Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

michael pitt

  • Asphalte

    star 03.jpg

    AFF1 (2).jpg

    Les habitants de l’immeuble n’avaient plus le choix, il fallait remplacer l’ascenseur seulement notre pote M. Sternkowitz (Gustave Kervern) n’en a pas l’utilité puisqu’il habite au 1er étage. Finalement, il n’aura pas à le payer mais s’engage aussi à ne pas l’utiliser ce qui risque d’être difficile puisqu’il va se retrouver dans un fauteuil roulant ! Dans les étages supérieurs, Charly (Jules Benchetrit) va faire connaissance avec sa nouvelle voisine Jeanne Meyer (Isabelle Huppert) qui s’avère être une ancienne comédienne. De son coté, Mme Hamida (Tassadit Mandi) va recevoir une drôle de visite, pas une rencontre du 3ème type mais presque.

    01.jpg

    Entre 2005 et 2010, il avait écrit Les chroniques de l'asphalte et c'est notre pote Samuel Benchetrit himself qui s'est chargé de l'adaptation. On a d’abord une sorte de film choral à l’échelle d’un petit immeuble de cité avant que des duos aussi atypiques qu’attachants ne se forment. Il y aura une tendresse particulière à l’encontre de la formidable Tassadit Mandi (elle m’éclate quand elle sort son "mange" à l’américaine) et de l’astronaute Michael Pitt. On s’amuse aussi en compagnie des deux autres tandems avec notamment les débuts remarqués de Jules Benchetrit, fils du réalisateur. Décalé et drôle, Asphalte est sans conteste une belle découverte !

     

    Il faut le voir pour : Ne pas hésiter à participer aux frais de l’ascenseur de votre immeuble !

  • Hugo Cabret

    aff.jpg

    Ce sont des milliers et des milliers de personnes qui traversent chaque jour cette gare et c’est là qu’habite notre pote Hugo Cabret (Asa Butterfield). Enfin, pour être tout à fait exact, il vit dans les entrailles du bâtiment là où personne ne peut soupçonner sa présence et il s’occupe de remonter toutes les horloges de la gare. Le jeune garçon est féru de mécanique et a en sa possession un objet inestimable : un automate que lui avait présenté son père aujourd’hui disparu. Pour le réparer, Hugo doit dénicher de nombreuses pièces mécaniques et pour cela il s’approvisionne (de manière plus ou moins légale) chez le marchand de jouets, un certain Georges (Ben Kingskey). Lorsque ce dernier s’en rend compte, la rencontre avec le jeune voleur provoque des étincelles.

    01.jpg

    Si le grand Martin Scorcese n’était pas derrière les caméras, on pourrait facilement croire que ce Hugo Cabret n’est qu’un petit film destiné aux enfants. Adaptation du roman de Brian Selznick, cette œuvre n’est pas qu’un simple récit d’aventures mais aussi un hommage au réalisateur français Georges Méliès. Si on est tout de suite séduit par son univers étonnant avec cette gare parisienne reconstituée qui nous engloutit littéralement à travers ses apparences steampunk, la première heure est loin d’être emballante ! Le film ne devient passionnant qu’à partir du moment où on découvre le vrai visage de Georges c’est dire s’il faut de la patience avant de se faire un peu plaisir. La magie n’opère pas donc on va rapidement l’oublier et on épargnera un long moment aux enfants.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir les origines des effets spéciaux du cinéma.

  • Soie

    aff.jpg

    Dans la commune de Lavilledieu dans les années 1860. Poussé par son père, Hervé Joncour (Michael Pitt) s’est engagé dans l’armée mais il ne pense qu’à une chose ; retrouver sa promise Hélène (Kieira Knigthley). C’est au moment où un entrepreneur du nom de Baldabiou (Alfred Molina) qui a décidé de relancer la production de soie que la vie d’Hervé va changer. Il devient ainsi l’homme de confiance de Baldabiou, chargé en outre de partir à la recherche de vers à soie tout d’abord en Afrique puis au fin fond du monde dans les montagnes du Japon. Un voyage qui n’est pas sans risques et alors qu’il découvre une toute autre civilisation, il fait également la rencontre d’une autre femme qui restera gravée dans sa mémoire.

    01.jpg

    On dit de la soie qu’elle est une matière noble, délicate et le réalisateur François Girard semblait bien décidé à nous retranscrire cette sensualité à l’écran. On se retrouve donc devant de longues scènes très lentes qui nous bercent tellement bien qu’elles finissent par nous endormir. Adaptation du roman d’Alessandro Baricco, Soie n’arrive jamais à nous passionner la faute également à un Michael Pitt pas très convaincant en amoureux indécis reste alors quelques belles images pour faire passer le temps. Franchement ennuyeux, c’est un film que vous pouvez d’ores et déjà oublié !

     

    Il faut le voir pour : Se réjouir de voyager plus facilement au Japon aujourd’hui !