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  • La stratégie Ender

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    L’invasion de la Terre par des extraterrestres appelés Doryphores fut aussi dévastatrice qu’inattendue. Il y eut des millions de victimes et la planète a survécu grâce au courage du légendaire Mazer Rackham (Ben Kingsley) qui n’a pas hésité à se sacrifier. Depuis 50 ans, on se prépare à une nouvelle offensive et notre salut ne passera que par les jeunes surdoués comme notre pote Ender Wiggin (Asa Butterfield). Le Colonel Graff (Harrison Ford) est en effet persuadé qu’il a les capacités requises pour tenir un grand rôle dans ce combat crucial mais sa formation est encore loin d’être achevée. C’est ainsi qu’il quitte la Terre et sa famille pour intégrer une académie militaire où il pourra se perfectionner dans l’espoir de sauver l’humanité.

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    Roman d’Orson Scott Card publié depuis 1985, La stratégie Ender a lancé une saga qui pourrait bien s’installer durablement au cinéma. Le principe se rapproche assez de lui d’Harry Potter puisque notre pote Asa Butterfield intègre lui aussi une école pour optimiser ses incroyables dons. Si Hermione & Ron ne sont pas de la partie, ils sont ici remplacés par Petra & Alai sans oublier le traditionnel rival qui ne peut pas blairer le héros. On ne peut pas dire qu’on soit vraiment ébloui, durant la première partie on se contente d’un Laser quest sans gravité et les seules véritables scènes d’action ne mettent en scène que des vaisseaux spatiaux. Ça a beau se dérouler dans l’espace, ça ne vole pas bien haut !

     

    Il faut le voir pour : Laisser vos enfants jouer tranquillement aux jeux vidéos, ça pourrait un jour sauver la Terre !

  • Hugo Cabret

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    Ce sont des milliers et des milliers de personnes qui traversent chaque jour cette gare et c’est là qu’habite notre pote Hugo Cabret (Asa Butterfield). Enfin, pour être tout à fait exact, il vit dans les entrailles du bâtiment là où personne ne peut soupçonner sa présence et il s’occupe de remonter toutes les horloges de la gare. Le jeune garçon est féru de mécanique et a en sa possession un objet inestimable : un automate que lui avait présenté son père aujourd’hui disparu. Pour le réparer, Hugo doit dénicher de nombreuses pièces mécaniques et pour cela il s’approvisionne (de manière plus ou moins légale) chez le marchand de jouets, un certain Georges (Ben Kingskey). Lorsque ce dernier s’en rend compte, la rencontre avec le jeune voleur provoque des étincelles.

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    Si le grand Martin Scorcese n’était pas derrière les caméras, on pourrait facilement croire que ce Hugo Cabret n’est qu’un petit film destiné aux enfants. Adaptation du roman de Brian Selznick, cette œuvre n’est pas qu’un simple récit d’aventures mais aussi un hommage au réalisateur français Georges Méliès. Si on est tout de suite séduit par son univers étonnant avec cette gare parisienne reconstituée qui nous engloutit littéralement à travers ses apparences steampunk, la première heure est loin d’être emballante ! Le film ne devient passionnant qu’à partir du moment où on découvre le vrai visage de Georges c’est dire s’il faut de la patience avant de se faire un peu plaisir. La magie n’opère pas donc on va rapidement l’oublier et on épargnera un long moment aux enfants.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir les origines des effets spéciaux du cinéma.