ennui. Pour le reste il n’y a rien à dire on a une comédie haute en couleurs et surtout imprévisible, vous pouvez y réserver une chambre immédiatement !

     

    Il faut le voir pour : Constater qu’un chat ne retombe pas toujours sur ses pattes !

  • Jurassic Park 3D

    star 04.5.jpg

    aff.jpg

    Parce que le richissime John Hammond (Richard Attenborough) s’est déplacé en personne et qu’il leur a promis de financer leurs recherches pour les 3 ans à venir, Ellie Sattler & Alan Grant (Laura Dern & Sam Neill) ont accepté de l’accompagner. C’est sur une ile proche du Costa Rica que ces 2 paléontologues se rendent pour assister à la plus grande découverte de leur vie. Cela fait 5 ans qu’Hammond a recrée sur cette ile un parc zoologique bien particulier puisqu’il y accueille … des dinosaures ! Grace à un échantillon de sang prélevé par un moustique des millions d’années auparavant, des scientifiques ont réussi à redonner vie à ces créatures extraordinaires. Bienvenue à Jurassic Park !

    01.jpg

    Une nouvelle fois Steven Spielberg nous invite à un voyage cinématographique extraordinaire en redonnant vie aux dinosaures. A l’instar des personnages d’Ellie & Alan, on est ébahi devant l’incroyable spectacle ; les découvertes du Brachiosaure ou du Tricératops font se réaliser nos rêves d’enfant les plus insensés. Le succès de Jurassic Park repose aussi beaucoup sur la qualité des effets spéciaux nous gratifiant de dinosaures magnifiquement réalistes et aujourd’hui encore les images sont bluffantes. Aveuglés par les prouesses techniques, on sera plus enclin à pardonner une intrigue qui ne casserait même pas les petits bras du T-Rex ce qui ne l’empêche de s’être hissé au rang de film culte.

     

    La version 3D : La perspective d’approcher d’un peu plus près les dinosaures du Jurassic Park était bien sur assez excitant pour tous les spectateurs. Et puis c’est aussi l’occasion de souffler les 20 bougies de ce film devenu un classique mais très franchement cette nouvelle version n’apporte pas la dimension qu’on espérait. Il faut déjà attendre l’arrivée du T-Rex pour profiter réellement du relief et par la suite, il n’y a bien que l’attaque des Vélociraptors qui viennent apporter un peu d’intérêt à cette 3D. Une fois n’est pas coutume, on est plus dans l’artifice que dans la révolution.

  • Independence day

    star 02.jpg

    aff.jpg

    Tout a commencé lorsque le SETI, situé au Nouveau-Mexique a intercepté des signaux émanant de l’espace suivis par de nombreuses perturbations partout sur Terre. Ce que l’on pensait être du domaine de la science-fiction est alors devenu réalité, des vaisseaux spatiaux sont apparus et nous avons désormais la preuve que nous ne sommes pas seuls dans l’univers. Jusqu’à présent on ignore tout des intentions de ces extraterrestres mais on va vite découvrir qu’ils ne sont pas venus avec un esprit pacifique. Aux 4 coins du monde, l’espoir de rentrer en contact avec ces êtres venus d’ailleurs se transforme en un horrible cauchemar ; les vaisseaux ravagent tout et l’humanité pleure ses disparus. Il faut cependant réagir rapidement et c’est sous l’autorité du Président des Etats-Unis Thomas J. Whitmore (Bill Pullman) que la résistance va s’organiser.

    01.jpg
    Œuvre incontestable dans la filmographie de Roland Emmerich ; Independence day fut le blockbuster de l’année 1996, le pop-corn movie par excellence. A l’époque, on pouvait facilement s’extasier devant les effets spéciaux accompagnant la destruction de notre bonne vieille planète mais aujourd’hui cela parait bien dérisoire. Difficile tout de même de trouver film plus patriotique que celui-là car non seulement c’est grâce aux américains que les envahisseurs sont vaincus (désolé pour le spoiler) mais leur Président va jusqu’à devenir pilote héroïque et symbole de l’hégémonie yankee. A voir pour enrichir (??) sa culture cinématographique mais un film qu’on n’aura pas forcément envie de se retaper par la suite.

  • Morning Glory

    aff.jpg

    Fraichement virée de l’émission Good Morning New Jersey, notre pote Becky Fuller (Rachel McAdams) s’est démené pour vite retrouver un job et c’est à New York qu’elle va trouver son bonheur. La chaine IBS lui propose en effet de devenir Productrice exécutive de Daybreak dont les scores d’audience sont pour le moins calamiteux. Dès son arrivée, Becky prend ses responsabilités en virant l’un des présentateurs et elle doit désormais lui trouver un remplaçant digne de ce nom. C’est là qu’elle a l’idée folle de faire appel à Mike Pomeroy (Harrison Ford), journaliste à la carrière impressionnante mais dont le caractère difficile promet quelques dissensions.

    01.jpg

    L’univers des médias et plus particulièrement de la télévision fait l’objet d’une certaine fascination auprès du grand public et Morning Glory est là pour remettre les choses à leur place. On est ainsi convié dans les coulisses d’une émission matinale à l’américaine présentée conjointement par Diane Keaton & Harrison Ford. On regrette d’ailleurs que ce duo n’ait pas donné plus d’éclat en matière de clash, ça se limite à quelques échanges verbaux ce qui fait qu’on est loin d’être plié de rire. Une comédie plutôt quelconque pas désagréable à regarder mais pas non plus une révolution dans le genre.

     

    Il faut le voir pour : Vous faire une Frittata pour le diner !

  • Une famille très moderne

    aff.jpg

    C'était il y a 7 ans, Kassie (Jennifer Aniston) avait décidé qu'il était temps pour elle de franchir un cap et de devenir mère de famille. Le seul souci c'est qu'elle est encore célibataire et c'est pourquoi elle a songé à l'insémination artificielle ce qui n'a pas manqué de faire réagir son pote d'enfance Wally (Jason Bateman). Celui-ci en pince d'ailleurs pour la jeune femme et quand il rencontre le donneur, un certain Roland (Patrick Wilson), il prend une vilaine cuite jusqu'à oublier la terrible chose qu'il a faite. Enfermé dans la salle de bains, il s'est retrouvé face à la semence offerte par Roland et l'a malencontreusement renversé. Pour la remplacer, il n'a d'autres choix que de donner à son tour de sa personne.

    à&.jpg

    C'est une histoire d'amour pas tout à fait comme les autres qui débute par la naissance d'un enfant et qui finit par la véritable rencontre des parents. Une famille très moderne réunit Jennifer Aniston & Jason Bateman dans une comédie avec quelques bons passages mais loin d'être suffisants pour en faire un film incontournable. On rigole surtout lorsque le jeune Sebastian fait son apparition, adorable petit garçon totalement décalé au vocabulaire enrichi. Film assez anodin qui peut amplement attendre une sortie en DVD pour une soirée tranquille à la maison.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus vous prendre la tête pour les cadeaux, offrez des cadres !